AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 1650 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
"Guérison"

C'est le ponpon !
Là, vraiment, j'ai cru lire, à peu de choses près, un vieil Arlequin, piqué à une vieille copine qui ne lisait que ça !

Cette histoire d'amour imprévue, cette façon qu'a le personnage principal de se poser des questions existentielles ("Qu'est-ce que cela signifiait ? Qu'avait-il voulu dire ?")... cette jeune fille qui découvre son corps et sa sensualité seule dans son appart ou sous sa douche... et qui s'offre, vierge, avec tant de hargne...
********************************
Pour d'autres échanges littéraires, rendez-vous aussi sur Instagram :
Je dis bof ! J'aurais peut-être du relire Arlequin !
Lien : http://www.instagram.com/les..
Commenter  J’apprécie          70
Indéniablement bien écrit, ce livre contient des récits qui sont malheureusement truffés de clichés. Les histoires manquent cruellement d'originalité, les conclusions se veulent tellement sensationnelles qu'elles finissent par tomber à plat. Bref, voilà la deuxième fois que Schmitt, malgré sa renommée, me déçoit amèrement...
Commenter  J’apprécie          50
Je recopie ici la 4e de couverture car je n'ai vraiment pas le courage de me casser la tête pour ce livre : « Pour guérir d'un rupture sentimentale, un homme se réfugie à Ostende, ville endormie face à la mer du Nord. Sa logeuse, la solitaire Anna van A. (là une parenthèse s'impose pour montrer à quel point ce livre donne l'impression d'avoir été écrit et édité à la va vite : le nom de la logeuse est Emma et non Anna), va le surprendre en lui racontant l'étrange histoire de sa vie, où se conjugue l'amour me plus passionné et un érotisme baroque. Superbe mystificatrice ou femme unique ?

Cinq histoires où Eric-Emmanuel Schmitt montre le pouvoir de l'imagination dans nos existences. Cinq histoires - La rêveuse d'Ostende, Crime parfait, La guérison, les mauvaises lectures, La femme au bouquet - suggérant que le rêve est la véritable trame qui constitue l'étoffe de nos jours. »
(Cliquez sur le lien suivant pour lire la suite du commentaire)
Lien : http://aufildeslivres.over-b..
Commenter  J’apprécie          30
Je n'ai pas aimé du tout ce livre, c'estcle deuxième livre de Schmitt que je lis sous forme de nouvelles et déjà Concerto à la mémoire d'un ange, je n'avais pas trop aimé.
Vraiment déçue du nouveau genre littéraire de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          20
Pas grand chose à dire de ce recueil de nouvelles. Non seulement je n'ai pas trop le temps, mais en plus, je n'en ai pas vraiment envie. Déjà que je n'ai pas eu envie de le finir : j'ai lu trois nouvelles, en me forçant dès le milieu de la deuxième. Alors, maintenant que j'ai décidé d'abandonner, je préfère passer à autre chose. Quelque chose où il y aurait un style, du contenu, de la cohérence. Pas ces caricatures d'amours extrêmes servies par une plume plan-plan. Les situations sont trop invraisemblables pour être vraiment romantiques, le langage, en bas relief, sonne comme une rédaction d'élève de troisième : le texte est farci d'aphorismes cousus de fil blanc et prêts à l'emploi pour les pages roses du Petit Larousse, de nombreux mots semblent tombés du ciel, pas naturels, hors du contexte, pas adaptés à ceux qui les prononcent, à tel point qu'on a l'impression que Monsieur Schmitt a quelque peu abusé de son dictionnaire des synonymes. Mais le pire, ce sont les imparfaits du subjonctif (je peux en parler, j'en ai utilisés (peut-être de façon un peu abusive aussi, je le reconnais) dans mon premier roman) : jetés là sans doute pour impressionner le lecteur lambda, ils sont, comme certains mots pompeux, tout à fait inadaptés au contexte. En plus, ils sont très fréquemment mal gérés. En effet, si l'on se pique d'utiliser un imparfait du subjonctif dans une phrase, la moindre des choses est de respecter la concordance des temps.
Exemple : "... elle continuait comme si elle n'imaginait pas une seconde qu'on la soupçonnât de quoi que ce soit." (P131)
Il eût été plus juste d'écrire "... qu'on ne la soupçonnât de quoi que ce fût" et plus "contemporain" d'écrire "... qu'on ne la soupçonne de quoi que ce soit."
"Devant le chagrin de ses enfants aimés, elle éprouva un authentique remords, pas le regret d'avoir tué Gab, mais la honte de leur infliger cette peine. Quel dommage qu'il fût aussi leur père ! Quelle bêtise qu'elle ne les ait pas conçus avec un autre pour éviter de pleurer celui-là..." (P 131)
Il eût mieux valu écrire "Quel dommage qu'il eût été aussi leur père ! Quelle bêtise qu'elle ne les eût pas conçus avec un autre..."
Alors j'ai dit stop et je suis passé à « La petite trotteuse » de Michèle Lesbre. Et tout de suite, ça va mieux. Là, j'ai senti de la vie derrière les mots.
Lien : http://sebastienfritsch.cana..
Commenter  J’apprécie          20
"Crime Parfait"

Comme pour la précédente nouvelle ("La Rêveuse d'Ostende"), je remarque que l'on s'installe dans les pages d'E-E Schmitt très facilement : son verbe est agréable, sympathique, facile d'accès et vous embarque très vite.

Mais à y regarder de plus près, avouons qu'elles sont d'une banalité et que son écriture n'a rien de géniale ! Quel dommage : il utilise, encore et toujours, un thème déjà bateau. Cette nouvelle pourrait parfaitement être adaptée pour un téléfilm et passer un mardi après-midi sur TF1 : ça plaît, ça se regarde facilement, mais ça n'a rien de grandiose !

Par ailleurs, je commence à remarquer qu'E-E Schmitt use et abuse des procédés littéraires les plus connus : l'énumération,, les allitérations, les comparaisons un peu faciles... elles se voient comme le nez au milieu de la figure et finissent par être lassantes.

Je terminerais en conseillant à cet auteur de soigner le choix des prénoms de ses héroïnes qui sont, à mon sens très connotés, et pas toujours dans le bon sens, à moins que je ne sois la seule à le ressentir, dans ce cas, je retire ! :

- Emma van A. (bon, d'accord, elle fait preuve d'un certain Bovarisme... je lui concède !) et son Prince Guillaume (bon, après tout, c'est un Prince, d'accord aussi !).

- le couple de Gab et Gabby, un peu ridicule, non ? d'autant plus que j'ai eu, tout le long de ma lecture les paroles exacerbées de Johnny chantant "Tu brûles mon esprit-Ton amour étrangle ma vie !"...

- et que dire de Marie-Thérèse, l'aide-soignante noire qui n'arrête pas de me rappeller un sketch des inconnus...

non, vraiment, soit je suis tordue, soit il en a fait exprès !
********************************
Pour d'autres échanges littéraires, rendez-vous aussi sur Instagram :
Lien : http://www.instagram.com/les..
Commenter  J’apprécie          20
C'est vrai que la plume de Schmitt est idéale à emporter sur la plage. Bien installée sur sa serviette, on y découvrira des héros simples qui vivent un vieux poncif de la littérature, dans un style très accessible.

Et puis, lorsque les enfants, maladroits, se risqueront à l'égratigner de sable ou, pire, à l'arroser d'eau de mer, on ne pourra que s'extasier de les voir, si jeunes, développer une telle lucidité littéraire !!!

Promis, je l'emporte cet été !
********************************
Pour d'autres échanges littéraires, rendez-vous aussi sur Instagram :
Lien : http://www.instagram.com/les..
Commenter  J’apprécie          10
"La Rêveuse d'Ostende" :

J'achève à l'instant cette première nouvelle éponyme et je dois dire que je suis embarrassée.
Certes, on s'installe dans ce récit comme "au coin d'un feu".
Certes, l'histoire est plaisante, facile d'accès.
Certes l'écriture est fluide.

Néanmoins, ça ne tient pas de debout ; pas un instant, j'ai réussi à y croire, à rentrer dedans. Cette petite vieille qui raconte ses galipettes avec un prince... Ces références constantes à la culture grècque... cette petite fille qui apprend la sensualité dans un bordel, sous couvert de son père et de la mère maquerelle... mais qui reste vierge... Vraiment, c'est un peu niais. le personnage principal s'évade pour échapper à un chagrin d'amour... mais on n'en entend quasiment plus parler dès que la logeuse fait son apparition.

Seules m'ont charmée ces délicieuses pages du "carnet", érotiques et coquines, inattendues dans le récit de la vieille dame.

Un récit sympathique mais dont la trame demande à être, à mon sens, retravaillée.
********************************
Pour d'autres échanges littéraires, rendez-vous aussi sur Instagram :
Lien : http://www.instagram.com/les..
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (4148) Voir plus



Quiz Voir plus

la vie rêvée d'Hitler...

Par quoi commence le récit et la vie d'Adolf H.?

par sa réussite au concours d’entrée à l’Ecole des Beaux-Arts de Vienne.
par son mariage avec Sarah
par son coming out

9 questions
453 lecteurs ont répondu
Thème : La Part de l'autre de Eric-Emmanuel SchmittCréer un quiz sur ce livre

{* *}