Mandor, Beth, Pip et les autres survolent un monde qui ressemble à s'y méprendre à la bonne vieille Terre mais elle semble désertée de toute présence humaine.
Un nouveau cycle débute et bien qu'il y ait un nouveau titre, qu'un numéro 1 trône sur la couverture, il vaut mieux avoir lu le cycle d'avant sinon vous risquez de ne pas tout comprendre.
Nous partons donc pour un scénario pour le moment classique : un groupe de survivants partant explorer un nouveau monde avec son lot de dangers inconnus. Il y a bien sûr de belles bestioles bien dangereuses et des vestiges intrigants de civilisations.
Hormis ce petit côté de déjà vu, ce tome est plaisant et les dessins s'épanouissent dans la nature sauvage. Beaucoup de mystères restent à explorer!
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Un nouveau cycle sur cette bonne vieille Terre.
Une Terre bien différente qu'ils l'avaient laissé. Avec une faune et une flore étranges, des restes de civilisation sous la végétation, jusqu'à la dernière découverte. Beaucoup de mystères. Combien de temps sont ils partis ? Comment la Terre a évolué ? Que s'est il passe pour l'Homme ? Ce premier tome est intéressant et prenant, on explore la planète.
Les personnages sont un peu en retrait dans ce tome. La plupart ne font que des brefs apparitions sans qu'on en sache plus sur eux. Même Mandor et Beth n'ont pas une psychologie très approfondie. Heureusement le cahier de croquis nous en dit un minimum sur les personnages importants. Ils sont tout de même attachants et touchants. Surtout parce qu'on les a suivi dans le cycle précédent.
J'adore les dessins que je trouve très beaux et qui, avec cette colorisation, renferment une certaine poésie.
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Ce second cycle qui suit la série T.E.R. s'ouvre sur l'exploration d'une planète fort ressemblante à la Terre. Mais cette planète se révèle très étrange et très dangereuse…
L'exploration de la planète par l'équipage de la frégate est intéressante. On découvre une planète étrange et pleine de mystères. On peut dire que ce second cycle s'attache à reconstruire l'atmosphère extraordinaire et énigmatique des premiers tomes.
Le personnage de Beth est par contre insupportable. Je ne comprends pas ces scènes inutiles de dragues lourdes et cette exhibitionnisme délurée de l'ancienne dirigeante.
J'accroche encore un peu moins aussi sur les dessins de ce second cycle. J'aurai aimé un peu plus de couleurs vives pour ces paysages luxuriants et grandioses. le trait du dessin et les couleurs restent aussi sombres que le tome précédent qui avait lieu dans le vaisseau, c'est dommage de ne pas avoir marqué plus de différence au niveau esthétique entre les deux cycles.
Un premier tome qui souffle donc de nombreuses questions et qui promet une suite passionnante.
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Ça parait sacrément vieillot dans le scénario, comme dans le dessin, on se croirait dans un épisode de SF à papa pour petit écran à gros tube cathodique. Et de par ce charme, ça fonctionne.
On se laisse emporter, on visite ce "nouveau" monde et on caracole au gré des pérégrinations et malheurs de nos explorateurs. Plus de questions que de réponse pour l'instant, il est vrai, mais le voyage promet quelques intérêts.
A suivre, donc.
Je n'ai pas lu le premier cycle dont cette série est issue. Mon avis est donc partial et circonstancié à ce fait, mais plutôt positif, non ?
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De la très bonne science-fiction signée par un tandem d’auteurs fortement inspirés !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Avec TERRE, le vieux monde, Rodolphe et Christophe Dubois amorcent une nouvelle trilogie aussi passionnante que leur première collaboration. La rigueur de la narration et l’exigence visuelle en font un indispensable de l’anticipation !
Lire la critique sur le site : BDGest
Ter nous avait fait découvrir une approche de la SF différente, non dénuée de poésie, et on se réjouit que Terre poursuive dans cette voie. On attend ainsi déjà la suite du Vieux monde avec impatience !
Lire la critique sur le site : Auracan
Le tout de force de Rodolphe est de renouveler, recycler, réinventer si ce n’est inventer, une SF que l’on pourrait croire trop souvent répétée [...] TERRE est bourrée de trouvailles et de notions à la fois psychologiques, parfois poétiques voire sociales.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
- Dans l'endroit d'où on vient, il y avait une espèce qui vous ressemblait et qu'on appelait les chats...
- Ici aussi, une espèce vous ressemblait. On l'appelait les hommes...
Chacun est responsable de la planète et doit tout faire pour la protéger à son échelle.
p.28.
- Et puis pourquoi s'être enfermés dans ce sous-sol ?
- Sans doute qu'ils se cachaient ?
- Mais de qui ? De quoi ? Humains ? Animaux ?
- L'homme est le premier prédateur de l'homme !