En 1990,une main amie déposa le présent récit sur le bureau d’une grande éditrice parisienne. Celle-ci l’y laissa pendant six mois et un beau soir elle l’emporta chez elle. Le lendemain matin, à 8 heures, elle m’appela : « Pouvez-vous passer aujourd’hui pour signer un contrat d’édition ? »
J’ai cru que j’étais la huitième merveille du monde. Personne n’avait été capable, avant moi, d’éclairer ainsi par un récit plein d’amour, de colère, d’enthousiasm...
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