" A Tanger, me dit-elle, n'oublie pas de passer par le boulevard du front de mer, je voudrais remonter la rue Marco Polo. Depuis l'Indépendance, la rue Marco Polo porte le nom d'un autre voyageur, Ibn Jobair ou Ibn Zoubair, je ne sais plus. Ce qui me déprime le plus, me dit-elle, c'est que Marco Polo, tout comme Ibn Zoubair d'ailleurs, n'aurait sûrement pas aimé se retrouver ainsi confrontés aux intrigues des vivants. Le voyageur arabe était parti lui aussi vers d'a...
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