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Le signe des rêves tome 2 sur 2
192 pages
Futuropolis (08/10/2018)
3.61/5   37 notes
Résumé :
Gérant naïf et falot d'une petite manufacture d'objets en caoutchouc, M. Kamoda se voit placer sous séquestre pour fraude fiscale ; excédée, sa femme le quitte, et il est victime d'une escroquerie qui le laisse criblé de dettes... Alors qu'il erre sans but dans la ville avec sa fille Kasumi, à deux doigts de céder à des pulsions de désespoir, il va trouver sur sa route un étrange signe des rêves, qui l'amènera jusqu'à Paris pour l'aventure de sa vie, dans une série ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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 Naoki Urasawa poursuit avec » le signe des rêves : tome 2 « paru en France en octobre 2018, avec les éditions Futuropolis et en collaboration avec le Louvre éditions.

Sans détour, nous reprenons l'histoire là où elle s'est arrêtée à la fin du tome précédent. Kasomi et son père sont à Paris, et sont missionnés par le Directeur de l'institut français au Japon, Kamoda,  pour voler le tableau de Vermeer. Si tout se passe comme prévu, le père soldera ainsi ses dettes. Hébergés chez Michel, il est leur lien avec la mystérieuse Kyôko...
" Kyôko, tout comme votre Directeur, appelait cette pierre "Le signe des rêves"... "
Ensemble ils mettent en place un stratagème afin de voler le tableau, sans se faire remarquer.
" Seuls les rêves auxquels on a aspiré sont exaucés, pardi ! "
Et c'est là que réside tout le talent de Naoki Urasawa ! Cette escroquerie va prendre des proportions incroyables, usant de l'ironie et de la dérision avec brio. La finalité importe peu à vrai dire, tant la mise en scène est improbable!
Plus nerveux par son intrigue que le tome 1, ce tome 2 embarque le lecteur. Impossible de retenir un sourire, voire un rire, lorsque le clairon sonne!
" Au signal, on lance l'opération au son du clairon " !
Je ne m'attendais absolument pas à la manière dont l'auteur fait participer, malgré lui, le public du Musée du Louvre! Un pied de nez à la décadence du monde politique en occident.
Soulignons encore l'originalité du sens de lecture (de droite à gauche) de ce manga - tout comme son volume précédent - dont le format est plutôt inhabituel. Seulement 4 planches en couleurs (pages 83 à 86) se glissent au milieu d'un ensemble en noir et blanc. La postface de l'auteur en fin de volume permet de situer le lecteur lambda dans toutes les subtilités qui s'égrènent au fil de la lecture. Mon attention s'est particulièrement posée sur l'iconographie qui se trouve également à la fin. Celle-ci est très instructive.
Lien : https://missbook85.wordpress..
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Deuxième et dernier tome de ce manga commandé par le musée du Louvre où se passe la plus grande partie de cette histoire confuse. Emprunter La dentelière de Vermeer, reposer un objet volé précédemment. le but est d'en vendre des copies le temps de la disparition de l'oeuvre. C'est une gamine et son père japonais qui doivent effectuer le délit. Plusieurs personnages et faits s'entremêlent. Pas vraiment accroché. Manque de subtilité, construction bancale.
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J'ai découvert ces deux tomes grâce au prêt "surprise" de ma médiathèque. Ils marquent une nouvelle collaboration entre le musée du Louvre et les éditions Futuropolis.
Monsieur Kamoda est un homme naïf, enthousiaste, prêt à croire en ses rêves et en ceux des autres. Ce penchant naturel le met souvent dans de mauvaises postures et ses petites combines le pousse à l'endettement. Sa femme partie, il reste seul avec sa fille Kasumi, gamine débrouillarde et combative. Au bord de la déprime, il tombe sur un mystérieux larron, amoureux de Paris et de la France, qui lui propose une nouvelle affaire.
Album hommage à La Dentellière de Vermeer, un des nombreux chefs-d'oeuvre du Louvre, cette mini série en deux tomes aux croisement du manga et de la BD franco-belge rend également un hommage à l'amitié franco-japonaise aux travers de personnages archétypaux : Mme Bardot la chansonnière, Michel, le héros français au grand coeur, le mystérieux président aux grandes dents en filou malicieux et magique...
Deux tomes très attachants.
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Il est déjà temps de conclure cette courte histoire de commande du Louvre à Naoki Urasawa où celui-ci s'amuse sans se forcer à inventer une histoire d'escroquerie avec le Japonais le plus fan de la France qu'il connaisse.

Ce second tome est une bonne surprise dans la mesure où je n'en attendais pas grand-chose après un premier tome très convenu. L'histoire avance rapidement. On ne perd pas de temps en fioriture pour vite arriver au jour où le père et la fille doivent voler le Vermeer. L'affaire est rondement menée dans une ambiance assez drôle, je dois avouer. On n'est pas dans le casse du siècle mais dans un coup monté à la va-vite qui a tout pour mal tourner et qui est donc égrené de moments qui pourraient tout faire basculer du mauvais côté. Ainsi même si l'histoire reste ultra classique et pleine de bons sentiments (incarnés par le personnage de Michel), les aventures du père et de la fille peuvent tenir un petit peu en haleine. D'ailleurs, la chute de cette escroquerie a vraiment de quoi faire rire, Urasawa faisant une pirouette comme lui seul à le don d'en faire, pour que tout le monde s'en sorte bien.

Je suis donc ressortie satisfaite de la lecture de ce second tome. J'ai trouvé certes l'histoire trop rapide, mais j'ai aimé le contre-pied choisi par l'auteur. L'histoire qu'il a imaginé derrière le signe des rêves m'a amusée et attendrie. J'ai également aimé, même si c'est très surfait, la petite critique politique qu'il y a glissée même si ce serait bien qu'il ait le même regard critique envers son pays et pas seulement envers l'Occident...

Mujirushi est donc une oeuvre de commande bien calibrée mais un peu trop artificielle, dans laquelle on sent qu'Urasawa s'amuse bien tout de même mais qui laisse le lecteur cruellement sur sa faim quand même tant elle peut sonner creux. C'est une brève aventure un peu rocambolesque qui aura permis à une famille de se remettre sur les rails et de faire de belles rencontres. le Musée du Louvre est bien mis en avant même si on le parcours très rapidement. L'histoire de base est originale. Il m'aura manquait un vrai développement pour que ça fasse moins artificiel. Par contre, j'ai vraiment apprécié la Postface d'Urasawa expliquant sa participation.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Alala Naoki Urasawa a su retomber sur ses pattes comme toujours avec une chute digne de son style ! Ce second tome est vraiment plus axé sur son art de la narration et des rebondissements surprenants voire improbables concernant ce casse du Vermeer. J'ai bien aimé mais ce n'est pas forcément la série à conseiller quand on connaît si bien ses oeuvres (Monster, 20th century,... Master Keaton !!!). du tourisme, de l'humour cynique, une pincée de romance et une petite dose d'adrénaline dans ces albums taille BD.
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critiques presse (2)
LeMonde
20 décembre 2018
Inspiré d’Iyami, un personnage filou, gaguesque et populaire du manga des années 1960, l’obséquieux bonimenteur se prétend ami de François Mitterrand et de Sylvie Vartan. Le lecteur, dérouté d’office – c’est une coutume chez Naoki Urasawa –, reste sous bonne escorte grâce au talent du maître qui, avec économie de traits et de mots, sait exploiter à bon compte les défauts de la nature humaine.
Lire la critique sur le site : LeMonde
ActuaBD
30 octobre 2018
Rien n’est laissé au hasard dans ce diptyque. Chaque situation et chaque personnage, sans lien apparent entre eux, déclenchent des réactions en chaîne qui conduisent inéluctablement à l’aboutissement de l’intrigue, du grand art.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Un rêve qu'on ne s'est pas imaginé n'a pas la moindre chance de s'accomplir ! Seuls les rêves auxquels on a aspiré sont exaucés !
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Ton rêve est admirable, il faut en faire une réalité.
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Kasumi : Seuls les rêves auxquels on a aspiré... sont exaucés ! .... Pardi !
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