Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai eu recours à cette encyclopédie, que ce soit dans mes études, ou dans la vie de tous les jours.
Elle fait partie des indispensables de ma bibliothèque et m'a permis d'apprendre bon nombre de choses intéressantes. Son format réduit est très pratique d'utilisation.
Chaque symbole, qu'il soit concret ou abstrait, est analysé de manière approfondie. Diverses interprétations, traditionnelles, culturelles, mythologiques, religieuses, ou encore, ésotériques sont proposées ici.
De quoi satisfaire sa curiosité et parfaire sa culture générale de manière pratique et agréable.
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Comme toute encyclopédie, c'est un livre que l'on ne lit pas entièrement et que l'on consulte. Les articles y sont denses et décortiquent tout ce qui se rattache au sujet. L'ouvrage, principalement illustré de gravures, tableau, fresques du passé donne le ton au thème.
C'est un livre sur la recherche de ses origines où le point de vue historique n'est pas négligé, mais dont les croyances sont le thème principal.
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Cette encyclopédie regorge d'informations en tous genres, mais j'y ai peu recours au quotidien faute d'utilité.
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Pêche: (en botanique Malum Persicum, comme Persane). La pêche importée d'Orient au Ier siècle, était un fruit très prisé dans l'Antiquité, et souvent confondu avec l'abricot. Un laurier du jardin de l'empereur Alexandre Sévère, qui avait poussé en recouvrant un pêcher, devient le symbole de la victoire sur les Perses. La pêche (t'ao) passait en Chine pour un signe d'immortalité ou de longévité, et les fleurs de pêcher symbolisaient les fraîches jeunes filles-mais aussi les femmes légères. La "folie des fleurs de pêcher" était une expression pour désigner l'égarement des sentiments à la puberté. D'après la légende, la déesses des fées, Hsi-wang-mu, possédait dans les montagnes de Kuenlu un jardin dans lequel mûrissaient tous les mille ans les pâches de l'immortalité. A cette occasion, les génies et les "immortels" y faisaient une grande fête. Le bois de pêcher passait pour écarter les démons, de même qu'une branche de pêcher sur la porte de la maison les tenait au loin pendant les fêtes de la Nouvelle Année. Le statuettes qui représentaient les gardiens des portes étaient aussi taillées dans du bois de pêcher. La "source du pêcher" désigne poétiquement l'appareil génital féminin.
Scorpion: Cet arachnidé, très dangereux à cause de son aiguillon venimeux, acquit très tôt la signification symbolique d'une menace mortelle mais reçut aussi l'acception compensatrice de porteur de vérité. (...)
La déesse Isis se fit accompagnée de sept scorpions lorsqu'elle s'enfuit devant Seth. (...)
La légende astronomique grecque raconte que la déesse Artémis avait envoyé un scorpion pour tuer le puissant chasseur Orion; tous deux furent changés en constellation et chaque fois que le Scorpion apparaît à l'est, Orion effrayé s'enfuit à l'ouest et disparait sous l'horizon. _ Dans la Bible, le scorpion symbolise les puissances démoniaques -comme le serpent- (...)
Zéro - On attribue traditionnellement l'invention du zéro aux Mayas qui, pour transcrire leur système de notation à base 20 dans une numérotation à étages, imaginent le zéro auquel ils donnent une forme semblable à un coquillage ou à une coquille d'escargot.
À Rome, la grenade placée dans la main de Junon symbolisait le mariage. L’arbre tout entier était également considéré, en raison de ses fleurs rouges parfumées, comme une incarnation de l’amour, du mariage et de leur conséquence directe, la fécondité.