J'avoue avoir peu aimé ce livre car je m'attendais a autre chose. Beaucoup trop de noms et de références historiques viennent ponctuer le récit (au détriment de l'intrigue elle même) ce qui fait que j'ai eu beaucoup de mal a suivre l'histoire.
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pas encore lu, je ne le connais pas et me réjouis de le trouver
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Ce roman est l’éloge d’une fille à son père, sans aucun doute. C’est surtout une gigantesque pochade. Et un thriller ésotérique autour de la malédiction du fauteuil 32
Lire la critique sur le site : LeSoir
Amusant pour décortiquer les petits côtés des grands des lettres. Le seul que Nathalie Rheims épargne est son père, et c’est normal, mais pourtant cet homme si cultivé et fin ne laissa pas une trace indélébile dans l’histoire de la littérature.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Fantôme du fauteuil 32 raconte l'histoire d'une jeune femme, Nathalie, qui adorait son père, qui est inconsolable de leurs jolies promenades vénitiennes et qui ne se refuse rien pour prolonger son immortalité avec l'allégresse d'une Indiana Jones égarée entre grimoires, codex et petits-fours.
Lire la critique sur le site : LePoint
Nathalie Rheims rend un double hommage enlevé à son père adoré et à Gaston Leroux, jadis auteur du Fauteuil hanté, roman ayant pour cadre le Quai Conti.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Interview de Nathalie Rheims : "Tout du long, je me suis dit : il y en a assez de cette histoire du fauteuil 32. Quoi qu'il arrive, que Weyergans fasse ou non l'éloge de mon père, cet éloge existe aujourd'hui grâce à mon livre."
Lire la critique sur le site : LeMonde
J’avançais à tâtons dans les lueurs de Venise, engourdie par le froid humide et pénétrant de cette veille de Noël. Une brume épiasse restait depuis l'aurore accrochée à la lagune. À la recherche d'un cadeau pour mon père, j'avais fini par me perdre dans l’enchevêtrement des ruelles, et je rentrais bredouille.
Avant a pas lents sur la place San Gionvanni e Paolo qui me terrifiait depuis l'enfance, je finis par voir surgir l'impressionnante statue du Colleone de Verrocchio, perché sur son cheval, prêt à conquérir le monde. Il me renvoyait à la vision minuscule que j'avais de moi-même durant ces années ou, invariablement, le rituel de Noel recommençait, entre mon père et ses confrères de l’Académie.
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Au programme :
• La musique dans la peau
On continue à passer en revue quelques uns des meilleurs moments de l'émission. "T'as beau pas être beau", "La vie de vaut rien", "L'autre Finistère", autant de concerts quasi privés que nous aont offret Louis Chedid, Alain Souchon où Les Innocents. L'occasion également de nous parler de l'histoire de ces tubes, à commencer par les coulisses d'un succès hors norme "Lettre à France" de Michel Polnareff.
• C'est l'histoire d'un amour
La vie de vaut rien sans amour. Bernard Hinault, Manu Payet ou encore Serge Lama et Nathalie Rheims nous l'ont confirmé avec éloquence.
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