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Chie Kutsuwada (Autre)Françoise Nagel (Traducteur)
EAN : 9791036338021
432 pages
Bayard Jeunesse (19/04/2023)
4.14/5   47 notes
Résumé :
Autrefois passionnée par les mangas, Yuki, 15 ans, ne crayonne désormais plus rien. Alors que son grand-père tente de lui redonner le goût du dessin, ils assistent à l'inimaginable : un gigantesque tsunami s'apprête à s'abattre sur la ville. S'ils fuient d'abord le danger, le grand-père de Yuki décide ensuite de faire demi-tour, seul. Mais les minutes passent, et il ne revient pas.

Cambridge, 2012. De retour en Angleterre, Yuki est toujours sous le ch... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
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Survenu le 11 mars 2011, le séisme de la côte Pacifique du Tohoku au Japon a engendré 18 079 morts et disparus, des blessés et des destructions considérables. Ce bilan a plusieurs causes : le séisme de magnitude 9, le tsunami (conséquence du séisme) et l'accident nucléaire de Fukushima (conséquence du tsunami provoqué par le séisme). [Source : Wikipedia]

C'est en voulant rendre hommage aux victimes et à leurs familles que "Tsunami girl" a vu le jour (à paraître le 19 avril). Julian Sedgwick et Chie Kutsuwada se sont en effet basés sur ces événements catastrophiques, qui ont malheureusement bien eu lieu, pour construire leur histoire, celle de Yuki, jeune adolescente anglo-japonaise de quinze ans. Parce que sa phobie scolaire devient de moins en moins gérable, Yuki débarque au Japon, afin de passer quelques temps chez son grand-père, Jiro, célèbre mangaka à la retraite, à Osoma, petite ville côtière au large du Pacifique. À peine arrivée, Jiro se rend bien compte que sa petite-fille ne va pas bien du tout. Alors qu'il lui a laissé une journée pour récupérer de son long voyage, aujourd'hui vendredi 11 mars 2011, il a bien l'intention de la voir sourire enfin. Pour ce faire, il ressort tous les dessins que Yuki a réalisé petite fille, sous forme de planches de mangas. Et ça fonctionne, Yuki sourit franchement en retrouvant Half-Wave, le super-héros qu'elle avait créé. Mais alors qu'elle est plongée dans ses souvenirs tout en étudiant ses dessins, le sol se met à trembler...

D'abord, je voudrais souligner l'originalité de ce livre, qui est bel et bien un roman, accompagné d'illustrations comme beaucoup de romans jeunesse. Et alors quoi d'original me demanderez-vous ? Et bien, je vous répondrais que la particularité de ce livre vient justement des illustrations, qui ne sont autre que des planches entières de manga qui viennent entrecouper le récit ici et là.

L'histoire, elle-même basée sur des faits réels, a également une part quelque peu mystique, onirique, fantomatique, surnaturelle (je n'arrive pas à trouver le mot exact) représentant tout le folklore japonais, avec toutes les croyances et les superstitions qui en découlent (yokai, kitsune, funayurei, etc). Et c'est toute cette part qui est évoquée sous forme de manga : rêves et imagination de Yuki, et événements sortant de la réalité (pour nous Occidentaux).

Le roman, quant à lui, se découpe en trois parties : pendant la catastrophe, deux mois après, et un an après. Même si Julian Sedgwick emploie la conjugaison au présent et qu'elle est souvent mal adaptée à la description des événements, je dois tout de même dire qu'il a une très jolie plume, très immersive. Sans jamais rentrer dans l'horreur (n'oublions pas que nous sommes dans de la littérature jeunesse), il a su dépeindre avec brio l'entièreté des événements et ressentis, que ce soit les différentes étapes du séisme, des dégâts engendrés, mais aussi de toute la peur, de la tension et des sensations éprouvées par Yuki. J'ai d'ailleurs eu l'impression de suivre en direct la catastrophe, tout comme j'ai trouvé l'après tout aussi bouleversant. Les ressentis de Yuki sont décrits tels qu'elle m'a énormément émue, elle qui doit "se reconstruire" du tsunami tout en gérant difficilement sa phobie scolaire, qui passe ses journées dans sa chambre, qui ne voit personne à part ses parents et sa psy, qui ne veut pas parler, qui insiste pour retourner sur les lieux du drame malgré les risques de radioactivité, qui commence à trouver du réconfort en reprenant le dessin... Elle est bouleversante, j'ai d'ailleurs dû retenir mes larmes et ce fut difficile (j'étais dans une salle d'attente).

Je n'ai vraiment qu'une chose à reprocher à cet ouvrage : son glossaire à la fin. Il est certes indispensable (pour ceux qui, comme moi, ne connaissent pas grand-chose à la culture japonaise), mais de devoir sans cesse aller à la fin pour le consulter m'a coupée à chaque fois dans mon élan. Une petite note en bas de pages aurait été plus judicieux (à mon sens).

Je tiens également à préciser que je ne suis pas d'accord avec le "à partir de 12 ans", comme indiqué sur le site de l'éditeur. L'ensemble est bien trop mature, à mon humble avis, pour cibler un public aussi jeune. Je le conseillerais dès 14-15 ans plutôt, soit l'âge de Yuki.

Quoi qu'il en soit, en ce qui me concerne, j'ai beaucoup aimé. Et d'ailleurs, pour un roman jeunesse, je le trouve vraiment très abouti, bien construit, bien développé, très profond. Je remercie donc Nathan de Babelio et les éditions Bayard pour m'avoir permis de découvrir cet ouvrage dans le cadre d'une masse critique privilégiée.
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🌊 le calme avant la tempête 🌊

Dès le début et l'incursion de planches de dessins type manga , l'histoire est plantée. Cette jeune fille anglaise qui part en vacances au Japon auprès de son grand-père ne se doute pas une seule seconde de ce que ce séjour va impliquer… Car cette terrible catastrophe qui a touché le pays des Yokai n'a site pas que dans notre réalité mais également dans la sienne.

🌊 une histoire qui fait des vagues 🌊

Maintenant je comprends l'engouement et les retours dithyrambiques qu'a suscité cette oeuvre. L'immersion est bien présente , surtout quand on se souvient encore des images qui ont fait la une des journaux télévisés à ce moment là. L'incrémentation des dessins ajoute du relief aux personnages et leurs émotions deviennent palpables , deviennent presque les nôtres. Leur détresse au coeur de la catastrophe est saisissante et les légendes japonaises toujours aussi interessantes.

🌊 après eux, le déluge 🌊

Ce que j'ai aimé c'est que le récit ne s'arrête pas à cet événement. Il va plus loin et aborde ces moments difficiles du deuil et de ce qui l'implique, sur une assez longue période. J'ai adoré ce côté psychologique qui a entièrement satisfait mon regard d'adulte. La plume n'est pas très élaborée mais suffisamment pour que la lecture soit agréable et fluide.

🌊 en bref 🌊

Fantastique récit ou récit fantastique à vous de choisir. Ce fut une très bonne lecture, rapide et efficace, que je recommande à tout le monde . L'humanité des personnages qui s'en dégage devrait être source d'inspiration. À lire et à faire lire sans modération.
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En peu de mots, je dirai que cette jeune femme a vécu plein de tsunami de toutes les sortes. Et qu'on a pas négligé le après, personnellement c'est finalement la partie qui a été la plus âpre à lire.
La jeune femme, Yuki, m'a beaucoup touché.
Et c'est un coup de coeur – coup de poing !

« Tsunami Girl » c'est une histoire belle, touchante, horrible, triste, la vie. C'est une histoire qui met en avant trois forces dévastatrices, qui emporte le lecteur de bien des manières.
Elle est très bien écrite et gère bien, elle recèle de quelques effets de manche / de surprise.
C'est Yuki, une jeune femme dévastée, mal dans sa peau, qui affronte un évènement naturelle dévastateur, et va devoir faire face aux conséquences de ces dévastations.
C'est un roman qui surfe entre le réel et l'imaginaire, et met en avant des thèmes importants. Il est également peuplé d'illustrations, comme une partie manga, qui renforce notre immersion et attachement.
Il est séparé en trois parties, la 3ème est la plus forte, la plus difficile, le retour de boomerang, elle nous met en permanence les larmes aux yeux, même si on sent la lumière traversée les nuages (moi en tout cas), sans doute joint avec tout le cumul de ce qu'on a vécu.

Le roman se sépare en 3 grandes parties. Il est peuplé d'illustrations tout du long qui compète l'histoire. C'est aussi une belle association entre deux personnes que vous découvrirez un peu plus dans les réarmements. Elle a un épilogue, chacun fait ses choix et il faut du temps pour reconstruire et se reconstruire.

Quand nous rencontrons, Yuki, jeune adolescente, elle a un tsunami en elle. Elle est entre deux mondes : japonaise mais vit en Angleterre. Là, elle retourne au Japon pour y voir et passer du temps avec son grand-père Jirô. Sans entrer dans les détails, jamais d'ailleurs, mais tout en subtilité, avec des mots déjà très compréhensibles, et parfois même des phrases poétiques, tout est bien capturé.
Bref, cela ne se passe pas bien pour elle, pas bien avec les autres, elle fait même des crises de panique.
Au cours de sa venue, elle renoue avec son pays d'origine : le Japon, elle y revoit une ancienne connaissance : Taka. Son grand-père est une crème, il la fait renouer avec son passé, sa passion d'antan, sans jamais la brusquer. Avant, elle aimait dessiné, il avait crée Half-Wave, que devient-il maintenant ? Son grand-père est un ancien mangaka (auteur de manga).
Les choses prennent leur temps.

Mais une catastrophe réelle va surgir, un véritable tsunami qui emporte tout sur son passage. Elle va vivre la catastrophe du 11 mars 2011 qui est un désastre à bien des niveaux, impliquant également le côté nucléaire.
C'est une lutte pour la survie, avec une partie complètement hasardeuse. C'est quelque chose à voir et à vivre, c'est aussi la perte instantanée de bien, mais encore plus terrible de gens à qui l'on tient également. C'est aussi l'incertitude de savoir ce qu'est les siens sont devenus.
Yûki est avec son grand-père Jirô, ils s'enfuient, mais à un moment donné il va faire demi-tour ?!

Ce sont aussi des sentiments humains et contradictoires par moment par rapport à la rationalité, tout comme quand elle ressentira ce besoin de revenir sur les lieux pour arriver à avancer.
Pour les survivants, c'est difficile, ils sont hantés par ce qu'il s'est passé, ils ont perdu beaucoup, sans pouvoir revenir sur le lieu, autant inondé qu'en zone radioactive pour une partie.
C'est donc très violent émotionnellement quand cela nous est raconté. On nous fait comprendre très facilement toutes les implications et on a le courage avec tact d'aborder « le après » ?

Tout comme nous le faisons avec le mal-être de Yuki, ses crises de panique, ce besoin d'y revenir malgré le danger.
Heureusement elle a eu son grand-père, des parents aimants, Joel et Taka. Elle n'est donc pas totalement seule. Elle a aussi ses souvenirs, son imaginaire …

Un roman fortement conseillé, n'oubliez pas la boîte de mouchoirs.
Inspiré du réel, avec des personnages eux imaginaires et crées.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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🩵Lorsque je me suis laissée influencer par cette lecture, je n'en attendais pas grand-chose et j'ai littéralement été subjuguée et touchée en plein coeur.

🌊On suit Yúki, une jeune adolescente de 15 ans en quête d'identité, partagée entre deux cultures, elle cherche sa place entre l'Angleterre et le Japon. Pas évident lorsque l'on est métisse de ne pas se sentir étrangère où que l'on aille. D'ailleurs son prénom signifie fantôme mais aussi courage ...
En proie à une phobie scolaire et de fortes angoisses, elle va être envoyée au Japon en séjour chez son grand-père, mangaka célèbre, avec qui elle partage la passion du dessin et du folklore surnaturel nippon.
Nous sommes le 10 Mars 2011 lors de son arrivée à Osõma…Le lendemain un tsunami se déchaînera sur le Japon à des hauteurs exceptionnelles, détruisant plus de 100 000 maisons et faisant 18000 morts…

Yúki se retrouvera seule à devoir affronter la situation et survivra… Pourquoi elle ? Où est son grand-père ? Est-ce que son ami a survécu ? Autant de questions qui ne cesseront de l'assaillir tout comme une pléiade de rêves, d'événements étranges et apparitions phantasmagoriques au point qu'elle bravera l'interdit en retournant dans la zone sinistrée. Elle doit savoir, elle doit voir par elle-même afin de surmonter son trauma, afin de comprendre, afin de rendre hommage à son grand père et toutes ces pauvres âmes.

🩵J'ai tellement aimé cette histoire et la façon dont elle est abordée. La pudeur est de mise conformément à la culture japonaise mais folklore et mysticisme y sont très présent.
🌊Je n'ai que peu de connaissance dans cette culture et ses croyances mais j'ai été complètement conquise par ce que j'ai pu en entrevoir entre ces pages.

⬇️suite #chronique🌊

🩵Je me suis énormément attachée à Yúki, la plume qui nous livre son histoire est fluide, douce, tout en retenue et riche en détails à la fois, elle fait énormément surgir d'émotions.

🌊C'est un livre que je suis heureuse d'avoir lu et qui m'aura donné envie d'en savoir plus sur tous les points abordés.
J'ai souri, essuyé des larmes, espéré, frissonné et ressenti tellement de choses au cours de cette lecture qu'elle retentira longtemps en moi… un sans-faute pour cette lecture commune que j'ai partagé avec Anne Longbridge le voyage de lesquimaux nessa book gardienne de phare by Milan clemusicos et le petit atelier de Julie.

🩵Le lexique à la fin est vraiment une bonne idée et j'ai apprécié ce que l'auteur dévoile dans la partie remerciements. Merci à lui de nous avoir livré une histoire si juste et poignante.

🌊"Ne prononce jamais le mot « seulement » en parlant de l'imagination..."🌊






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Roman novateur mélangeant la prose et le manga. Une belle découverte qui demande peut-être encore, selon moi, d'être plus travaillée.
Niveau présentation, j'ai été un peu déçue parce que je m'attendais à un peu plus de pages manga mais l'idée est franchement très intéressante de combiner les deux styles surtout que l'histoire donne une certaine perception à leur présence.
Pour le texte, on est sur un vocabulaire assez basique sans l'être de trop. le vocabulaire français est mélangé à quelques mots japonais dont on trouve la traduction et l'explication en fin de livre.
Niveau personnage, le fait qu'on se retrouve dans la tête d'une rescapée qui avait déjà un passé assez lourd est très intéressant et donne naissance à une Yuki très humaine et très complexe dans sa manière d'aborder ses sentiments et le deuil. Elle est à la fois attachante et donne en même temps l'envie de la protéger et de la conseiller.
Pour l'histoire, j'aime le côté enrichi par quelques surprises et une touche de surnaturel sans en faire de trop (et un tout petit peu d'histoire d'amour). On garde un certain côté de retenu réhaussant le côté japonais du récit et on ressent que l'auteur a vraiment cherché ses informations sur les évènements et les sentiments des victimes sur place pour construire son histoire.
Dans l'ensemble, ce livre est très intéressant pour aborder le sujet de la reconstruction des gens après un évènement fort traumatisant mais aussi, pour ouvrir les yeux aux plus jeunes sur ce qu'endurent ces personnes au quotidien en se basant sur un vocabulaire qui leur est totalement adapté et en cassant les longs textes par une partie qui leur est souvent plus agréables.
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critiques presse (1)
CNLJ
09 janvier 2024
Cet étonnant roman qui mêle prose et manga est une histoire d'obstacles à surmonter, qu'ils soient concrets ou abstraits.
Lire la critique sur le site : CNLJ
Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Une grosse bouffée blanche, qu'elle prend d'abord pour de la fumée, s'élève le long des maisons et des pins qui délimitent la côte. Mais ce n'est pas de la fumée, c'est une longue masse d'eau qui explose par-dessus la digue, fracassant tout sur son passage. Un instant plus tard arrive le bruit : sourd et menaçant, comme un roulement de tonnerre emplissant l'air, tandis que l'eau pulvérise le rivage et commence à attaquer la plaine, s'engouffre dans les maisons et les submerge. Son corps noir et massif couronné d'écume bouillonnante s'écrase contre l'école élémentaire et l'engloutit en l'espace de quelques secondes. Yuki aperçoit une petite voiture blanche happée par la vague, puis quelque chose d'autre, de carré, en forme de boîte. Une cabane ? Non, quelque chose de plus grand : une petite maison – une maison ! – qui se brise en mille morceaux sous ses yeux. Et toute cette eau sombre semble prendre de la vitesse, en même temps que son rugissement se fait de plus en plus effroyable.
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L'imagination nous donne de la force, de la vie. Si des gens n'avaient pas imaginé pouvoir voler, nous n'aurions jamais inventé les avions, n'est-ce pas ? Et nous n'aurions jamais eu Astro le petit robot, ni Godzilla ni Le château dans le ciel. Je n'aimerais pas vivre dans un monde pareil ! N'oublie jamais le pouvoir de l'imagination. En ce moment même, je peux m'imaginer en train de voler très haut, au-dessus de notre maison, et d'observer les alentours...
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- Comment dit-on qu'on " aime" quelqu'un, en japonais ?
Elle fronce les sourcils.
- Pourquoi ?
- Juste pour savoir.
- Eh ben, on ne le fait pas. On dit quelque chose comme " il y a des choses que j'aime en toi". Anata no koto ga suki desu.

p 231
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- Une de mes meilleures acquisitions, cette cloche à ours! Je l'ai acheté l'année où j'ai rencontré ta grand-mère. Lors d'une randonnée dans Nagano, un jour d'été, il y a plus de cinquante ans.
- Mais il n'y a jamais d'ours par ici, Grand-père.
- ça prouve bien qu'elle est efficace !
- Tu fais toujours la même blague.
- Ben, ça me fait rire.
( p 85 )
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Un de mes amis est devenu moine zen quand il en a eu assez de gérer sa boîte de nuit. Il disait toujours que, quels que soient les problèmes du moment, ils paraîtront très enviables une fois dans le cercueil !
p 87
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18 mars 2022 Julian Sedgwick talks about the people and places that inspired the writing of Carnegie-shortlisted Tsunami Girl, illustrated in manga by Chie Kutsuwada.
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