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4,05

sur 4967 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Louis, 12 ans, accompagne sa mère au brunch dominical chez sa grand-mère. Il est en skateboard dans les rues de la ville et comme sa mère est encore une fois au téléphone pour son boulot, il décide d'accélérer.

Et c'est l'accident.

Un camion le heurte de plein fouet. Il est gravement blessé et tombe dans le coma.

Alors que les médecins ne sont pas très optimistes sur son avenir, sa mère tombe sur un carnet de son fils dans lequel il a noté ses "merveilles" à vivre absolument.

Ce sont ces voyages et ces expériences qu'elle décide alors de réaliser pour lui, tout en se filmant et en racontant à son fils ses péripéties, afin de lui montrer que la vie vaut d'être vécue et de lui donner l'envie de se battre et de sortir de son coma.

A mon avis :

Convenu, prévisible, niais, ridicule, improbable... sont les mots qui me viennent au moment d'écrire cette publication sur ce livre de Julien Sandrel.

Aucune surprise au long du récit, tout est prévisible au possible et on est terriblement déçu à chaque fois qu'une porte ouverte est enfoncée alors que les auteurs actuels sont normalement attentifs à ce défaut.
Allez, faites l'essai vous-même : imaginez ce roman en partant de cette mère qui va vivre les rêves de son gamin de 12 ans, en essayant de deviner ce que cela va lui apprendre sur la vie, sur sa relation aux autres et avec sa propre mère, sur sa relation au travail, etc. Et forcément, sans vous creuser la tête, vous tomberez juste !

Par ailleurs, moi qui croyait que les médecins faisaient de l'acharnement thérapeutique, ah ben là, que nenni ! "Dans un mois, s'il ne s'est pas réveillé, on le débranche"... emballé, c'est pesé ! le pauvre gamin n'aura pas droit à une deuxième chance !
Inutile de vous dire le temps que prendra sa mère pour réaliser les aventures de son fils, hein ?

Ah oui ! Il y a aussi la rencontre avec le bellâtre... car elle est mère célibataire et lui veuf, artiste et toujours disponible quel que soit le moment bien sûr...
Au secours, le roman à l'eau de rose niais frappe à la porte ! Il l'enfonce même !

Et puis vous qui pensez que Paris est une grande ville... tututut, c'est tout petit ! le frère de l'infirmière qui soigne votre fils et qui est aussi la seule avec laquelle, bien qu'il y en ait treize à la douzaine dans l'hôpital, vous ayez des atomes crochus, c'est aussi son entraîneur de foot... et sa fille c'est bien évidemment la copine de votre fils... ben oui !

Bon allez, il y aurait encore beaucoup à dire sur ce livre et ses situations improbables, qui, comme vous l'avez deviné (?), ne m'a pas emballé... mais il faut aussi dire qu'il se lit facilement et qu'il vous plaira si vous êtes plus indulgent que moi...

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Ce livre, annoncé comme un best-seller international, incontournable et extraordinaire, est pour moi, une énorme arnaque! Il aurait pu être (et a peut-être été) écrit par un logiciel ayant détecté toutes les ficelles qui font que les gens achètent , lisent et aiment... Je l'ai lu de bout en bout, cependant, comme si je lisais un scénario d'une série tv.....donc aucun intérêt! autant regarder le petit écran ! La littérature, ça ne doit pas être ça, enfin! ça m'énerve!!
Aucune émotion, aucune empathie pour les personnages, c'est tellement convenu, prévisible et , surtout, improbable!! le gamin dans le coma qui donne ses pensées et ressentis, en commentant (ah que c'est drôle! )avec des expressions de jeunes que les moins de 40 ans ne peuvent pas comprendre, soit-disant....La mère qui sillonne le monde pour vivre la vie de son fils, vraiment n'importe quoi! et bien sûr, le gamin va se réveiller, la mère va trouver l'amour, l'amitié, l'argent, le bonheur, la sérénité...Que c'est niais mais que c'est niais!! Les contes pour enfants sont beaucoup mieux écrits et tiennent plus la route. Parfois je me dis qu'avant d'éditer un livre, il faudrait se poser les bonnes questions...Allez, je sais bien que c'est juste pour faire de l'argent.... Ne m'en voulez pas trop, mais ça fait du bien de dire ce qu'on pense parfois!
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La jolie couverture colorée et les bons échos sur le livre ont eu raison de moi et je me suis laissée tenter par ce bouquin dont le pitch a tout de repoussoir.

Je craignais de la guimauve, des situations irréalistes et une fin cousue de fil blanc. Je n'ai pas été déçue du voyage car c'est le menu de ce bouquin insipide, naïf et larmoyant.

Je n'ai pas cru une seconde à l'histoire et le style fadasse de l'auteur n'a pas arrangé les choses.

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Je viens de fermer ce livre, qui me laisse un avis très mitigé voir un certain malaise car il aborde quand même un sujet très grave.

Les personnes ne sont pas toutes fait du même bois (comme on dit) et mes réactions face à tout cela seraient aux antipodes de ce que j'ai lu.



C'est bien joli tout ça, mais ça n'a rien de réaliste.

Pour moi une histoire "à l'eau de rose" rien de plus.

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J'ai été très déçue par ce roman dont l'idée de base est pourtant séduisante. J'ai trouvé le style un peu gnangnan et le personnage principal (Thelma) assez insupportable. J'ai du mal à imaginer qu'une mère puisse voyager à l'autre bout du globe pendant que son fils de 12 ans est entre la vie et la mort, tout en vivant une romance fleur bleue avec le prof de football. Dommage, je pense qu'il aurait été possible de créer de la magie et des émotions avec un récit plus réaliste et plus complexe... comme la vraie vie !
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L'histoire n'est pas déplaisante, loin de là s'en faut, je crois qu'on peut comprendre son succès, je la qualifierais justement de trop consensuelle. Tous les éléments du récit sont utilisés pour plaire et attendrir le lecteur: cette cadre dynamique mère célibataire, l'enfant unique accidenté qui ne se réveille pas, la figure de la mère courageuse qui fait front malgré tout, le patron antipathique sexiste et grossier, l'avocat vénal uniquement intéressée par la convention d'honoraires qu'il pourra faire signer à sa cliente, et évidemment, .

Le thème du roman, celui d'une mère dépassée par les événements et impuissante devant le sort de son enfant au bord de la mort, en train de dépérir lentement, est forcément évocateur et émouvant. Et il mériterait d'être franchement mieux traité qu'il ne l'a été fait par l'auteur, c'est-à-dire: par-dessus la jambe. Je suis en colère parce que je crois que par manque de talent, l'auteur a délibérément choisi la voix de la facilité et a choisi de traiter un sujet qui ne peut que bouleverser le lecteur, l'accident d'un enfant, pour fabriquer son roman. À défaut d'avoir le style et les idées, de bons mots pour fouiller et approfondir l'intrigue, les psychologies des personnages qui mériteraient d'être soigneusement décortiqués, méticuleusement et subtilement travaillées. Ce qui finalement constitue toute la richesse d'un roman. On remarquera, par exemple, que Julien Sandrel ne se rabaisse jamais à rédiger le moindre passage descriptif de Thelma, de qui que ce soit ou quoi que ce soit par ailleurs. Aucune description, niet. À part, bien évidemment, au détour d'une phrase, la mention du « mascara hors-de-prix » qu'elle porte, ce qui apparemment relève de la tare. Malheur à vous, si vous avez pour habitude d'aller bruncher, une paire de Louboutin aux pieds, et le dernier Volume ultra-noir de Chanel sur les cils.



Non, l'auteur pond une succession de caricatures toutes les plus grotesques les unes que les autres, comme ce portrait de la femme superficielle qu'il nous dresse, cette working-girl qui a presque plus d'intérêt pour ses « escarpins rouges sang » que son enfant et qui va bruncher le dimanche avec sa mère. ….Sérieusement?

Trop de bons sentiments. Trop de clichés. Une histoire beaucoup trop prévisible. Sans nuance. Mais enfin, est-ce vraiment crédible, tout ça? Il me semble évident que l'auteur a voulu donner au lecteur ce qu'il a peut-être besoin d'entendre et de lire, de le faire rêver, ce qui manque peut-être dans cette vie quotidienne, plus d'optimisme, de couleurs, alors que l'on nous abreuve chaque jour d'une ribambelle d'horreurs sans noms. Ce roman trop sucré, avec son titre modérément emphatique (!) inscrit sur une couverture furieusement bigarrée, sur laquelle il ne manque plus qu'une licorne, voyez-vous, m'a prodigieusement agacé, et vous le constatez, continue de m'agacer aujourd'hui. Rajoutons à cela, il semble que le public visé, et rien que d'écrire cela me coûte, est celui des femmes, avec cette femme esseulée qui rencontre son prince charmant, évidemment (parce que naturellement, une femme ne peut être heureuse qu'en couple, hein), et qui finissent par vivre heureux, etc. Dernière remarque, celle de la mère perplexe que je suis devant ce récit, il arriverait par malheur que votre enfant gravement blessé tombe dans un profond coma, les jours passent sans qu'il ne reprenne conscience, iriez-vous, pendant ce temps, faire un Trail en Mongolie, vous?

Je ne parle même pas de l'intolérance qui ressort de ce texte et de cette misogynie latente – alors que j'imagine que l'objectif de Julien Sandrel était l'opposé de cela – et cette suffisance nauséabonde, qui cataloguent tout de suite cette femme, qui a le malheur de porter une paire de jolis escarpins, comme une sombre dinde sans cervelle et d'opposer à la vie citadine superficielle, la vie en campagne, évidemment idéale. Est-ce qu'une femme a encore le droit d'être apprêtée et, en même temps, de ne pas être considérée comme une idiote? Cerise sur le gâteau, les hommes ne sont pas davantage épargnés d'un côté, les sombres phallocrates de service qui n'ont à la bouche que les jolies tournures de phrase que voilà: entre le « MILF » et le « t'es bonne », c'est à ce moment-là que des larmes (de rire, de consternation) me sont montées aux yeux. de l'autre, le surhomme, éternel sauveur de ces dames, Superman, parfait en tout point, évidemment. Excusez ma véhémence, mais l'auteur y aurait gagné, et en premier lieu son texte, d'être plus mesuré et moins tranché dans ses propos.

Enfin, pourrait-on éviter les « merde », les « connard », ‘bordel » et « putain » intempestifs, s'il vous plait-merci, si ce n'est pas trop demandé, nous ne sommes pas chez mémé ici (il fallait bien que ça sorte). Avec ça, la fin est sirupeuse à souhait, à l'image du récit, de cette couverture, qui en met plein la vue, certes, grâce à cette explosion de couleurs chatoyantes d'un bel effet, mais qui finalement ne semble être qu'un très joli miroir aux alouettes, ne représentant au fond pas grand-chose.
t.
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Je dois avoir un problème, mais c'est une des rares fois dans ma vie où je me suis sentie incapable de continuer le livre. Il m'est devenu impossible de tourner les pages tant rien ne m'a touchée dans ce roman. Je n'aime pas du tout l'écriture, le style, le fond, la forme. Aucun intérêt, aucune sensation, de l'ennui.
Trop matriarcal pour moi, l'homme est dénigré dès les premières pages sans raison, trop cliché et stéréotypé. Les relations mère/enfant c'est bon…
Bref, heureusement que je ne fais pas la majorité et que ce roman à merveilleusement bien trouvé public.
Je préfère pour ma part les écritures plus recherchées, moins tout venant…
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Qu'est-ce qu'une mère ne ferait pas pour son fils? Lorsque Louis tombe dans le coma à la suite d'un accident de skateboard, Thelma se promet de faire tout son possible pour encourager son petit homme à se réveiller. Heureusement pour elle, Louis a pris soin de consigner dans un carnet ses rêves les plus fous : elle n'a plus qu'à suivre le guide pour prouver à son fils que la vie vaut d'être vécue !

Julien Sandrel part d'un sujet extrêmement touchant, une mère prête à tout pour faire sortir son enfant du coma, ajoute un petit twist avec cette liste d'envies et … utilise tous les lieux communs possibles et imaginables pour s'assurer que son livre parlera au plus grand nombre. Oui, la quatrième de couverture annonçait un roman à l'eau de rose, la police énorme et la couverture colorée vendaient ce récit comme un divertissement grand public – pourtant, j'avais quand même espéré mieux que ça, vu les chroniques dithyrambiques que j'ai pu lire. Certes, l'histoire, un peu tirée par les cheveux, ne pouvait probablement pas se passer de quelques raccourcis pour fonctionner, mais certains sont tellement énormes qu'ils rendent le roman complètement prévisible et totalement irréaliste.

Mais plus que ce récit bancal, ce qui m'a foncièrement empêchée d'apprécier ce roman, c'est son style d'écriture. S'il est exagérément caricatural quand Louis parle, avec l'ajout d'une mention entre parenthèses « pour les plus de quarante ans » au moindre de mot de jargon, il est aussi désespérant d'humour facile et de naïveté franche dans tout le récit. Aucun sentiment suggéré, aucune surprise possible dans l'intrigue, aucune possibilité d'interprétation : tout est dit, annoncé, expliqué, comme dans les livres pour enfants. A chaque rebondissement, l'auteur nous explique ce que nous devons comprendre, penser, ressentir, avec un manque de sensibilité et de nuance confondant, bridant toute créativité de la part du lecteur et ôtant tout suspense du récit.
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J'avais lu beaucoup de bonnes critiques sur ce livre, j'avoue avoir été déçue. j'ai failli l'abandonner à plusieurs reprises.
Le sujet est grave et il y a trop de légèretés à mon goût.
Comment une mère peut elle laisser son fils à l'hôpital dans un état aussi grave et vivre à l'autre bout de la terre même s'il s'agit de réaliser les rêves de son fils. Moi je n'y crois pas.
La mère et la grand mère sont grotesques.
Les pensées de Louis dans le coma n'arrangent rien !
il y aurait encore beaucoup à dire mais en résumé le livre est plat, ennuyeux avec des situations improbables.
Bref une grande déception !
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Tout est convenu dès le départ, tout est deviné dès le départ, sans surprise à la limite du niais , du blabla feel good comme on dit en ce moment Je m'étonne qu'un auteur homme se soit attaché à décrire sa supernana mère de famille survoltée, fille d'une autre femme qui se veut originale et dotée d'un gamin dont on sait qu'il s'en sortira et que le bonheur est au bout de la route, en évitant bien sûr les hommes méchants ..... Non, laisser tomber ce livre là . Peut être lirai-je un autre livre de ce jeune auteur branché...mais ce sera pas pur hasard
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