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Usagi Yojimbo tome 2 sur 33
EAN : 9782940334995
142 pages
Paquet (23/05/2005)
4.17/5   27 notes
Résumé :
L'histoire d'Usagi Yojimbo, le lapin samouraï, débute dans le premier tome juste après le massacre d'Adachigahara, la bataille qui le transforma en Ronin. Dans ce deuxième tome, le dessinateur Stan Sakai nous ramène à l'enfance et l'adolescence d'Usagi. On y découvre l'éducation et la formation du samouraï aux longues oreilles.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Ce tome 2 regroupe les récits suivants :

"Samouraï" paru de juillet à novembre 1987 est peu ou prou l'origin story de la saga "Usagi Yojimbo" : Gennosuke tombe sur Usagi qui vient de tuer en défi singulier le dénommé Gunichi, qu'il prétend être un ancien ami. le chasseur de primes intrigué lui demande de lui raconter toute l'histoire, et c'est ainsi qu'Usagi fait le récit de sa vie...
On découvre son père magistrat de campagne, sa rivalité avec Kenichi, sa formation auprès du sensei Katsuichi (archétype du sensei sage mais excentrique, qui ici est au centre d'une belle morale : c'est un lion qui apprend à un lapin le vrai courage pour devenir un véritable guerrier de l'âme), son retour chez lui et le triangle amoureux avec Kenichi et Mariko (très badass la façon dont les rivaux s'allient pour chasser les brigands de leur village !), la manière dont il est entré au service du Seigneur Mifune et celle dont le vil et fourbe Hijiki orchestra la chute et le mort de ce dernier à la bataille d'Adachigahara (remember la Bataille de Sekigahara), faisant de notre héros aux longues oreilles un samouraï sans maître vagabondant à travers monts et vallées...
Un très bon récit qui occupe la majorité des pages de ce tome 2 !

"Kappa" (février 1988) est une histoire de yôkai (= créatures étranges) mélangeant bakemono (= monstre) et yurei (= fantôme) : simple mais efficace !

"Zylla" (février 1988) est un pastiche de Godzilla : c'est sympatoche, mais vite lu et vite oublié...

Dans "La Foire de la Soie" (janvier 1988), comme dans "Les Sept Samouraïs" d'Akira Kurosawa le lapin rônin apprend à une communauté à se défendre par elle-même pour elle-même.... Sauf qu'ici les paysans rizicoles sont remplacés par des ouvriers soyers coincés entre un patron voyou les exploitant jusqu'au dernier sou (au point qu'ils n'ont même pas de quoi déménager) et les hors-la-loi qui menacent pour ne pas dire assiègent le village (le patron voyou privilégiant évidemment sa marge bénéficiaire à la sécurité le plus élémentaire). Usagi bat les seconds après avoir arnaqué le premier, et offre l'argent gagné à ses protégés qui quittent en masse la grande entreprise du patron voyou pour fonder entre soviet et coopérative leur propre entreprise. Ce genre de récits antisystème est aujourd'hui très bien représenté dans la culture populaire, mais ils étaient beaucoup plus rares dans les années 1980 à l'époque du triomphe de l'hypercapitalisme reagano-thatchérien, vous savez cette saloperie qui apporte la prospérité à quelques-uns mais qui fait subir des crises économiques à répétitions pour tous les autres !
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Ce tome fait suite à Usagi Yojimbo, tome 1 (récits parus dans Albedo 2 à 4, Critters 1, 3, 6, 7, 10, 11 et 14, Doomsday Squad, et Usagi Yojimbo Summer Special) qu'il vaut mieux avoir lu avant. Il comprend les épisodes 1 à 6 de la première série (celle publiée par l'éditeur Fantagraphics), initialement parus en 1987/1988), écrits, dessinés et encrés par Stan Sakai. Cette série est en noir & blanc. Il comprend une introduction d'une page écrite par Mark Evanier, le coscénariste et dialoguiste de Groo, série créée par Sergio Aragonés (Mad auteur : Sergio Aragonès), dont le lettrage est assuré par Stan Sakai. Ce tome comprend 4 histoires, la première d'environ 90 pages, et les 3 autres plus courtes (entre 20 et 10 pages).

Samourai (90 pages) - Dans une zone herbeuse en bordure d'un chemin, Miyamoto Usagi fait face à Gunichi, un autre rônin. Immobiles, ils s'observent sans avoir dégainé, prélude à une attaque aussi foudroyante que soudaine et définitive. Alors qu'Usagi essuie la lame de son katana pour en enlever le sang de son adversaire, Murakami Gennosuke fait son apparition, ayant observé le duel de loin. Les 2 font un bout de chemin ensemble, et Usagi accepte de raconter à Gennosuke comment il est devenu un rônin, son entraînement auprès de Katsuichi, l'entrainement de son ami d'enfance Kenichi dans une école d'arts martiaux, l'étrange rivalité s'étant développée entre eux du fait des circonstances, la manière dont il est entré au service du seigneur Mifune. Il finit par en arriver aux raisons et circonstances du duel auquel a assisté Gennosuke.

Kappa (10 pages) - Miyamoto Usagi traverse un marais et se retrouve devant un kappa (une créature surnaturelle du folklore japonais). Il acquitte du droit de péage exigé par le kappa en lui donnant des concombres. Il progresse dans le marais et aboutit devant une maison, où il demande à s'abriter à la vieille femme qui y habite. Zylla (10 pages) - Un couple de coupeurs de bois (woodcutter) a trouvé un oeuf énorme dans les bois. Ils essayent de le cuire dans une source d'eau chaude, mais il finit par éclore, et la femme et l'homme préfèrent s'enfuir plutôt que de devoir affronter une créature indéterminée. Peu de temps après, Miyamoto Usagi vient s'y baigner et est agressé par des bandits souhaitant le délester de sa bourse. Silk Fair (20 pages) - Miyamoto Usagi passe quelques jours dans un village où doit se tenir une fête de la soie. le couple d'ouvriers qui l'hébergent lui explique leur situation économique (salaire de misère) et leur impossibilité d'aller s'installer ailleurs à cause des bandits qui rôdent autour de la ville.

Avec ce deuxième tome et le début d'une série régulière, l'auteur prend confiance en lui et raconte donc l'histoire de son personnage principal. L'ouverture reprend les conventions propres au duel de sabre, avec les combattants s'observant pour se jauger, sans rien laisser paraître avant de se lancer l'un sur l'autre, pour se porter un unique coup fatal. Stan Sakai met en scène ce face à face dans des cases de la largeur de la page pour un effet panoramique efficace. Alors même que l'amitié entre Usagi et Gennosuke semblait très relative, le premier raconte l'histoire de sa vie au second en toute ingénuité, dans un dispositif narratif qui permet de relier le temps présent, avec le temps passé. Au-delà de la faible vraisemblance de telles confidences aussi exhaustives, le lecteur observe que le scénariste maîtrise les conventions de ce genre de récit. La phase d'apprentissage aux côtés du maître Katsuichi défie les codes des comics, pour une approche plus réfléchie, pour des leçons plus subtiles. Alors que l'enfant attend avec impatience de manier le sabre, il se retrouve à effectuer les corvées d'eau et de bois. Alors qu'il pense qu'il va bénéficier d'explications et de pratique de passes d'arme, il se fait rabrouer régulièrement et surprendre par son mentor qui en profite pour le frapper d'un coup ou le faire choir alors qu'il ramène un seau plein d'eau

Stan Sakai persiste et signe dans son approche graphique, à commencer par le choix de personnages sous forme d'animaux anthropomorphes. Bien sûr, Katsuichi est un lion, un peu marqué par le poids des ans, avec une allure noble et posée, à l'opposé de l'entrain non canalisé de son jeune protégé. Mais cependant, le dessinateur n'en fait pas de trop dans le choix des animaux, évitant une dichotomie entre les animaux nobles et utiles pour Usagi et ses alliés qui auraient été opposés à des animaux nuisibles et repoussants pour les ennemis. Il continue d'hésiter de temps à autre, entre des dessins épurés pour en faciliter la lecture, et des décors avec plus de détails et de texture pour leur donner plus de consistance. Il n'y a néanmoins pas de solution de continuité dans ces 2 formes de représentation. de temps en temps, le lecteur attentif observe que l'artiste teste des idées différentes, comme par exemple des traits plus fins pour les contours, ou des cieux tourmentés pour rendre compte de l'état d'esprit des personnages, ou encore une page avec 16 cases de même dimension pour rendre compte de la rapidité des coups portés pendant une bataille.

Tout du long de ces 6 épisodes, le lecteur apprécie la lisibilité très rapide des dessins, ainsi qu'une forme très discrète d'attention portée aux détails. Comme dans le premier tome, il est visible que Stan Sakai a passé plus qu'un minimum de temps pour se familiariser avec les constructions de l'époque et le mobilier courant, ainsi que les tenues. le dessinateur ne se fait pas plaisir en étalant sa culture au travers de cases dédiés à ces aspects de la vie courant à l'époque, par contre ces détails sont toujours justes et exacts dans les scènes du quotidien. Ce souci d'une authenticité, même avec un rendu simplifié, augmente le plaisir de lecture. Sakai conserve les particularités des combats établies dès le premier tome : les épées coupent et entaillent, mais les blessures ne sont jamais apparentes. Il y a parfois du sang, mais c'est très rare et uniquement pour attester de la gravité d'une blessure incapacitante. Lorsque des guerriers meurent, c'est hors champ de la case/caméra, et ils rendent souvent leur dernier soupir sous la forme d'une tête de mort animale dans un phylactère. Enfin, les étranges tokage (mi lézard, mi petit dinosaure) font partie de la faune locale comme s'ils existaient vraiment.

Au fur et à mesure de la découverte de la jeunesse d'Usagi, le lecteur discerne la source d'inspiration de Stan Sakai, et en conclut qu'il s'agit d'un hommage réalisé sciemment. Une fois passée la phase d'apprentissage, il y a donc cette étrange forme de rivalité et d'opposition avec son ami d'enfance, ainsi que la mort de son daimyo sur le champ de bataille qui fait passer Usagi de l'état de samouraï à celui de rônin. Tout cela évoque le roman d'Eiji Yoshikawa disponible en 2 tomes en français : La Pierre et le Sabre & La Parfaite lumière. D'ailleurs le nom même de Miyamoto Usagi est une référence à celui du personnage historique de ce roman : Takezo Shinmen qui prend par la suite le nom de Miyamoto Musashi. L'amateur de manga reconnaît également quelques éléments du manga Vagabond de Takehiko Inoué, une adaptation du même roman, dont la prépublication a débuté en 1998, soit 10 ans après le début d'Usagi Yojimbo.

Non seulement les animaux anthropomorphes donnent une personnalité totalement unique à cette adaptation très libre, mais en plus Stan Sakai y apporte de nombreuses modifications qui en font plus un hommage qu'une véritable adaptation, faisant de la série une oeuvre originale et autonome. Les 2 histoires courtes suivantes montrent à nouveau Miyamoto Usagi reprendre ses vagabondages, et se retrouver face à une manifestation surnaturelle, puis à un animal fantastique. C'est à nouveau un choix de l'auteur de nourrir les aventures de son héros avec les créatures des contes et légendes folkloriques japonais. le lecteur peut ne pas goûter à ce type d'histoire, mais elles font partie intégrante de la série, Usagi croisant des yokai assez régulièrement. La dernière histoire revient dans une trame beaucoup plus naturaliste, et même sociale, voire politique avec la situation économique d'un couple d'ouvriers et de leurs enfants. À l'instar de Sergio Aragonés dans Groo, Stan Sakai met en scène une forme d'exploitation économique des travailleurs, reflétant une réalité historique, et utilisant Usagi comme un catalyseur du changement, redressant un tort qui relève de l'asservissement capitaliste. Cette histoire, comme les autres, est avant tout une aventure racontée avec légèreté et quelques touches d'humour, mais elle atteste d'une sensibilité et d'un humanisme qui s'expriment avec douceur et intelligence, et un grand respect pour les individus. D'ailleurs Stan Sakai intègre des petites touches d'humour régulièrement, comme une version très personnelle de Godzilla.

Dès ce deuxième tome, Stan Sakai prouve qu'il mérite sa place dans la cour des grands, avec des animaux anthropomorphes improbables, dans un Japon féodal. La qualité de cette histoire tient à la fois de la personnalité nuancée et adulte d'Usagi Yojimbo, de la reconstitution historique intelligente, de la maîtrise des conventions du genre chanbara adapté tout public, d'histoires inventives, des dessins vivants et clairs, et de l'humanisme discret de l'auteur.
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Pendant une grande partie de ce deuxième volume, nous suivons les années d'apprentissage du samouraï, auprès de Katsuichi, vieux senseï aussi sage qu'exigeant. « L'épée est l'âme du samouraï et le symbole de sa position. Apparaître en public sans elle est une disgrâce, car derrière l'âme se trouve l'esprit. Quand tu frappes, frappe d'abord avec ton esprit. » (p. 18) On voit le jeune Miyamoto avec ses oreilles encore libres du catogan des samouraïs (et c'est absolument trop mignon !). Il raconte sa jeunesse à Gen, compagnon plus ou moins gredin dont il ne cesse de croiser la route. « Tu n'es pas un ami ! Tu es un tricheur et un manipulateur, indigne de confiance et... / OK, j'accepte tes compliments. Maintenant, je te laisse m'offrir un verre et tu pourras continuer à me raconter ton histoire. » (p. 54) le lapin ronin détaille également les circonstances qui l'ont conduit à entrer au service de maître Mifune, seigneur auquel il est resté fidèle jusqu'à la mort de celui-ci, et même au-delà.

Ce tome d'apprentissage est plutôt sombre et s'attarde un peu sur les agitations politiques du Japon, mais moins que le précédent. Il s'agit surtout de comprendre comment Miyamoto est devenu un ronin et pourquoi il reste fidèle au code des samouraïs. « Pourquoi l'as-tu tué ? Pour l'argent ? / Bien sûr que non ! C'était une dette d'honneur. / Ah ! L'honneur ? Je ne connais pas ce mot ! L'argent, ça, je peux comprendre ! » (p. 8) Parce que l'honneur, c'est également savoir punir ses amis quand ils trahissent le bushido. Cependant, cette bande dessinée ne manque pas d'humour et d'une certaine légèreté. Stan Sakaï introduit des créatures du folklore japonais, comme des fantômes qui offrent l'hospitalité ou des kappas, ces démons aquatiques dont le crâne ouvert rempli d'eau ne doit jamais se vider. Et Miyamoto croise aussi la route d'un étrange dragon cracheur de feu nommé Zylla, ou peut-être Godzylla...

Il y a bien des animaux dans ces pages : lapin évidemment, phacochère, rhinocéros, lion, chat, ours, loup, renard, blaireau, tigre ou encore souris. Et toujours ces sortes de lézards/dinosaures sortis d'une époque préhistorique. Entre parenthèses sont proposées les traductions des mots japonais utilisés. C'est bien plus pertinent qu'un lexique en fin d'ouvrage ou que des notes de bas de page, car cela ne brise pas le rythme de lecture de cases en cases.

Je poursuis avec bonheur ma découverte du brave Usagi Yojimbo avec ce deuxième volume et les suivants m'attendent déjà dans la pile à lire !
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Le premier tome n'avait pas été très convainquant. Ce deuxième tome se montre beaucoup plus plaisant. On découvre comment Usagi est devenu un samouraï. Il raconte son passé à son copain malhonnête Gen suite au fait qu'il a tué un homme. Bien entendu, la dessous, il y avait une question d'honneur à défendre. "- Pourquoi l'as-tu tué ? Pour l'argent ? -Bien sûr que non ! C'était une dette d'honneur. - Ah ! L'honneur ? Je ne connais pas ce mot ! L'argent, ça, je peux comprendre ! » (p. 8) Les vieux principes d'un autre temps. D'ailleurs, c'est pour cela que d'autres choisissent une autre voix. C'est à cause de ça que les samouraïs ont disparu.

Les autres histoires prouvent la bravoure de notre héros qui botte le cul à tous ces criminels osant se servir de leur épée contre des pauvres ou des femmes sans défense. Un récit sort du lot avec un oeuf géant avec dedans un dinosaure. On en voit assez régulièrement à travers les aventures. On a l'impression que le bédéaste apprécie beaucoup les petits animaux soit imaginaire ou soit réaliste comme les tortues. Et après, il y a un jeu de mot avec l'animal qui ne dit que Zylla et dire que c'est un dieu. Cela donne Godzilla. le dessinateur américain fait une référence à la culture japonaise. D'autres aspects du folklore japonais sont exploités. Comme des fantômes qui offrent l'hospitalité ou des kappas, démons aquatiques dont le crâne ouvert rempli d'eau ne doit jamais se vider qui demande une offrande ou la vie. Sans oublier les délicates références à L Histoire nippone avec la bataille d'Adachigahara en référence avec la bataille de Sekigahara. Un mélange culturel assez homogène qui permet de passer un bon moment de lecture.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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si le premier tome donnait quelques instantanés de la vie d'Usagi, celui-ci inscrit le premier récit dans l'initiation du lapin au rôle de samouraï, par son vieux maître, au fin fond des montagnes. Tout y est : le maître bougon, mais sympathique (et talentueux), les adversaires envieux mais médiocres, le duel contre un ami (plusieurs fois d'ailleurs) déchirant le héros entre son devoir et son désir ...Bref, Usagi, c'est bien.Enfin, la première histoire est très bien. L'histoire de Kappa est peine un interlude, et celle sur les ouvriers de la soie, quoiqu'assez typique, est peut-être moins forte émotionellement.
9782811200077"
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Les 2 épées, le katana et le wakizashi sont les symboles propres aux samouraïs. En effet, elles définissent l'âme du samouraï.
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"L'épée n'est pas juste une arme... C'est aussi un miroir. Elle reflète l'âme du samouraï. Elle est l'âme du samouraï. Comme la lame peut être ternie, l'âme peut être corrodée. Le maniement de l'épée est une discipline et une manière de renforcer sa spiritualité. Alors garde ton âme vive et claire... Souviens-toi... Un vrai samouraï ne cherche pas la bagarre... Mais il essaye de l'éviter. Les meilleures âmes sont celles qui sont gardées dans leur fourreaux."
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« L’épée est l’âme du samouraï et le symbole de sa position. Apparaître en public sans elle est une disgrâce, car derrière l’âme se trouve l’esprit. Quand tu frappes, frappe d’abord avec ton esprit. » (p. 18)
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Le shogun n'avait pas encore fermement établi son règne... et ceux qui se languissaient de pouvoir étaient prêts à tout pour l'obtenir. C'était une époque de guerre imminente, d'agitations politiques, d'intrigues et d'assassinats...
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L'argent ne peut appartenir à un défunt ! Il se languit d'être dépensé !
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#Netflix #InstantShôjo #LaGrossesseDeMHiyama #HesExpecting
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