C'est bien la lumière en effet que recherche et recueille Josette Ségura : elle se marie heureusement avec le silence ou le chuchotis du monde qu'elle visite, un monde modeste et pourtant inépuisable. Le poète y perçoit la présence de l'invisible qui circule des vivants aux morts, des morts aux vivants. Gérard Bocholier