Le voleur de cadavres et quatre autres nouvelles

Cette critique ne porte que sur la nouvelle " le voleur de cadavres. "



L'histoire semble s'inspirer d'un fait divers qui eut lieu a Édimbourg dans lequel serait impliqué le docteur Robert Knox, un célèbre anatomiste de son époque



Nous suivons dans cette nouvelle l'histoire de Fettes qui travaille comme assistant pour le célèbre Dr. K qui lui confie la tache de réceptionner des cadavres destinés aux dissections des étudiants.



Voici le début de la nouvelle, il y aura par la suite quelques rebondissements évidemment . L'histoire est plutôt bonne, agréable à lire bien que rien d'exceptionnel avec une fin peut être trop abrupte.

1 nouvelle sombre et morbide dans - comme son titre l'indique - le milieu d'approvisionnement en cadavres d'une faculté de médecine. Plusieurs passages très bien écrits ( et très bien traduits) sur la manière dont "fonctionne" l'humain, analyse juste et fine parfaitement exprimée, comme chez le "petit Marcel". Proust avait-il lu Stevenson ? Et bien oui ! (je l'ignorais) oui et c'était même parait-il l'un de ses auteurs favoris. Et bien je pense qu'il l'a, au minimum, inspiré. J'ai pensé à Henry James aussi. En tous cas je n'ai moi non plus pas compris la chute de cette nouvelle ! (et n'ai encore pas fait d'effort pour tenter de la comprendre)
Ensuite, une histoire - le diamant du Rajah - découpée en plusieurs chapîtres. Bien écrit, distrayant et avec une morale à la clef.
Le tout fait un petit bouquin qui se lit facilement et sans déplaisir mais qui ne casse pas non plus 3 pattes à un cadavre..

Le voleur de cadavre et le diamant du Rajah : la fin de la première nouvelle est un peu brutale et inexpliquée/inexplicable ? La seconde est pleine de rebondissements comme celle d'une histoire sans fin...
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Une nouvelle très courte qui traite des états d'âme (ou non) de nos personnages face à leur situation.
Parfois gênante, cette histoire produit quand même son petit effet.