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4,02

sur 5006 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le vieux qui lisait des romans d'amour, c'est bien je suis content pour lui.
Un p'tit 337e billet sur ce bouquin. Je ne voulais pas en faire et puis j'ai été voir les avis des babelioteurs et là… j'ai fait défilé les dix premières pages sur les trente quatre existantes et là… quelle surprise !!!!!! Seulement trois avis à trois étoiles sinon que du quatre et du cinq. Alors là que je me suis dis, ça va pas se passer comme ça, assume ta différence au grand jour et crie haut et fort : C'est quoi cette bouse?????? Oui j'en rajoute un peu mais pas tant que ça.

Voilà pour moi le prototype même du bouquin Canada Dry. Ca nous vend limite du lanceur d'alerte et on se retrouve avec Oui Oui au jardin des plantes (avec dédicaces sur l'esplanade du château de Vincennes).
L'histoire en gros : les indiens d'Amazonie ont les dents pourries, les touristes blancs venant chasser sont des gros cons, les colons foutent la merde (si je puis dire), le chef du village, le maire, est un abruti fini, le héros est un colon qui s'est fondu dans le paysage et qui connait les us et coutumes de la forêt presque mieux que les indiens dont il a tout appris. Cerise sur le gâteau et suspens insoutenable, la chasse à la panthère face à la chasse à l'homme. Ah, j'oubliais, le héros, le vieux, ben il lisait des romans d'amour aussi. Bien vu, fallait y penser.
Ah cette scène où il baptise sa pirogue du nom de gondole de je sais plus quoi (pas le courage de retrouver la page). Gondole, ce mot qu'il a lu et qui l'a fait rêver comme Venise dans un de ces romans à l'ode rose.
Et puis cette fin, j'ai le film en tête. Une sorte d'hybride de Petite maison dans la prairie réalisée par Sergio Léone. Il était une fois en Amazonie, de Niro face à Duchesse (des Aristochats), le duel avec Pow Wow en musique de fond. Insoutenable je vous dis.
Y avait plus d'émotion de réflexion et de surprises dans les Akim ou Zembla de mon enfance que dans ce bouquin.
Ici, à chaque page on sait ce qu'on va trouver à la suivante. le bon est bon sur toute la ligne, l'abruti est abruti… sur toute la ligne (vous commencez à comprendre le principe décliné à l'infini). C'est la fête à Neuneu, le salon de la caricature # balance ton guarana, c'est les vacances de monsieur Hulot (alias Nicolas le jardinier) au pays de Rika Zaraï. Ce titre vous est présenté par Harlequin.
Bon, j'arrête là, je vais juste rajouter que ce bouquin n'est pas mauvais, juste sans aucun intérêt pour moi. Il m'a juste fait passer un moment sur la plage. Voilà c'est ça, c'est un sujet bâclé du 20h, tout en superficialité, qu'on nous place entre deux conneries et dont il ne reste rien dès la présentation de la météo passée.
Suivant…
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Antonio José Bolivar, le vieux qui lit des romans d'amour, s'enfonce dans la forêt amazonienne sur les traces d'une panthère femelle dont les petits et le mâle ont été tués par un chasseur blanc.
Luis Sepúlveda raconte comment le vieux a commencé à lire des romans d'amour et décrit sa vie dans la jungle amazonienne.
Belle écriture mais je suis déçue par ce roman encensé par nombre de lecteurs ; je suppose que j'en attendais trop, toutefois je réserve mon opinion jusqu'à lire un autre roman de l'auteur.
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Ouvrage que je croyais avoir lu par le passé, « le vieux qui lisait des romans d'amour » fut en réalité en découverte totale. le temps d'une pause méridienne, j'ai effectué une plongée au coeur de l'Amazonie où sont réunis violence, bestialité, sagesse, philosophie et nature… Là, j'ai fait la connaissance d'Antonio José Bolivar, un vieil homme plein de sagesse. Observateur, philosophe et rêveur, ce personnage a vécu énormément de choses, notamment dans la jungle. Chaque chapitre narre une partie de son passé ou fait avancer l'enquête autour d'une tigresse en colère qui assassine les Hommes. J'ai apprécié découvrir la façon dont Antonio José Bolivar a découvert la lecture. le temps qu'il a passé aux côtés des Shuars, des indigènes, a également été très intéressant. Sans cesse, le vieillard a su titiller ma curiosité, m'étonner (ex : le coup des dents arrachées) ou d'émouvoir.

Autour de ce protagoniste, on distingue divers habitants : le dentiste Loachamin Rubincondo (son fournisseur de romans d'amour au langage fleuri, notamment dès qu'il pratique son métier), le maire et quelques citoyens. Bien qu'ils soient peu développés ni attachants, ils constituent un ensemble harmonieux et vont avoir leur place au cours du récit… Même la tigresse, pourtant un animal sauvage, va avoir son rôle à jouer. D'ailleurs, l'auteur n'hésite pas à analyser ce fauve courroucé, lui donnant presque une âme, comme celle des humains…

La narration emploie des phrases concises et va souvent à l'essentiel pourtant, on s'enfonce aisément dans cette jungle aride et dangereuse… le lecteur imagine assez bien ces décors aussi verdoyants que luxuriants… Il comprend aussi le conflit qui existe entre les colons et les indigènes. Ces derniers estiment que les Blancs sont irrespectueux envers la nature et ne comprennent pas leurs coutumes… Étant donné le comportement du maire ou de certains individus, on ne peut que donner raison aux Shuars… On remarquera aussi que l'amour n'existe que dans les livres ou dans le coeur des animaux… Hélas, ici, tout est une question de fortune, de vengeance, de reconnaissance ou de pouvoir…

Cette lecture dépaysante a été assez intéressante néanmoins, je ne sais pas si j'en garderais un souvenir impérissable. L'action est peu présente, tandis que les personnages ne suscitent aucun attachement. Il faut dire que c'est bien trop court : il ne se passe pas grand chose. de plus, on ne développe que le vieil homme, si bien qu hormis avec lui, la sauce n'a pas pris… Je n'ai pas été emportée par cette aventure. Certes, il y a de belles valeurs, une morale juste ainsi qu'une belle part à la sagesse toutefois, je ressors assez mitigée. Après toutes les critiques élogieuses et le prix « Relay des voyageurs lecteurs » en 1992, je m'attendais à mieux.
Lien : https://lespagesquitournent...
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Ca fait une éternité que je veux lire ce roman, considéré comme un classique, succès à la fois public et critique. C'est enfin chose faite. Et je ressors de ma lecture un peu mitigée.

En réalité, j'ai fini le bouquin il y a maintenant environ 2 semaines. Sur le moment, j'étais plutôt enthousiaste, j'avais passé un bon moment, le roman est bien écrit, le propos est intéressant. Mais force est de constater que 2 semaines après, il ne me reste pas grand-chose de ma lecture si ce n'est quelques impressions fugaces.
« le vieux qui lisait des romans d'amour » est un bon roman mais je pense qu'il ne méritait tout de même pas cet engouement généralisé. Sepulveda a indéniablement une belle plume et une belle âme qu'on ressent dans l'histoire qu'il raconte. Mais je ne peux m'empêcher de penser que si je ne garde pas grand-chose de ma lecture seulement 2 semaines après, c'est qu'il y a quelque chose qui cloche. Je trouve que le récit manque d'impact. Et surtout, je trouve que tout va trop vite. Cette histoire aurait dû donner lieu à une grande fresque étalée dans le temps et sur plus de pages. le fait que le récit soit très court lui permet de se lire vite et facilement mais l'empêche également de créer véritablement une atmosphère et de donner vie à des personnages vraiment habités. En l'état, les personnages, plutôt bien imaginés, passent si vite dans notre vie de lecteur qu'on n'a pas le temps de leur donner une réalité et de s'y attacher.

Une lecture en demi-teinte donc mais je suis tout de même contente de l'avoir lu. Je ne sais pas si ma route de lectrice recroisera Sepulveda. Je n'irai pas chercher un autre de ses bouquins mais si une de ses oeuvres vient à moi, pourquoi pas ?!
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Ce livre était dans ma pal depuis bien longtemps et ne m'a jamais attirée. Dans le cadre d'un challenge, je devais lire cette semaine deux livres de moins de cent cinquante pages, je n'aime pas spécialement les petits livres et ma pal est pauvre en la matière. J'avais choisi un polar, mais j'ai vu qu'il y avait erreur sur la pagination et qu'il dépassait ce qui était fixé, je me suis donc rabattue par défaut sur ce roman si connu de Luis Sepulveda. Je ne l'ai pas apprécié et je me demande comment il a pu avoir un tel succès, on va dire que c'est une lecture obligée pour valider ma case de la semaine.

Antonio José Bolivar vit dans un village au bord de l'Amazone, en Equateur depuis plus de cinquante ans. Il est venu avec sa femme au nom improbable comme colon dans sa jeunesse, fuyant la misère de la Cordillère. le gouvernement promettait aux candidats une vaste terre. Malheureusement elle n'est pas cultivable, son épouse meurt de la malaria rapidement et notre héros se lie avec les indiens Shuars, il vit dans la forêt comme eux, même s'il n'est pas des leurs. Après quarante ans de cette vie et suite à un drame, ses amis le chassent de la forêt, il retourne s'installer au village où il vit en marge des autres habitants. Un jour on retrouve le cadavre mutilé d'un braconnier-chercheur d'or, il a été tué par la femelle jaguar dont il a abattu la portée. L'animal devenu furieux veut se venger sur tous les hommes du voisinage, le maire monte une expédition dont Antonio prendra la tête pour traquer le fauve.

Il y a de nombreux retours en arrière et des digressions, j'ai eu beaucoup de peine à entrer dans ce récit pourtant court, je me suis endormie dessus à plusieurs reprises. le passage où les chasseurs écoutent Antonio lire un de ses romans qui se passe à Venise est très drôle, personne ne connaît Venise et ils ne peuvent imaginer cette ville dans laquelle on se déplace en bateau. La naïveté des personnages est vraiment amusante, même le maire n'arrive pas à rompre le charme.

Ce qui m'a frappé dans ce livre c'est le côté hostile de la nature, il faut la respecter et la préserver, mais on n'est pas dans un monde rousseauiste. La nature est animée de sentiments haineux envers les hommes et leur civilisation. Il y a une guerre entre ceux qui la détruisent au nom du progrès, et on sait que la déforestation s'aggrave d'années en années, et les forces naturelles qui se liguent contre les hommes. Sepulveda insiste sur la cruauté de cette terre de désillusions, les animaux sont animés par la haine, en particulier les serpents et le jaguar devenu furieux. On n'est pas dans une vision positive ou innocente de la nature, elle n'est pas faite pour l'homme. Les indiens et les animaux doivent s'enfoncer toujours plus profondément pour fuir la civilisation des Blancs qui ne pensent qu'au profit. La vie humaine a aussi assez peu de valeur dans ces contrées, les chercheurs d'or s'entretuent, abattent les Indiens et ceux-ci ne se gênent pas pour riposter. On est dans un univers impitoyable où règne la loi du plus fort.

Une lecture plutôt décevante, je ne comprends pas l'immense succès de ce livre, même si l'écologie est un sujet à la mode. La couverture m'interpelle aussi. Je l'ai souvent vue avec un tableau du Douanier Rousseau, mais l'univers de ce peintre est plein de douceur et de naïveté, bien loin de la vision tourmentée de ce roman.

Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Une magnifique nouvelle écologique où un vieil homme rompu à la vie sauvage et respectueux de la nature lutte contre la vengeance d'une mère jaguar qui terrorise un village Shuar d'Amazonie suite à la mort de ses petits du fait de la cruauté d'un chasseur blanc. de nombreux messages se cachent derrière cette fable que la mort de Luis Sepulveda m'aura poussée à lire.
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Livre lu dans le cadre du challenge solidaire 2023.
J'ai déjà vu passer la couverture et le titre de ce roman à de multiples reprises sans jamais me pencher dessus.
C'est un roman court et qui se lit très vite.

Le sujet choisi est celui de la vie dans la forêt Amazonienne.
Le personnage principal est Antonio José Bolivar.
Il vit dans cette jungle et la connait par coeur pour avoir, plus ou moins vécu, avec la tribu des Shuars après s'être fait mordre par un serpent et alors qu'il aurait dû mourir et appris d'eux tout ce qu'il était possible.
Il a un gros faible pour les romans d'amour et il peut compter sur le dentiste pour s'approvisionner.
Un jour, il doit se mettre en chasse d'une femelle Jaguar qui tue tout ce qui bouge car on lui a tué ses petits.

Le prologue parle essentiellement du combat pour la sauvegarde de la forêt amazonienne de Chico Mendès qui a été assassiné la même année que la fin de rédaction de ce roman.
J'ai pourtant été étonné qu'on ne parle pas plus de respect de la forêt dans le roman.
Les corps sont rejetés dans le fleuve. Il n'y a que la tribu qui va jusqu'à renier Antonio lorsque ce dernier ne fait pas ce qu'il faut pour sauver l'âme de son ami, membre de la tribu.
Il y a aussi une sorte d'arrangement entre Antonio et la femelle Jaguar, qui lui demande de lui rendre un service avant de péter un câble. Comme quoi, ça arrive aux animaux aussi.

J'ai aimé le rapport de Antonio à la lecture.
Lettre par lettre, syllabe l'une après l'autre.
Les mots s'enchaînent comme des perles sur un collier.
Jusqu'à les connaitre par coeur.
Et recommençant s'il ne les comprend pas.
Il n'aime pas tant les romans d'amour pour la chair que pour la souffrance que l'Amour peut provoquer.
Il se créait ses propres scénarios car il ne connait pas tous les mots.
Qu'est-ce qu'un baiser ardent ? Lui qui n'en a presque jamais échangé sauf des légers à son épouse, au nom démesuré et partie trop tôt sans même pouvoir lui donner de descendance.
Et d'ailleurs, est-ce sa faute à elle, à lui ? Car même au milieu de la jungle on peut être jugé sur ça !

Je ne comprends pourtant pas bien pourquoi ce livre a autant fait parler de lui !
Je suis venue à bout de cette lecture comme Antonio de sa lutte.
Je vais faire comme lui et ouvrir un roman, mais mon prochain ne parlera pas d'Amour.
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El Idilio est un petit village aux portes de la forêt amazonienne. Un enfer vert peuplé de chercheurs d'or, d'aventuriers de tout poil en quête d'un Eldorado imaginaire, d'Indiens Jivaros rejetés par leur peuple. La découverte par les Indiens Shuars d'un cadavre d'homme blond atrocement mutilé met le feu au village. Malgré les accusations hâtives du maire qui désigne les Indiens, Antonio José Bolivar diagnostique dans cette mort non pas la main de l'homme mais la griffe d'un fauve... le vieil homme, aguerri aux mystères de la forêt et grand lecteur de romans sentimentaux se voit bientôt contraint de se lancer dans une chasse de tous les dangers...

Roman écologique s'il en est, l'histoire que tisse Luis Sepúlveda se gorge d'une imagination éclatante et recèle cette part de magie issue des contes. Loin de nous donner une définition du paradis, l'Amazonie de l'auteur - qui la connaît bien pour y avoir vécu - est un lieu organique, cruel, dur et hostile. Elle n'en mérite pas moins le respect que l'on donne aux lieux qui rendent notre monde unique et dont l'existence est aujourd'hui en péril. (Amazone)
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Ce roman fut le livre culte de quelques amis dans les années 90. Il y a donc longtemps que je souhaitais le lire, avec autant de curiosité que d'appréhension.
Il ne s'agit pas tant d'un roman que d'une longue nouvelle, voir d'un long poème.
La scène se passe en Equateur, dans la foret amazonienne, en un village accessible seulement par le fleuve, isolé du reste du monde. Y vivent des colons peu ragoûtants, des indiens shuars, qui évitent de trop se mêler aux premiers, des jivaros, indiens qui acceptent le contact avec les colons, méprisés par eux et rejetés par les shuars et des gringos, chasseurs ou orpailleurs sans foi ni loi.
Y vit aussi un homme -le vieux- qu'une vit difficile a amené ici après avoir grandi chez les chrétiens de la montagne et passé quelques années chez les shuars. Sa connaissance de la forêt le désigne pour une chasse au jaguar où se confondent victimes et bourreaux. La danse macabre finale est très belle.
Si j'ai été séduit par la poésie et la mélancolie du récit, sans oublier son humour, j'ai plus de mal à adhérer à la morale sous-jacente, construite sur le mythe de bons sauvages et d'une affreuse civilisation occidentale. La brièveté du récit lui permet d'éviter d'entrer dans le réel de la vie quotidienne des uns et des autres. Il devient facile alors de désigner des bons et des méchants, en oubliant que tous sont faits d'une même pâte humaine. J'ai du mal à m'extasier sur le meurtre au curare qui permet de faire de belles têtes réduites, tout en condamnant dans le même temps l'horrible meurtre par balles. A la surface du récit effleure un manichéisme sous-jacent qui me rebute, celui qui culpabilise et qui justifie ensuite les excès de toutes les guérillas.
Que la vie était belle pour Sepulveda lorsqu'il a passé un an avec les shuars! Il a pourtant préféré vivre en Allemagne, puis en Espagne, terre des conquistadors...
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Dédicacé à Chico Mendes, syndicaliste brésilien assassiné en 1988 sur ordre d'un fazendeiro, le vieux qui lisait des romans d'amour propulsa son auteur, Luis Sepulveda, sur le devant de la scène littéraire mondiale tout en l'inscrivant dans la lignée prestigieuse de ceux qui, à l'instar de Gabriel Garcia Marquez, créèrent le réalisme magique.
Le roman prend place en Amazonie. Dans le village d'El Idillio, un ocelot menace les habitants, animé par une rage née de la mort de sa femelle, tuée par un chasseur américain. le fameux vieux, c'est Antonio, qui a cru, en s'installant ici quand il était jeune, faire fortune avec sa femme. Mais, comme souvent dans ces pays rudes, rien n'est venu, et Antonio est toujours aussi pauvre. Matériellement, en tout cas, car intellectuellement, Antonio a grandi, lisant encore et encore, et qui lui montre que la beauté existe réellement, malgré le fait que les hommes l'ont oubliée.
Ainsi Antonio doit-il sauver le village d'un animal, innocent et pur, violent certes mais avec raison, celle de l'instinct, et victime de la bêtise des hommes. le roman invite à repenser la place de l'homme dans son environnement avant que la nature, si riche et si belle, ne devienne un désert.
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