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3,65

sur 178 notes
Est-ce que je me trompe ou est-ce que les succès, relativement récents et percutants, des G. R. R. Martin, Robin Hood, Terry Goodkind et autres Scott Lynch, auraient ouvert une large brèche dans le monde de la fantasy, dans laquelle chercheraient à s’engouffrer des écrivaillons dont la place serait sans doute plus légitime chez Harlequin ? Je me pose la question parce que, là, après avoir eu dans les mains "Le jeu de l’assassin" d’Amy Raby, mon sentiment est juste qu’on est dans du grand n’importe quoi.

Ou alors, je ne suis tout simplement pas la cible. Déjà trop vieille ?

Je n’ai pas acheté ce roman, il m’a été offert ; comme je suis naturellement curieuse, j’ai tenté l’expérience mais, décidément la littérature c’est comme le vin, une fois qu’on a goûté un Pernand-Vergelesses, difficile de revenir à un Bourgogne aligoté. Or, pour la fantasy, quand a lu et apprécié un Jean-Philippe Jaworski, est-ce qu’on peut honnêtement continuer à lire une Amy Raby ? Réponse : non.

Manichéisme basique, univers conventionnels et pas assez travaillés, personnages pas crédibles une seconde, romance à l’eau de rose, style à faire rentrer sous terre Marc Levy, scènes ubuesques, sexe sans érotisme à tous les étages… Bref, pas grand-chose à sauver. Le roman s’ouvre et se termine sur une scène de copulation, j’imagine pour appâter. What else ? Ah, si, on peut supposer que « Le jeu de l’assassin » est le seul roman fantasy où le héros est un empereur unijambiste qui doit non seulement sauver sa peau, son trône et son peuple mais aussi résoudre les problèmes de libido de sa bien-aimée, euh, pardon, de son pseudo-assassin.


Challenge ABC 2015 / 2016
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Depuis ses treize ans Vitala a été entrainée dans le seul but de tuer le tyran Kjallan : le jeune empereur Lucien.
Pendant sept ans, cette métisse mi-Kjallan mi- Riorcan a été conditionnée à devenir une spécialiste d'un jeu de stratégie, le caturanga, à tuer froidement et à apprendre à séduire l'empereur dans le seul but d'éliminer l'oppresseur des Riorcans.
Vainqueure au tournoi de Béryl Vitala est invitée par l'empereur Lucien, impressionné devant les compétences en matière de statégie de la jeune femme. Pour elle c'est l'occasion rêvée. Mais lors de la rencontre il y a un je ne sais quoi qui la fera hésiter.
Un bouquin de fantasy sur fond de guerre, de magie et d'amour, tout de même un peu à l'eau de rose. Un roman bien construit pour nous rendre les deux héros sympathiques malgré les méfaits de chacun. Se laisse lire en toute fluidité mais sans grand intérêt non plus. le type même d'un livre de détente, il en faut souvent pour supporter la rigueur du quotidien.
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J'avais acheté ce livre sur un coup de tête en librairie (ce qui est fort rare!), attirée par la magnifique couverture de Magali Villeneuve et le synopsis. Sitôt rentrée chez moi, je m'étais jetée sur Babelio pour savoir ce qu'il en était. Patatras! Souflée par les mauvaises critiques de mes acolytes, j'avais mis le roman de côté. Puis, mûe par le désir d'abaisser un tantinet ma PAL, je l'ai ressorti. Et devinez quoi? Je ne l'ai pas trouvé si mauvais que cela!

Vitala Salonius, originaire de la province rebelle de Riorca, est entraînée depuis sept ans pour assassiner l'empereur Lucien Nigellus, souverain oppresseur de la province de Kjall. Enfin jugée prête par le Cercle de l'Obsidienne, elle débarque au Palais Impérial sous la couverture d'une gagnante du fameux jeu de stratégie : le Caturanga. Mais sa rencontre avec l'Empereur ébranle ses certitudes : et si Lucien n'était pas le monstre sanguinaire qu'on lui avait dépeint depuis sa plus tendre enfance?

C'est certain et je suis d'accord avec Gwen21, ce roman n'a pas l'envergure d'un Jaworski et ne restera pas dans les Annales pour moi. Néanmoins, il a été un divertissement fort agréable, ce qui, en soi, est déjà beaucoup demandé! Plus sérieusement, le roman ne brille pas par son intrigue assez convenue : il est aisé de deviner la relation future entre Vitala et Lucien et l'issue politique entre le royaume de Kjall et Riorca. Mais, le style d'écriture (ou du moins la traduction) est confortable et fluide. L'univers dépeint est suffisamment bien décrit pour que le lecteur se plonge dedans avec facilité. La seule chose que je reproche, est le manque de description des stratégies des deux armées ennemies, à la fin du roman : l'auteur aurait pu aller plus loin dans la poliorcétique.

En conclusion, le jeu de l'Assassin est un roman divertissant, simple et assez plaisant à lire sans demander trop de réflexion. Je serai néanmoins assez curieuse de découvrir le tome suivant l'Honneur de l'assassin qui sortira en poche, le mois prochain.
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Le Jeu de l'Assassin nous emmène aux côtés de Vitala, assassin riorca entraînée toute sa vie pour assassiner l'Empereur de Kjall, se retrouve enfin face à sa cible qu'elle dit séduire afin de pouvoir l'éliminer au plus fort d'une nuit d'amour – l'Empereur est en effet un mage de guerre capable d'anticiper toute attaque contre lui, à moins d'être très distrait.

C'est apparemment classé en romance. Soit, je ne nierai pas que la relation entre Lucien (l'Empereur) et Vitala joue un rôle important dans l'intrigue, ni que les scènes de sexe y prennent une place importante. Cela dit, ça reste de la romance, comme Kushiel en serait, il y a surtout prétexte à une histoire de fantasy plutôt intéressante et bien faite, malgré quelques clichés. Enfin, ça m'a semblé quand même bien traité et le système de magie qui est esquissé dans le bouquin est plutôt pas mal, je trouve. J'ai apprécié le fait que Lucien soit infirme, ce qui lui donne un côté de héros atypique...

Il faut donc apprécier l'aspect romance/sexe, mais sinon je conseille. Ça se lit vite et bien, personnellement, j'ai vraiment bien aimé.
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La dernière fois que nous sommes allée chez France Loisirs, je n'avais pas du tout prévu d'acheter ce livre : je ne savais pas du tout qu'il existait ! Mais face à son résumé et à ses bons avis sur Livraddict (merci la 3G !), je n'ai pas hésité longtemps avant de le prendre. Et j'ai bien fait : j'ai passé un excellent moment avec ce roman ;p

Franchement, j'ai trouvé ce premier tome très bon et j'espère que Piment éditera les suivants : je suis vraiment curieuse de découvrir ce qui arrive à Vitala et Lucien par la suite. J'ai beaucoup aimé les différents retournements de situations tant politiques qu'amoureux : bien évidement, on se doute que ces deux-là vont finir ensemble mais il y avait plein de trucs que je n'avais pas vu venir, comme certains meurtres ou unions...
Je viens de lire quelques avis sur internet et je dois dire que certains m'ont étonnée : des lectrices ont trouvé cette histoire assez misogyne et dévalorisante pour les femmes en appuyant sur le fait que ce livre a justement été écrit par une femme. Personnellement, je n'ai pas du tout perçu l'histoire comme ça mais je comprends cette vision : Vitala est effectivement plus proche d'une mante religieuse que d'un assassin. Elle a été entraînée à séduire pour tuer et non tuer tout court : du coup, le texte est ponctuée de nombreuses scènes de sexe et Vitala fait parfois des choix "malheureux"... Cela dit, ça ne m'a pas dérangée plus que ça pendant la lecture même si les scènes de sexe à répétition ont fini par me lasser.

J'ai bien aimé le personnage de Vitala : elle a de la culture et est dégourdie. J'ai beaucoup aimé le fait qu'elle ne soit pas assoiffée de sang et qu'elle répugne assez à passer à l'acte. Par contre, je ne sais pas trop quoi penser de ses visions : je ne trouve pas qu'elles ont un intérêt particulier si ce n'est celui d'aborder encore une fois la question du sexe.
Lucien est également un personnage très agréable et visiblement un très bon dirigent même si ce n'est pas forcément l'impression qu'il donne. Par contre, je l'ai trouvé assez naïf et sans doute trop jeune pour être réellement crédible dans ses décisions... Cela dit, son amour pour sa soeur Céleste est vraiment très touchant.

J'ai trouvé l'écriture d'Amy Raby très agréable : j'ai aimé son dynamisme et ses changements de rythme, j'ai apprécié qu'elle prenne le temps de nous décrire les stratégies de combat, par contre, j'aurais aimé sans doute un peu moins de sexe même si j'ai beaucoup apprécié le côté romance de l'histoire.
Je suis curieuse de découvrir les tomes suivants !
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Un livre annoncé comme une romance fantasy extraordinaire avec une alchimie du feu de Dieu entre les héros... Eh bien, j'ai dû passer à côté, car 1/ je n'ai pas trouvé les héros extraordinaires pris séparément et 2/ je n'ai eu aucun frisson du fait de cette relation trop facile, qui use et abuse plus que largement des clichés. Pas de bol suprême, l'auteure a choisi de miser sur ce couple au détriment de son univers...

Alors, certes, ce roman se lit assez vite. L'écriture est fluide et l'ensemble, lui, n'est pas bien complexe. En dehors de la belle couverture, c'est malheureusement le seul bon point que je suis en mesure de relever. L'univers et la magie, ainsi que cette inimité entre deux peuples dont l'un est réduit en esclavage par l'autre, sont tout ce qu'il y a de plus conventionnel. C'est du vu et du revu.

Concernant le personnage féminin, entraînée pour séduire et pour tuer, on s'attend à un assassin bien coriace à qui on ne la fait pas. Il n'en est rien. On a affaire à une héroïne de prime abord séduisante avec ses failles et sa détermination, mais celle-ci perd vite en saveur et en crédibilité quand elle tombe immédiatement amoureuse de l'Empereur.

Concernant le personnage masculin, c'est typiquement le genre d'homme créé pour les femmes par une femme. Il a un côté chétif que l'auteure aurait voulu attendrissant et un côté mâle qui s'assume sexuellement qu'elle aurait souhaité émoustillant pour les sens des lectrices. Je trouve tout cela très contradictoire et franchement bancal. Notons que, sans mauvais jeu de mots, l'auteure s'est un peu tiré une balle dans le pied en collant un handicap à son héros. En effet, il lui manque une jambe, et on pourrait s'attendre à ce qu'il complexe un peu dessus. Pas vraiment. Pour le coup, c'est un cliché que j'aurais apprécié de retrouver. Qui plus est, il y a une volonté maladroite de l'auteure de compenser à tout prix son handicap par sa magie qui détruit l'intérêt de cette faiblesse physique. Durant toute la lecture, j'ai eu le sentiment persistant que ce personnage était un héros "clé en main" pensé pour séduire qui, à défaut de sonner vraiment creux, était trop lisse...

Plus généralement, même si la romance se met vite en place, on a espoir qu'elle ait un peu plus de panache par la suite pour se faire pardonner ce démarrage au quart de tour. Après un petit cahotement logique quand les masques tombent, ça repart comme en 40 entre les deux héros et on atteint les sommets de l'exaspération avec le traumatisme sexuel de l'assassin dont le sexe est, tout de même, le fonds de commerce... Les réticences sexuelles m'ont fait l'effet d'un énorme cheveu sur la soupe. Il fallait éviter trop de vrai sexe de suite, alors, comme c'est pratique, on diffère avec un bon gros cliché. Quant à la solution à ce souci, hum, pas besoin d'avoir le Kamasutra sous la main, on y pense avant que le héros ait une illumination...

Autre détail idiot qui m'a chiffonnée : un chien bien gentil, mais surtout bien inutile, vient se greffer à l'histoire. On nous mystifie presque sa présence quand l'héroïne suspecte qu'il appartient à une race particulière éteinte à cause des méchants (=peuple de l'Empereur). À une ou deux reprises, l'interrogation revient sur le tapis, alors on attend la révélation de la-mort-qui-tue dans le genre : sous ses apparences de Golden Retriever, c'est un chien-dragon qui aurait le pouvoir de faire trembler tout le monde. Rien ne vient jusqu'à la fin où... (rendez-vous en bas d'avis pour le spoiler, si le suspense est intolérable)

Moralité, je suis déçue et fâchée que ce roman ait été "survendu". On l'aurait annoncé comme ce qu'il est, une romance simple qui ne casse pas trois pattes à un canard, je n'aurais pas pesté contre le fait que le canard ne connaisse pas le même sort que le héros. Tout est des plus basiques et convenus dans ce texte, au point que je regrette (ce qui est rare, j'assume mes achats en temps normal!) d'avoir dépensé 20 euros pour une romance qu'il aurait été plus logique de trouver au format poche à un prix adéquat.

Au final, un 3 généreux.

*SPOILER*
L'héroïne reçoit un petit mot d'un monsieur qui sait tout (de loin, sans voir l'animal) et qui lui dit que, en effet, cette chienne a l'air d'être la dernière femelle de sa race, qu'il faut donc qu'elle se reproduise -_-

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Il y a des livres qu'on achète tout de suite quand on les découvre. Pas pour les lire tout de suite, non ! On les garde précieusement, comme un bon vin, en faisant monter le désir petit à petit.
Ensuite, quand on a vraiment besoin d'un remontant à réveiller les morts, qu'on a lu des romans médiocres et qu'on a presque perdu la foi en la littérature, on les ressort, la main tremblante, l'oeil brillant de fièvre. Et chaque page est un filet de divin nectar, une part d'ambroisie qui s'insinue dans tout notre corps, faisant exploser notre imaginaire.
Une fois le chef-d'oeuvre fini, il ne reste plus qu'à se coucher, repu, comme un gros chat ronronnant, confiant en l'idée que la vie est merveilleuse et les éditeurs aussi.
Voilà en gros l'effet du "jeu de l'assassin", qui renouvelle agréablement le genre de la fantasy "à capuche". Amy Raby joue admirablement bien avec les classiques du genre : un assassin de première classe, une cible injustement visée, un dilemme moral, des rebondissements et des traîtrises à couper le souffle.
Mais elle apporte un savoir-faire indéniable, notamment pour mélanger les genres. On passe du roman d'aventure à la romance musclée, de splendides pages dignes de Jane Austen à des scènes de stratégie militaire passionnantes, le tout avec un art de la nuance et de la transition qui feront pâlir les grands maîtres.
Pas de doute, Bragelonne a déniché la nouvelle perle, qui ravira les amateurs du genre. Cette série a clairement sa place aux côtés de Kushiel, de l'Epée de vérité ou de la Voie des Ombres.
Lien : http://lecteurdelombre.blogs..
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A choisir, je placerai davantage cette histoire dans le genre de la romance plutôt que dans celui de la fantasy. Car si l'histoire se situe bien dans un univers imaginaire magique, force est de constater que l'auteur a clairement privilégié la relation entre ses deux protagonistes : l'Empereur Lucien et Vitala. Tout le reste de l'intrigue ne fait finalement figure que de prétexte.

Cela dit, l'histoire d'amour n'est pas extraordinaire. L'auteur emprunte des chemins faciles, laisse les sentiments éclore trop rapidement, utilise de nombreux clichés (l'assassin qui tombe amoureux de sa cible, les deux amoureux en devenir qui doivent fuir et se cacher ensemble...) et n'approfondit par réellement ses personnages si bien que le lecteur se demande bien ce que ces deux là peuvent bien se trouver...

L'écriture reste quant à elle simple et ne parvient pas à s'inscrire dans un style à part entière, c'est à dire unique et propre à l'auteur.

Une lecture (moyennement) divertissante mais qui ne casse pas trois pattes à un canard.
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Entre romance et fantasy, voilà un livre sympathique, bien qu'un peu court, pour les vacances. Mais ce roman aurait pu être tellement plus!
Le résumé, très attractif, laissait entrevoir une histoire peu banale, avec ce petit je ne sais quoi qui pourrait faire la différence avec les autres romans du genre. Quel dommage que les événements soient traités avec tant de rapidité, surtout dans la seconde moitié du récit. Les actions s'enchaînent les unes après les autres. L'histoire aurait gagnée à être davantage travaillée : l'intrigue aurait eu plus de place pour s'installer, l'univers et les personnages auraient pu être davantage développés. Je pense qu'il y avait assez de matière pour nous régaler d'un bon gros roman voir même une saga.
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J'ai reçu ce livre sous format numérique lors de l'opération 1000K organisée par Bragelonne. C'était une très bonne occasion pour découvrir divers titres édités par eux.

Dans ce livre, nous suivons Vitala, une jeune assassin entraînée depuis toujours à un seul et unique but : tuer l'empereur Lucien Nigellus. Après avoir enfin approché sa cible, cela ne se passe pas comme prévu...

Je tiens tout d'abord à dire que le résumé de ce livre est véritablement trompeur. Je m'attendais essentiellement à un livre de fantasy mais j'ai vraiment été surprise lorsque la romance a pris le dessus sur tout le reste. Il est certain qu'il fallait s'attendre à de la romance mais sans doute pas à ce point ! de plus, la description des personnages est également à côté de la plaque. Je n'ai pas du tout trouvé que Vitala était surentraînée. Je dirais même le contraire étant donné qu'elle se laisse très vite dépasser par certaines situations. Lucien n'est pas non plus constamment sur ses gardes et je n'ai pas ressenti dans le livre qu'il était conscient d'un danger permanent.

Globalement, j'ai trouvé ce livre un peu plat. Au début, j'aimais assez bien car le style était vraiment agréable à lire et que le résumé promettait une chouette histoire. Mais mon intérêt s'est émoussé au fil des pages. L'écriture est certes agréable mais l'univers dans lequel évoluent les personnages est flou, développé de manière très superficielle. La seule chose un peu développée est le caturanga, sorte de jeu d'échec fortement apprécié par Lucien et Vitala. Néanmoins, je n'ai pas trouvé que cela apportait beaucoup à l'histoire. Certains passages concernant les parties de caturanga m'ont semblé fort longs et descriptifs pour rien sachant que je n'arrivais à m'imaginer le jeu de manière concrète.

En conclusion, je ressors assez déçue de cette lecture. Je m'attendais à tout autre chose et bien que j'aime beaucoup les romances, celle-ci ne m'a pas parlé. Je n'ai pas accroché à l'histoire entre ces deux personnages, qui m'ont semblé un peu fades. Je ne pense donc pas continuer cette trilogie, celle-ci ne me semblant pas très aboutie au niveau de l'univers et de l'aspect Fantasy.
Lien : http://leslivresdezaela.blog..
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