Une chose que je ne pensais jamais voir dans le manga se produit dans le tome dix-sept : la rencontre des parents de Yoh avec les Tao. C'est assez drôle dans le sens où je pensais que ces deux familles ne se croiseraient jamais alors que leurs fils respectifs sont amis, mais en même temps je trouve cette réunion très cool. D'une part, parce que la famille de Ren ne se cantonne vraiment plus à cette image de méchants psychopathes mais plus comme à des alliés de poids dans cette guerre contre Hao. Car oui, il s'agit bien de cela en fin de compte. de plus, on peut aussi revoir Jun et la voir au côté de Anna… Waouh ! C'était inespéré.
L'autre point très intéressant de ce tome, c'est aussi l'arrivée du père de Yoh et pas seulement comme un silhouette mystérieuse ou en flash-back. Il m'a toujours intrigué car on le voit depuis le début mais il restait une figure abstraite. Alors que là, il prend vraiment les choses en main, et, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a une sacrée puissance. J'ai bien aimé le fait que
Hiroyuki Takei décide que Miki, le père de Yoh, soit celui qui entraîne Ren et son groupe. C'était inattendu mais en même temps parfait. Et le combat qui en découle était superbe.
Je n'en dirais par contre pas autant du dernier combat du tome. Une boucherie… Mais, la toute dernière page est magnifique. Terminer un tome de la sorte, j'avoue chapeau. L'arrivée de Yoh et la phrase de Hao à son acolyte… J'ai adoré. Reste à savoir si la fin du tome dix-sept nous promet un tome dix huit à la hauteur.