Au milieu de ces jours crépusculâtres, il y a l'euphorie qui se recroqueville, qui s'encarapace, hors de portée, dans sa gangue de malheur. Et alentour éparses, il reste des bribes d'exubérance, mais brûlée, cendreuse. Je suis dans la pénombre de la cambuse, la quarantaine plus que sonnée, je pense des fois à Perros, qui ne suce plus sa bouffarde. La verrulence depuis quelque temps est en veilleuse, ce qui me procure ce qu'il faut de calme plat : j'ai le loisir de m... >Voir plus