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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Un livre pour la jeunesse de Charles Perrault que j'ai apprécié pour la qualité d'écriture en dépit du faible nombre de pages pour certains contes tels que ''les souhaits ridicules'' ou ''le Petit Chaperon rouge''. L'auteur nous entraîne habillement dans les intrigues de mondes merveilleux de l'imaginaire et il est difficile de lâcher la lecture alors que ce sont pourtant des contes que l'on connaît depuis l'enfance. J'ai découvert ''Peau d'Âne'' que je ne connaissais que par le titre. Ce sont des histoires qui connaîtront un succès éternel à travers les générations.
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Les vrais textes de Perreault (pas une version édulcorée à la Disney) avec de superbes illustrations et un choix parfait de contes!
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Ces contes sont des classiques de la littérature mais aussi de la littérature jeunesse. SI vous ne les avez jamais lu : il est temps !
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Un incontournable de la littérature française pour tout public petits et grands. Si vous souhaitez découvrir les vrais contes de fées français ce sera chez Perrault, l'un des pionniers du genre en France. le chat botté, Cendrillon, le Petit Poucet et le chaperon rouge sont bien de lui.
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Critique de Lucile

Critique du Petit Chaperon rouge

Tout d'abord, Charles Perrault est née en 1628 et est mort en 1703. C'est un écrivain français qui appartient au mouvement des temps Moderne. Il est connu pour ses Contes en prose qu'il a commencé à écrire en 1697. le livre Contes rassemble les contes de Perrault les plus connues, dont le Petit Chaperon rouge ainsi que six autres.
le Petit Chaperon rouge est l'histoire d'une petite fille qui habite dans un village avec sa mère, elle est surnommée ainsi dû au faite qu'elle porte un chaperon rouge que sa mère lui a confectionné. Un jour sa mère lui demande d'apporter une galette et un petit pot de beurre à sa grand-mère qui est malade habitant dans un autre village. Sur son chemin en passant par la forêt elle rencontra un loup qui lui demanda où elle allait. Naïvement, celle-ci lui indiqua le chemin et celui-ci lui proposa de faire une course afin de voir qui sera le plus rapide. Une fois arrivé devant la maison le loup s'en pressa de rentrer et dévora la grand-mère. Il enfila les vêtements de sa proie et se glissa dans son lit et attendit patiemment l'arriver de sa prochaine victime. Quand la petite fille arriva elle alla s'allonger au côté de la bonne femme. Intriguer par le visage étrange de sa mère-grand, elle lui posa de nombreuse questions. Au moment où elle l'interrogea a propos de ses grandes dents, le loup se jeta sur elle et la dévora.
La première morale de l'histoire c'est qu'il faut se méfier des inconnues car on ne sait pas se qu'ils peuvent faire et si ils sont bien ou mal intentionné. Nous pouvons le constater par le faite que la petite fille a donné l'adresse de sa mère-grand et que le Loup en a profiter pour la manger. Puis la deuxième morale, on pourrait retenir qu'il faut toujours écouter ses parents. Ce que la petite fille n'a pas respecté étant donné qu'elle prenait son temps pour ramasser des noisettes, courir après les papillons et faire des petits bouquets de fleurs.
J'ai choisi cette histoire car ce qui m'a plus c'est la morale. Que j'ai compris directement avant même de l'avoir lu. C'est précisément à partir du moment où le Petit Chaperon rouge indique au Loup où se situe la maison de sa grand-mère, qui a déclenché l'élément perturbateur et qui a engendré la mort des deux personnages. Par conséquent de la fin tragique de l'histoire, je trouve que cela illustre bien le faite qu'il faut se méfier des inconnus comme nous le dit la morale.
« En passant dans un bois elle rencontre compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n'osa, à cause de quelques Bûcherons qui étaient dans la Forêt. Il lui demanda où elle allait ; la pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il est dangereux de s'arrêter à écouter un Loup, lui dit : « Je vais voir ma Mère-grand, et lui porter une galette avec un petit pot de beurre que ma Mère lui envoie. – Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le Loup. – Oh ! oui, dit le petit chaperon rouge, c'est par-delà le moulin que vus voyer tout là-bas, là-bas, à la première maison du Village. – Hé bien, dit le Loup, je veux l'aller voir aussi ; je m'y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. » J'ai choisi cet extrait car c'est le moment où arrive l'élément perturbateur, le Loup. Et c'est à se moment là que l'histoire prend une autre tournure.

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critique de Jules Norget


Critique de la belle au bois dormant de Charles Perrault


Charles Perrault est un auteur né le 2 janvier 1628 à Paris et mort le 16 mai 1703, à Paris. Il est connu pour ses contes tel que « Contes de ma mère l'Oye » ou encore des poésies comme « Portrait d'Iris ». Dans son oeuvre « Les contes » éditée en 1697, Charles Perrault modifie des contes connus tel que le petit chaperon rouge, La Belle au Bois Dormant ou Riquet à la Houppe, dans un univers particulier et des morales parfois cruels.

La Belle au Bois dormant est un conte qui se déroule dans une époque similaire au moyen-age, celui ci nous raconte l'histoire d'une princesse qui lors de son baptême fut ensorcelée par une méchante Fée : Si elle touchait un fuseau, elle en mourait. Heureusement une gentille fée atténua le sort : Si la princesse touchait un fuseau, elle tomberait dans un sommeil de cent ans. Son père, le roi, ordonna à tous ses serviteurs d'éloigner la princesse d'un fuseau. Mais lors de son quinzième anniversaire, elle tomba sur une fileuse qui n'était pas avertie par le roi, la princesse fut piquée par le fuseau et tomba dans un sommeil de cent ans, avec tout les habitants du château. Cent ans plus tard un jeune prince embrassa la princesse, ce qui réveilla tout le châteaux. Ils eurent deux enfants la première Aurore et le second un fils, Jour. Un jour le prince alla a la guerre, sa mère la reine s'occupait du château. La reine était en réalité un ogre et demanda à son maître d'hôtel de lui donner La petite Aurore, le petit Jour et la princesse à dîner. Mais le maître d'hôtel trompa la reine, et lui donna à manger une biche. La reine apprit la supercherie, et furieuse prépara une cuve de serpents et crocodiles pour y jeter la Princesse et ses enfants. C'est alors que le prince arriva dans la cour. Enragée la reine se jeta elle même dans la cuve.

L'auteur mets en avant l'idée du temps avec le sommeil de cent ans de la princesse. La morale s'adresse aux femmes plus qu'aux enfants et leur dit qu'il est préférable d'attendre cent ans et trouver le bon mari que de se marier trop vite. le conte décrit le parcours sociologique d'une femme noble : l'enfance, le détachement des parents caractérise par le sommeil de cent ans et la grossesse. En outre, au fur et a mesure du conte, le mal change de la fée jalouse qui donne un mauvais sort à la princesse, à la reine qui est en réalité un ogre.

J'ai aimé cette histoire, car la fin est différente de ce qu'on connaît. On ne s'attend pas a voir que la reine veut manger ses petits enfants et l'histoire change a partir du moment ou la princesse s'endort, la méchante fée est remplacée par la méchante reine.

« on donna pour Marraines à la petite Princesse toutes les Fées qu'on pût trouver dans le Pays (il s'en trouva sept), afin que chacune d'elles lui faisant un don, comme c'était la coutume des Fées en ce temps-là, la Princesse eût par ce moyen toutes les perfections imaginables. » Cet extrait du début du livre nous montre l'importance des Fées dans les contes, c'est elles qui donnent aux princesses ces dons comme la beauté ou l'intelligence. Dans le conte de la Belle au Bois Dormant, on découvre aussi qu'il y a des mauvaises Fées qui peuvent donner des maléfices et changer l'histoire.
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Le monde merveilleux du "il était une fois........."
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J'adore ces contes de Charles Perrault qui, contrairement à ce que l'on pense, sont facile à lires. L'écriture est excellente et nous rappelle notre enfance et m'a redonné le gout des contes.
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Quand j'étais en sixième, j'ai étudié Les contes de ma mère l'oye de Charles Perrault et pour le bac de littérature en terminale, j'ai étudié Les contes de Perrault. Donc, j'ai étudié le même livre en entrant au collège et en lors de ma dernière année de lycée.

Comme j'avais gardé le livre de sixième, je l'ai comparé avec celui de Terminale. A part la préface et les dossiers du dernier, rien ne différait entre les deux ouvrages. Cela me paraissait un peu étrange de relire les mêmes histoires.

Mais en fait, c'était plutôt sympa parce que ça faisait longtemps que je n'avais pas lu les contes et je ne m'en souvenais pas bien et les redécouvrir était agréable, surtout les redécouvrir avec un point de vue plus littéraire.

On dit souvent que les contes, c'est pour les enfants, que c'est juste de la littérature enfantine. Mais en fait non, pas du tout. Quand Perrault les a écrits, il ne pensait pas aux enfants. Ces contes, il les faisait partager dans les salons mondains où se réunissaient la grande société.

Les contes décrivent souvent des scènes pas très joyeuses, voire horrible. La belle-mère de la princesse dans La belle au bois dormant essaye de la manger, ainsi que ses petits enfants, L'ogre dans le petit poucet dévore ses sept filles, le père de Grisélidis veut se marier avec elle, Barbe bleue tue ses femmes, le loup mange le petit chaperon rouge et sa grand-mère et dans Les fées, les deux soeurs vomissent des serpents et des crapauds dès qu'elles parlent et encore pleins d'autres choses dans le même genre car les contes en sont remplis.

Par contre, les moralités qui sont à la fin de chaque contes sont utiles pour les enfants car ils reflètent certaines valeurs importantes et aussi un peu ce qu'il faut ou ne faut pas faire. Par exemple, dans le petit chaperon rouge, la morale veut dire qu'il faut se méfier des inconnus, surtout s'ils ont l'air super sympa parce que ce sont de ces personnes là dont il faut se méfier le plus et dans dans La Barbe bleue, la morale nous apprend que la curiosité est un vilain défaut qui peut nous attirer des ennuis. Dans Riquet à la houppe, on apprend que l'amour, c'est trop magique car celui qu'on aime, il est toujours beau et intelligent même si ce n'est pas le cas.

Dans les contes, il y a beaucoup de magie que ce soit par les personnages où les objets. Il y a les fées et leurs baguettes magiques, la vieille fée pas très contente, les ogres (et les bottes de sept lieues) et le loup qui parle. Les contes sont tous empreints d'une certaine forme de magie et font partie du genre littéraire appelé Conte merveilleux.


Mais il y a aussi une part de réel, surtout avec les personnages non-magiques comme les rois, reines et princesses qui représentent la royauté et les familles royales. On retrouve les marraines (les fées, mais les marraines existent dans la vraie vie sans pour autant être magiques), les parents (pas forcément géniaux comme ceux du petit poucet ou hyper protecteur comme ceux de la princesse de la belle au bois dormant), les petits enfants (Le petit poucet et le petit chaperon rouge), les belles-mères (toujours des horribles personnages. Celle de la belle au bois dormant veut la manger, celle de Cendrillon la traite comme une esclave, comme celle de la fille dans Les fées.)

En fait, Perrault a surtout retranscrit à l'écrit (avec son style à lui) les histoires qui étaient racontées car avant, les histoires de ce genre se transmettaient surtout grâce à l'oral. On peut dire que la plupart des contes ont des origines assez éloignées. On a même retrouvé des versions très anciennes de certains contes en Asie.

Mais il se déroulait ce que l'on appelle La querelle des anciens et des modernes. En gros, les anciens, menés par le poète Nicolas Boileau (1636-1711), pensaient que la littérature se devait d'être l'imitation de ce qu'il se faisait à l'antiquité car ils trouvaient que les auteurs grecs et romains étaient les meilleurs et qu'on ne pourrait jamais faire mieux.

Les modernes, menés par Charles Perrault, eux, trouvaient que non, les nouveaux auteurs étaient bien aussi et puis que qu'un auteur finirait par faire mieux que ceux de l'antiquité. Ils voulaient innover en matière de littérature.

La première édition des contes à été illustrée par Antoine Clouzier mais les illustrations les plus connues sont celles réalisées par Gustave Doré (1832-1883). Gustave Doré proposait alors sa propre vision des contes, proche de celle de Perrault mais apportant quelques détails supplémentaires comme dans une pour le petit poucet où on voit les filles de l'ogre dans leur lit où sont posés des os d'oiseaux. L'une d'elle a même un os en guise de tétine.

Ce que j'ai surtout appris en réétudiant les contes et terminale, c'est que les contes peuvent avoir des sens qu'on ne comprenait pas forcément quand on était enfant mais qu'on comprend mieux en grandissant. Par exemple, le petit chaperon rouge, il parait qu'en fait, c'est l'histoire d'un viol. Quand on est enfant, on ne s'en rend pas vraiment compte mais quand on relit bien le conte, surtout la moralité, cela apparait un peu plus.

Un classique à ne pas louper.

Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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Les Contes de Perrault : Morales

La curiosité malgré tous ses attraits, Coûte souvent bien des regrets ; On en voit tous les jours mille exemples paraître. C'est, n'en déplaise au sexe, un plaisir bien léger ; Dès qu'on le prend il cesse d'être, Et toujours il coûte trop cher.

Le Petit Poucet
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