Le texte présenté par Luigi Monga et traduit par Alain Blondy est non seulement un document historique rare qui illustre des aspects peu connus de la vie à bord des galères des Médicis, mais c’est aussi un journal d’une exceptionnelle valeur humaine.Condamné à mort en août 1565 pour le meurtre de sa femme, Aurelio Scetti, musicien florentin connaissant une certaine notoriété, vit sa sentence commuée, in extremis, grâce aux protections dont il jouissait à la cour de ...
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