Je commencerais en précisant, comme ça ne l'est fait aucune part, que c'est une suite directe à
Mission sur terre, et que si on a le courage de vouloir le lire vaut mieux avoir eu le courage de lire l'autre avant. Quoi que, quand vous aurez lu le 1er, pas sûr que vous ayez envi de lire cette suite, ce qui ne serai pas une grosse perte, car c'est toujours aussi mauvais.
La narration 1ere personne/présent est toujours aussi peu agréable, et le style de l'auteur aussi indigeste.
Le personnage principal m'est apparu encore plus antipathique que dans le 1. Il est pire que superman dans le genre extraterrestre supérieur à nous. Il est plus fort, plus intelligent, à moins besoin de repos que nous, voit mieux dans la nuit et en plus il peut changer l'apparence de son visage comme il veut. Lui manque plus que la vision laser ou de pouvoir voler pour que ça devienne un super héros.
Surtout que niveau technologie il n'a pas plus à envier à Batman : Déjà y a toujours et encore ces fameuses Boules vertes ; puis un paralysateur, mais attention celui-là peut paralyser en partie ou en entier un corps, genre tu déparalyses les jambes pour que ton prisonnier puisse te suivre, pratique, surtout qu'en plus il peut aussi servir de machine de torture électrique ; mais y a aussi la porte de sa cave (tien ça me rappelle quelque chose, mais je ne vois plus quoi) qui ressemble à du bois mais qui en vrai est faite dans un alliage que même de la dynamite aurait du mal à la détruire ; ou encore, la machine à désintégrer les morts ; et j'en passe.
L'histoire est à peine captivante, même si vers la fin il y a un rebondissement auquel je ne m'attendais pas (d'où le demi point en plus par apport au précédent). La surprise passée, on retombe dans du banal très mal raconté et qui m'a ennuyé très vite.
Je voulais voir ce que l'auteur allait faire de ces écologistes de combat, pas grand chose, malheureusement. Il y a bien eu un moment où j'ai bondi de rage dans mon fauteuil, mais après le rebondissement, j'ai mieux compris pourquoi il les avait fait ainsi, et lui en ai moins voulu.
Maintenant, si vous voulez savoir de quoi il en retourne , il vous reste plus qu'à le lire. A chacun son tour de souffrir. En tout cas comptez pas sur moi pour vous épargner cela en vous le spoliant, et, pour vous donnez du courage, sachez qu'il arrive à peine à 100 pages.