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Nicole Henneberg (Autre)Rose Labourie (Traducteur)
EAN : 9782267050363
960 pages
Christian Bourgois Editeur (05/10/2023)
3.72/5   44 notes
Résumé :
Dans sa saga, l’autrice Gabriele Tergit (1894 , 1982) suit quatre générations de juifs allemands et fait ressurgir un monde disparu.

Paul Effinger, fils d’horloger, quitte la province allemande pour chercher fortune à Berlin. Nous sommes en 1878, et l’essor de l’Allemagne de Bismarck offre de nouvelles opportunités aux ambitieux qui investissent dans l’industrialisation du pays, comme c’est le cas de Paul. Une alliance avec une autre famille, les Op... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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La taille du livre va peut être vous effrayer, mais vous ne serez pas déçu lorsque vous en tournerez la dernière page.
Saga familiale qui se déroule principalement à Berlin mais pas que, ce vaste roman nous entraine chez les Effinger, que nous suivrons sur 3 générations. C'est remarquable, intéressant d'un point de vue historique, bref j'ai adoré cheminer avec cette famille.
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Je débute cette cinquième édition des Feuilles allemandes avec un véritable parpaing de 1.240 kg et 930 pages! Si cette grande saga familiale berlinoise semblait très prometteuse et avait a priori tout pour me plaire, je l'ai lâchement abandonnée après avoir (tout de même) lu 620 pages.

Avec Les Effinger (2023), paru en allemand en 1951, la journaliste et romancière allemande Gabriele Tergit, de son vrai nom Elise Hirschmann (1894-1982), revient sur septante ans d'histoire allemande à travers la vie de quatre générations de deux familles juives allemandes aisées. Entre 1878 et 1948, elle nous plonge ainsi dans la vie des Effinger, une famille d'industriels bavarois, et de celle des Oppner, des banquiers berlinois de père en fils.

Si la perspective de me plonger dans cette vaste fresque historique et sociale inspirée de l'histoire familiale de l'autrice me réjouissait, j'ai à mon très grand regret assez rapidement déchanté, la raison principale étant liée au style de l'autrice que je n'ai malheureusement pas apprécié. Si les chapitres très courts et les phrases très simples confèrent certes du rythme au roman, ces dernières pêchent par leur côté souvent beaucoup trop factuel. Les chapitres quant à eux sont constitués d'énormément de dialogues, pas toujours pertinents, et manquent selon moi cruellement de descriptions. L'autrice a par ailleurs créé une impressionnante galerie de personnages qui semblent pour la plupart très creux et inconsistants, sans réelle profondeur psychologique. Enfin, en usant fréquemment de sauts temporels, des événements historiques intéressants sont à peine survolés alors qu'ils auraient mérité d'être davantage approfondis.

J'attendais beaucoup de ce roman présenté comme un « roman majeur de la littérature européenne », d'autant plus qu'il a rencontré un immense succès en Allemagne lors de sa réédition en 2020 alors qu'il avait été très largement boudé lors de sa première parution en 1951. Lors de ma lecture, je n'ai pu m'empêcher de penser à une autre ré-édition très récente – Les enfants Oppermann (2023) de Lion Feuchtwanger (1884-1958) – qui, sur une durée historique toutefois beaucoup plus courte, témoigne elle aussi, mais de façon bien plus intéressante et approfondie selon moi, du « monde disparu des juifs allemands ».

A lire également sur le blog.

Lien : https://livrescapades.com/20..
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Qualifier ce livre de "roman majeur de la littérature européenne", selon la quatrième de couverture, me semble un peu exagéré …
Important, certes, car l'ouvrage comporte presque 1000 pages. Une saga berlinoise qui court de 1878 à 1948, de l'Empire allemand réuni sous la férule de Bismarck et enrichi des faramineuses réparations payées par la France après sa défaite de 1871 à la reconstruction de la République fédérale au lendemain de la reddition sans condition du Reich hitlérien.

A travers deux familles typiquement allemandes, l'une prussienne - les Goldschmidt - et l'autre bavaroise – les Effinger - les uns banquiers, les autres industriels, l'histoire de l'Allemagne, de ses réalisations techniques, commerciales et artistiques avant puis après la Grande guerre.
Ce sont deux familles juives, totalement intégrées dans le milieu de la haute bourgeoisie, patriotes forcenées, qui pratiquent leurs traditions religieuses et familiales en toute discrétion, ardemment honnêtes et acharnées au travail. Des modèles de citoyenneté.

La première partie du roman raconte l'histoire des liens qui se tissent entre ces deux familles : les cousinages : la recherche de beaux mariages y tient une place prépondérante, les jeunes garçons font des études universitaires ou entrent en apprentissage dans les entreprises de leur parentèle …
Je recommande, avant de commencer, de faire une photocopie des arbres généalogiques de tous les personnages car on s'y perd rapidement.
D'autant que certains héros marchent par deux, comme les principaux : Paul et Karl Effinger, Annette et Sofie, et surtout Lotte et Marianne … et surtout, le génie tutélaire : l'oncle Waldemar, juriste renommé et philosophe respecté.

La seconde partie du roman ressort davantage de l'essai politique. Il m'a fourni une réponse à la question que je me posais depuis des dizaines d'années : comment un peuple aussi cultivé, respectueux des normes et du droit naturel, inventif et laborieux que le sont de temps immémoriaux les Allemands a-t-il pu sombrer dans l'horreur du nazisme ? Une réponse : l'usage massif du mensonge …

En fait, le nom d'Hitler n'apparaît qu'en page 678, le mot « nazi » en page 798. Mais la description réaliste, détaillée, mécanique et pratique des malheurs de l'Allemagne de Weimar est éclairante.
La théorie du « coup de poignard dans le dos » donné par les politiciens signataires des traités de Versailles à une armée jamais vaincue, l'idée que les Juifs sont les accapareurs et seuls responsables de l'inflation galopante et de la crise économique mondiale, la désintégration d'une économie largement dépendante de l'étranger … et qu'il faut les chasser, les exproprier, les anéantir … Ces idées s'insinuent tout doucement, les Juifs allemands n'y croient pas. Paul déclare souvent que « le gouvernement ne ment pas, c'est antipatriotique de ne pas croire à la propagande. »

Ces techniques de subversion des masses, nous les voyons à nouveau sous d'autres procédures aujourd'hui en Europe … et ailleurs. Insidieusement ou carrément, on abreuve le peuple de fausses nouvelles. C'est terrifiant car il est bien connu que « L Histoire ne se répète pas, elle bégaie. » comme aurait dit Karl Marx … ou Mark Twain

Sur le plan de la forme, je trouve toutefois que la traduction n'est pas optimale. Certaines expressions sont naturellement difficiles à traduire mais auraient mérité une explication : par exemple la tradition de la « tanzschule », ou leçon de danse … qui fut l'une de mes plus étonnantes découverte lors de mes séjours en RFA dans les années soixante. Car cette habitude de donner des leçons de danse de salon à des adolescents des deux sexes perdurait encore. Inimaginable pour une jeune française … Autre maladresse : employer le mot « office » à la place de « ministère », mais j'ai découvert un nouveau mot : « climatère » dont je laisse à mes lecteurs la peine de découvrir le sens (un indice : carence en oestrogènes).

Bref, l'intérêt de cet ouvrage est à plusieurs niveaux : la réalité des personnages – on évitera les trop longues digressions philosophiques – la description des mouvements culturels et politiques de l'entre-deux guerres – la valeur morale profonde de ces Allemands de confession juive anéantis et dont la créativité manque cruellement à l'Allemagne d'aujourd'hui.
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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Garbiele Tergit a écrit son roman entre 1931 et 1951. A l'époque, la publication d'Effingers est passée inaperçue. Ce n'est qu'en 1977 que son chef-d'oeuvre a été redécouvert et appaudi grâce à une réédition allemande. Tergit raconte l'histoire de trois générations de deux familles juives, les Effingers en Bavière et les Oppner à Berlin entre 1878 et 1948. Les deux familles seront réunies par des mariages et la plupart du temps l'intrigue est située à Berlin. Les premiers sont des industriels et les seconds des banquiers. Il s'agit de familles aisées qui jouent un rôle important dans la société allemande de la fin du 19ième siècle. de vrais patriotes aussi. D'ailleurs, le mot "juif" n'apparaît que rarement dans les deux tiers du roman. C'est seulement dans les 50 dernières pages qui racontent l'avènement du nazisme, que le mot "juif" apparaît. Ces pages nous font témoins de la déshumanisation progressive du peuple juif. Les personnages qui nous ont tenus compagnie pendant plus de 600 pages sont éliminés les uns après les autres par le système nazi, que ce soit physiquement ou socialement. le roman nous montre que de grands patriotes, qui ont financé l'Etat prusse, deviennent des "corps étrangers", sont accusés d'avoir provoqué l'inflation et la pauvreté que l'Allemagne a connues après la Première Guerre mondiale. Tergit nous raconte son épopée avec des chapitres très courts. C'est en quoi son roman est original, frais, innovateur. Elle utilise en fait la structure d'un feuilleton ou d'une série, avant la lettre, en dessinant des scènes courtes dans lesquelles elle esquisse ses personnages et le moment de leur vie dans lequel ils se trouvent, parfois banal, parfois crucial. Et à l'aide de ces tableaux successifs elle nous donne son point de vue, elle étant juive aussi, d'une société qui, en à peine 70 ans, change fondamentalement. On peut y lire un avertissement pour les temps auxquels nous vivons. le "fake news" n'est pas un phénomène nouveau.
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Thomas Mann nous avait décrit avec brio et une grande force d'évocation une saga familiale, celle des Buddenbrook, dont le sous-titre était :la décadence d'une famille. Gabriele Tergit renouvelle le genre dans ce roman-fleuve intitulé : « Les Effinger, une saga berlinoise ».
Dans le roman de Thomas Mann, il était question d'une grande famille de l'Allemagne du Nord, protestante. Dans celui de Gabriele Tergit, il s'agit de deux familles, juives, les Effinger et les Oppner. Paul Effinger, horloger à Kragsheim, petite ville du sud-ouest de l'Allemagne pour tenter sa chance à Berlin. Les Effinger vont se lier avec les Oppner, des banquiers juifs assimilés.
Nous sommes en 1870 et le cadre de l'Allemagne fraichement unifiée incite à l'expansion économique, à la création de nouvelle entreprise, à l'innovation et à l'esprit d'entreprise. L'industrie allemande se développe à grande vitesse et les dirigeants de l'Empire allemand n'ont de cesse que de vouloir dépasser le Royaume-Uni, puissance dominante sur le monde et sur le continent européen.
Les quatre fils de Paul Effinger voient leurs destins déjà fixés par des principes rigides : « Enfant d'artisan un jour, enfant d'artisan toujours. (…) Benno, leur fils aîné, était en Angleterre, il travaillait dans une fabrique de bonneterie à Manchester. Karl était apprenti dans une banque à Berlin. Paul était en Rhénanie. Willy apprenait l'horlogerie auprès de son père. »
Comment concevoir sa place dans une société allemande, longtemps marquée par l'antisémitisme depuis le Moyen Age, et qui a libéralisé le statut des Juifs depuis le XIXe siècle ? Comment rester fidèle à la foi, à l'éthique de ses ancêtres si l'on n'est pas spécialement enclin à afficher ses convictions religieuses ?
Waldemar Goldschmidt, descendant de la famille Oppner, donne une réponse lumineuse dans une lettre adressée à un collègue de l'Université : « Je fais partie d'une race méprisée et suis un citoyen de second rang en Allemagne. Mais j'ai un avantage qui se révélera un jour : par ma simple existence de juif, je suis témoin de la puissance de l'esprit et du refus d'employer la force. La synagogue des juifs persécutés est le dernier vestige de cette puissance de l'esprit qui a vaincu Rome. »
Gabriele Tergit souligne un autre trait de cette bourgeoise juive, entreprenante, c'est l'optimisme, la conviction que la paix entre les nations est possible si ces dernières développent leur relation mutuelle : Karl Effinger, l'un des fils de Paul, en est persuadé : « Une guerre est impossible en Europe, et elle l'est de plus en plus à mesure que se développe notre productivité industrielle. Les pays s'approvisionnent les uns les autres. Nous achetons des actions de chemin de fer américain et l'Angleterre acquiert des consolidés prussiens. »
Cette foi en l'époque des deux familles, les Effinger et les Oppner se concrétise aussi par leur implantation berlinoise dans le quartier des ministères, sur la Wilhelmstrasse. On arpente la juif, située près du jardin du même nom. Berlin s'agrandit, se modernise, capitale désignée du Reich allemand.
Après la première guerre mondiale, sous la République de Weimar, des nuages s'amoncellent. La crise économique est dramatique, l'inflation monétaire à son paroxysme. Les affaires ne peuvent plus être conduites comme avant 1914. L'apparition de courants nationalistes provoque des débats chez les Effinger et les Oppner. Nous sommes en mars 1913. Marianne, Erwin, et Lotte, enfants de Karl Oppner, débattent de l'assimilation : Marianne semble sensible aux thèses sionistes popularisées par Theodor Herzl dans son ouvrage « L'État juif », publié en 1896.
Ces personnages se posent cette question : sommes-nous chez nous en Allemagne, la création d'un foyer juif en Palestine est-elle la solution ? L'antisémitisme peut-il disparaître un jour ?
A la fin du roman, Waldemar Goldschmidt persévère malgré tout, malgré la montée du nazisme en Allemagne, malgré la nuit de Cristal de novembre 1938, dans sa foi en l'optimisme : « Nous n'avons aucun pouvoir, mais nous entretenons le souvenir du tort qui nous a été commis à travers le temps. C'est ce souvenir qui confère sa noblesse à notre peuple depuis des siècles et qui lui donne la force sans pareille de la résistance passive. »
Nous avons affaire, à la lecture de cette belle saga berlinoise, à un grand roman qui prendra une grande place dans l'histoire de la littérature allemande et européenne : un reflet de l'histoire d'une communauté, une évocation de son rôle dans l'histoire et dans la société allemande entre 1870 et 1948. À lire absolument !
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critiques presse (1)
Liberation
28 novembre 2023
Dans sa saga, l’autrice Gabriele Tergit (1894-1982) suit quatre générations de juifs allemands et fait ressurgir un monde disparu.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Lotte marchait à travers la ville. C’était une vilaine journée d’hiver, de la neige fondue tombait, le vent saturait l’air d’une oppressante odeur de charbon. Elle avait laissé son parapluie à l’université, une fois de plus, elle ne le retrouverait sans doute pas. Le vent arracha la ficelle de son paquet, faisant rouler sa demi-livre de biscuits dans la boue, tout en agitant son chapeau. Elle se réfugia dans un salon de thé du milieu du XIXe siècle qui, avec ses chaises dorées, ses petites tables en marbre, ses confortables banquettes rouges, dégageait une atmosphère au parfum de lavande et de patchouli.
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Désormais, le palais était ouvert aux étrangers qui venaient contempler le parc, les fontaines, le théâtre de plein air, les fausses ruines, le pavillon chinois en éventail, rouge à fioritures bleu ciel. Le duc résidait au palais. Il s’était fait aménager des appartements en toute simplicité, mais les grands jours, quand l’Empereur venait de Berlin, les lustres de cristal chargés de centaines de bougies brillaient encore dans la galerie des Glaces, dans la chambre aux porcelaines, dans le cabinet bleu et jaune, éclairant la splendeur féerique d’un monde disparu fait de damas rouge amarante, de cadres argentés passés et d’éclaboussures de stuc au plafond semblables à de l’écume.
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Karl Effinger, de son côté, s’était épris de la fille Oppner avant même de l’avoir rencontrée. Une jeune fille d’une telle extraction ne pouvait qu’être ravissante. Il avait sous les yeux une vision enchanteresse. Une femme élégante, conduisant un cabriolet, enveloppée de dentelle et de douce fourrure, les pieds croisés chaussés de mignonnes bottines, une ombrelle en dentelle au-dessus d’elle, une rose La France sur la poitrine.
Il s’imaginait un vaste et élégant logis, une femme d’une grande sensibilité qui, le soir, s’asseyait au piano pour jouer Chopin, sa robe de chambre se déployant autour d’elle, un lévrier gracieusement couché à ses côtés.
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« Nous n’avons aucun pouvoir, mais nous entretenons le souvenir du tort qui nous a été commis à travers le temps. C’est ce souvenir qui confère sa noblesse à notre peuple depuis des siècles et qui lui donne la force sans pareille de la résistance passive. »
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Le gros poêle en faïence vert sentait le chaud. Anna mit sur la table l’une des nappes de Selma brodée de rouge, des verres Römer de couleur verte, un peu de pain d’épices et la lampe à pétrole. À côté, elle posa le seau à glace en argent avec les bouteilles de vin du Rhin.
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Vidéo de Gabriele Tergit
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