En utilisant les résultats de l'érudition mallarméenne, J.-P. Richard retrouve, selon les procédés de la critique moderne, les motifs autour desquels Mallarmé a constitué son univers. Ainsi s'esquisse une psychanalyse des matières favorites de Mallarmé : glaces, feux, gazes, écumes, eaux limpides ou de ses formes préférées : jets d'eau, corolles, ongles, feux d'artifices.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.