Petit carnet érotique de l'époque d'Edo aussi nommé ninjôbon en japonais. L'auteur est né dans une famille de samouraïs et succède à son père.
Court, ce recueil est semé d'illustrations licencieuses pour cette fin du XVIII ème siècle ce qui valu à son auteur d'être condamné pour atteinte à la morale publique.
Un Japon exotique à découvrir par le trou de la serrure.
Commenter  J’apprécie         10
"J'ai la bouche toute sèche", et elle colle ses lèvres contre celles de l'homme. "Eh bien, on dirait que tu n'aimes pas ça ! Sors un peu plus ta langue, enfin !