Sans modération(s)

Reçu dans le cadre de la Masse critique, merci à Lansman Editeur et à Babelio pour cet ouvrage.

Nous sommes dans le call center, d'un réseau social. L'équipe de modérateur consulte 8h par jour des contenus signalés par les internautes. A eux de juger la censure ou pas de ces vidéos.

On découvre très vite les limites de ces modérateurs exposés continuellement à des contenus difficiles (pornographie, mutilation, suicide, meurtre...). Psychologiquement touchés et peu soutenus par leur manager ils arrivent progressivement au burn out.

Surprenant est le premier mot qui me vient. Je n'ai vraiment pas l'habitude de lire des pièces de théâtre et j'ai accroché. Je suis rentrée dans l'histoire très rapidement, il n'y a pas de longueur et le lecteur comprend dès les premières pages la signification de la première de couverture. Au fil des pages, j'ai imaginé très clairement la scène avec les comédiens.
De plus, l'auteure traite d'un sujet peu abordé.

Très bonne surprise !

Ravie de ma lecture, j'espère avoir la chance de participer de nouveau à une Masse Critique !

Dans un open space, des modérateurs de contenus violents, pornographiques et autres des réseaux sociaux ... Ils doivent suivre des règles, parfois incompréhensibles et laisser passer des contenus horribles. Forcément cela a un impact, plus ou moins important, sur leur propre vie.
Sous forme de pièce de théâtre, j'ai eu un fort interet à lire cette pièce. Vraiment très interessant sur l'envers du décor. Merci à Masse critique et Lansman Eds pour l'envoi

J'ai reçu cet ouvrage dans le cadre de la masse critique Babelio.
Je n'avais pas lu de pièce de théâtre depuis la fin de mes études, et je dois avouer que ça n'a pas été une grande réussite pour moi.
Le sujet abordé est très intéressant, on arrive à bien se représenter les scènes et à comprendre ce que peuvent vivre et ressentir les protagonistes, c'est simplement que ce n'est pas un format qui me convient.
J'ai tout de même été contente de retenter avec ce livre qui nous montre à quel point certains métiers sont difficiles à vivre au quotidien.