On l'a compris, plus qu'un portrait du métis en joueur de tennis, c'est la conscience élargie de l'homme moderne qui intéresse aujourd'hui le philosophe iranien.
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Que les Américains viennent investir chez nous, nous n’avons aucune rancune contre eux. » L’essentiel, c’est d’être en accord avec les mutations qui bouleversent le monde ou, comme le dirait Octavio Paz, de danser en mesure et de suivre les pirouettes du jour. À la longue, les peuples rajeunissent et les pouvoirs illégitimes dépérissent faute de sang nouveau.