“ On démolit aujourd’hui Billancourt. Et l’usine comme un livre que d’abord on ouvrirait timidement, ou comme lèverait, maintenant que tout ici est vide, un univers très secret, même si très vite y résonnent, dans la tête comme aux quatre bords des images carrées de l’Hasselblad d’Antoine Stéphani, pour chaque géométrie de fonte et d’acier, toute l’émeute d’un siècle et ses rêves. ”