Les cahiers d'Esther, tome 6 : Histoires de mes 15 ans

Aïe, là, on s'attaque sur un terrain miné (pour moi) avec un sujet extrêmement sensible : l'arrivée du coronavirus et du premier confinement. Certes, dans les première pages, l'ambiance est encore agréable avec Esther qui réussit à convaincre ses parents de la laisser organiser une super fête pour ses quinze ans (eh oui, le temps passe vite, et aussi pour elle...qu'elle est loin la petite Esther insouciante que l'on découvrait dans le premier tome alors que celle-ci n'était encore qu'à l'école primaire). Eh oui, il y aura de l'alcool et au moins 50 personnes...mais bon, tout cela, c'était avant l'arrivée de ce que l'on appelle covid 19 et de moins en moins coronavirus. Oui, il est clair qu'il y avait un "avant", un "pendant", à savoir maintenant (même si ici, dans cette bande-dessinée, on a l'impression malgré la présence des masques qui sont présents jusqu'à la dernière page à savoir le jour de la rentrée en Seconde d'Esther que celui-ci est passé...bon il est vrai qu'il faut être positifs car avec l'arrivée des vaccins, on a déjà faits d'énormes progrès mais bon, je ne vais pas me lancer sur un sujet aussi sensible) et il aura, je l'espère bientôt un "après".

Si il est vrai que j'ai pris toujours autant de plaisir à voir Esther évoluer, grandir, mûrir, avoir des Crush et découvrir comment une ado de 15 ans a vécu cette période de confinement (surtout avec un père qui est un peu comme moi en fait, à savoir qu'il a la phobie des microbes quels qu'ils soient) surtout dans une ville comme Paris (pour moi qui vit dans le Sud de la France dans une toute petite ville, je vous assure que c'est une grande découverte), j'avoue que le sujet m'a mis mal à l'aise en m'a replongé dans l'angoisse (enfin, je suis toujours "en mode stress" pour reprendre un peu la façon de parler de notre jeune héroïne) mais c'est une lecture qui m'a également fait beaucoup de bien (oui je sais c'est paradoxal mais tout cela veut bien dire que malgré trout, la vie continue).

Un graphisme toujours aussi accrocheur (version noir et blanc avec quelques cases en rouge ou vert parfois et quelques notes de couleurs mais assez rares) et une histoire dans laquelle chacune et chacun de nous (quel que soir notre âge) peut se retrouver ! A découvrir et à faire découvrir !

6eme tome des cahiers d'Esther, c'est fou j'ai l'impression de lavoir vu grandir, tellement heureuse à chaque tome qui sort, car Esther existe réellement, Riad Sattouf c'est même amusé à publier une photo d'Esther on voit juste une partie de son visage caché par le nouveau tome, donc cette jeune fille existe réellement et vit les même situation qu'on vit tous plus moins comme le Corona.

Esther a maintenant 15 ans, elle a pour l'occasion organiser une fête, mais elle est souvent très influencé, les garçon avec qui elle est ami et qu'elle a invité à son anniversaire, ont pas invité Esther et ses copines a certaines sortie, pourquoi ? Car elle ne sont pas amusante, les garçons disent à Esther les raisons, ont apprend donc que de nos jours pour être " cool " il faut boire de l'alcool, fumé, faire les fous et sans surveillance, plutôt inquiétant pour les parents et certaines jeunes qui ont envie de ce fondre dans la masse, malheureusement c'est un constat et c'est la vérité total, même si je trouve que le millieux d'Esther n'a pas l'air d'être surveillé par leur parents ou autre, fumé et boire de l'alcool à 15 ans ça me choque, et j'ai remarquer que les lycéens des écoles " Bourges " ne sont pas aussi sage qu'on veut le faire croire au contraire, Esther a parfois l'air d'être influencé la preuve pour prouvé qu'elle est cool elle invite toute sa classe et autorise même les invités de sa classe d'inviter d'autre amis à eux etc, résultats 50 personnes à la fête et les parents d'Esther l'autorise pour l'alcool , même si elle n'en boit pas, ses camarades ce font plaisir, les parents d'Esther peuvent paraître très laxiste avec Esther par moment mais le père d'Esther est toujours aussi protecteur envers sa fille chérie, ça commence même à agacé Esther qui parle parfois mal à son père , elle lui ment, elle ne l'écoute pas , résultats Esther ce met parfois dans des sales draps, comme quand elle parle avec un inconnu sur Instagram qui n'était pas comme elle l'imaginais, bon elle est encore jeune 15 ans , donc les couples ne sont pas aussi sérieux, un petit mot pour largué en SMS ça passe et ça cassé, Esther ne vit pas de situation où elle pleure , enfin elle a l'air de s'en foutre même , comme pour son copain de Metz, bon elle était effondré sur le coup mais en prenant du recul elle le vit bien et continue la vie .

Esther a évolué je trouve, quand on lit histoire de mes 10 ans on voit qu'elle a changé, sa manière de parler et raconté ses histoires , elle est moin arrogante, moin méchante et ne pense plus à elle, elle veut même faire un métier dans l'aide humanitaire, aidé les plus démunis etc, alors qu'elle disait petite qu'elle voulait être éditrice, elle ne lit presque plus, comme tout les jeunes de ce monde, on grandit on évolue, et on n'a plus les même désirs et pensée qu'il ya 5 ans, j'aime voir son évolution et je trouve qu'elle évolue plutôt bien, même si elle a tendance a vouloir dévié, comme quand elle est en admiration pour sa copine Léa qui fume , à cet âge là on n'est tous influencé, et on veut faire comme les autre, même si c'est pas bien, heureusement Esther est quand même très bien encadré par sa famille .

Le confinement Esther n'y croyait pas, son père déjà maniaque des maladie, commande plein de masque et gel hydrologique sur Amazon, la maman d'Esther a failli l'attrapé, elle prend conscience Esther de la situation qui touche le monde entier, et que la France a pas si bien agis, j'aime beaucoup découvrir c'est réflexion , c'est pensée sur la situation, comme quand elle rêve de la pénurie de chocolat, et aussi quand elle parle d'une ancienne histoire asiatique, malgré tout elle arrive comme tout le monde à s'en sortir, applaudis par sa fenêtre, les journée parfois routinante, elle découvre Léna situation , elle nous apprend la recette de la galette bretonne miam, fais ses cours en visio et obtient le brevet avec mention très bien, qui aurais cru que un jour dans les cahiers d'Esther il allait avoir une pandémie , pas moi

Son frère Antoine a mûri je trouve, mais reste toujours agacent au yeux de son père et relou au yeux de sa soeur , a la fin du tome il va vivre en colocation avec ses amis pour ses études, cela fait drôle pour Esther ,qui avais l'habitude des blagues hilarante, et de ses théories du complot, ça m'a fait rire le fait qu'il est une petite amie, il mentait pas j'espère 😬?
Elle parle un peu moin de sa mère dans ce tome, ah si elle connait bien son métier d'assurance, mais elle préfère faire son stage dans la salle de sport de son père, son père qui a d'ailleurs un peu changé c'est habitudes, il me fait rire son père, mais je trouve qu'il est un peu trop laxiste avec Esther .
Son petit frère Gaëtan maintenant 5 ans est tout mignon, est mis sage qu'Antoine, c'est un enfant encore c'est normal 🤗

Les rapports que Esther à sur la société évolue à chaque fois, elle nous parle de l'actualité enfin son point de vue, de ce qu'elle aime, les musique qu'elle aime écouter, son style , ses copines , Esther reste toujours authentique dans sa manière de parle mais cette fois elle ce rend compte des choses, j'aime parfois son point de vue notamment sur les riches, elle n'a pas tort dans le fond, sur certains sujet elle ne sait pas trop quoi dire et donne plus sa vision à elle, quand c'est le deconfinement, Esther est toujours aussi dégouté des garçons qui ont toujours un caractère déviant, l'insulte , et regarde les filles qui font la queue des magasins, Esther a tenté de se mettre en couple mais bon rien de sérieux et ça a plus moi fini.

Esther ce rend compte aussi de comment elle était petite, ça me fait rire et en même temps nostalgique car nous tous en vrai on ce rappele de notre petite enfance et de notre évolution, elle ce rend compte qu'elle était un peu dans la lune comme tous les enfants en effets, elle senfoutais de ce qui lentourais, la maintenant elle est indigné par l'injustice, elle voulait être éditrice et aimé lire des livres, la elle veut travailler dans l'humanitaire et aidé les gens ( je trouve ça magnifique ), et n'aime plus lire et à moin d'imagination, ça je l'ai remarquer avant elle nous raconter ses histoires comme quand elle racontait les livre qu'elle voulait publier, elle avais une insouciance alors que la elle ce rend compte des choses, elle était méchante et suivez la troupe , elle ce sent mal par rapport à Mitchell qu'elle insulter sans aucune raison auparavant, bref elle prend conscience des choses et de son évolution surtout par rapport au cahier d'Esther qui l'intéresse par rapport à quand elle était petite .

Pour conclure ce tome je l'ai beaucoup apprécié, mieux que le précédent tome, je l'ai trouvé intéressant, et je me demandais comment Esther a vécu cette pandémie , même si dans le prochain tome il ya encore eu des confinement moin impactant mais visible, son frère Antoine a t'il vécu la précarité d'étudiants, les lieux ferme et autre, je me demande encore une fois comment Esther à vécu cette situation, son entre au lycée qui m'a l'air très intéressant, d'ailleurs Esther a toujours une vision exagéré et flippante sur les écoles en public, alors que ce n'est pas le cas , mais bon elle n'a jamais fréquenté ce millieux, elle va encore avoir la chance de bénéficier d'un lycée privilégiez de Bourges, qui fume des cigarettes a 8h de matin en jogging talons comme ça copine Léa ( que j'apprécie pas trop tout comme Eva ) , elle va être avec Cassandre qui a bien grandis, même plus que Esther, mais qui prend ses études très au sérieuse, Esther va même rencontrer un prof complètement fou qu'on retrouve dans le tome 4, comment le lycée va t'il ce passé pour Esther, j'ai hâte de savoir en espérant qu'elle ne part pas en dérive malgré tout
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On retrouve Esther, elle a 15 ans, dernière année de collège et nous sommes en 2020, l'année du coronavirus. Il y a la peur de tomber malade mais avant cela, il y a la fête des 15 ans, une grosse bringue avec tous ses amis. Elle est bien avec ses amis, elle a des moments de rêverie (un peu moins qu'avant), des expressions de "djeuns" (le côté que je "kiffe" un peu moins). A voir comment l'entrée au lycée va grandir la jeune demoiselle...

La vie d'une ado lambda versus celui d'un adulte ? Deux mondes parallèles ! Mais là, grosse différence, les 15 ans d'Esther, c'est l'année du covid ! Ça fait des souvenirs en commun non ?

Souvenirs ou délires, il faut bien avouer que Riad a eu une idée de génie, brillamment réalisée. Jai toujours l'impression d'entendre la voix d'Esther. Son réalisme, allié à une juste touche de comédie rappelle à quel point l'adolescence est une période sacrée !

Le « Esther » nouveau est arrivé ! Chaque année depuis six ans, cela devient un rituel : à la mi-mai pour les quatre premiers tomes, à la mi-juin depuis le confinement, que le soleil brille ou non, je me rends chez mon libraire chercher les aventures pétillantes de la petite héroïne de Riad Sattouf. Leur couverture aux couleurs franches et acidulées comme un bonbon contient déjà la promesse de tranches de vie drôles et colorées, à savourer sans modération et leurs dos toilé alignés sur les rayonnages de ma bibliothèque forment un bel arc-en-ciel, antidote aux jours de grisaille !

Ce sixième tome a une tonalité particulière cependant, plus grave que les autres. Ce n'est pas la première fois que ces « Cahiers » se font le réceptacle d'événements marquants voire tragiques (les attentats du 13 novembre dans le premier opus) mais la naïveté de la protagoniste les mettait comme à distance. Ici, Esther a grandi. C'est sa dernière année au collège, le temps des premières soirées, des premières expériences (fumer !) , des premiers déboires amoureux … rien que de très classique pour une adolescente me direz-vous ? Sauf que, cette période « initiatique » est complètement perturbée par « ce gros bâtard de Covid » sa mère !

Alors, sous la drôlerie affleure les angoisses de la jeune fille, l'isolement etc… et ça devient poignant par moments sous une apparente légèreté. C'est toujours très bien amené, très bien écrit, très philologique aussi (j'ai découvert l'expression « nizer » !). L'album retrace les prémisses de la crise (avec un hilarant Antoine complotiste et fan fervent d'un certain professeur R !) jusqu'aux vacances d'été après le premier confinement. Ce dernier tome est un exemple éclatant de l'aspect sociologique de l'entreprise de Sattouf : « Les cahiers d'Esther » c'est certes le portrait d'une héroïne attachante mais aussi d'une génération.

A mettre dans les mains de tout parent d'ado comme manuel de décryptage et à garder précieusement pour plus tard comme témoignage historique de première main de la drôle d'époque que nous venons de traverser !