Abandonné aux trois quarts... (journal d'Ernest).
Rien à dire sur le style, l'atmosphère XVIIIème. Mais il ne faut pas avoir lu
Sade ou les libertins. Car Pauliska traverse des épreuves dont elle sort toujours indemne au dernier moment : elle se plaint de ses malheurs, mais l'auteur ne va pas au bout des choses. Pourtant, les guet-apens dans lesquels elle tombe, les sectes ou fous qu'elle rencontre auraient pu effrayer et intéresser le lecteur... On se lasse de cette fuite sur la route, et cette perversité n'en a presque que le titre.