Les mots d’Everett Ruess touchent au cœur comme s’ils avaient été griffonnés spécialement pour nous, hier soir, sur du mauvais papier, dans une grange de l’Arizona ou un campement navajo, dehors, près du feu.
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Dites que j'ai eu faim ; que je fus las et perdu ;/ Que je brûlai, aveuglé par le soleil du désert ;/ Boitant, assoiffé, affligé d'étranges maux ;/ Esseulé, trempé, gelé , mais que je vécus mon rêve !