Le principe de Pauline

une très belle histoire faite d'amitié et d'amour mêlés, de rebondissements, de l'humour....
Facile à lire et rythme assez entraînant, j'ai beaucoup aimé; hâte de découvrir d'autres romans de cet auteur que j'ai découvert avec La femme de nos vies.

Encore une très bonne lecture avec cet auteur. de nouveau sous le charme de l'écriture. une histoire qui prend son temps et c'est très bien comme çà.
J'ai adoré les 3 personnages centraux, leurs caractères parfois étranges, leurs histoires qui s'entrecroisent, une histoire d'amitié hors du commun

"Le principe de Pauline", c'est - pour moi - avant tout une belle histoire, surtout quand elle est racontée par Didier van Cauwelaert. Cet humour qui ferait passer la plus torchée des histoires pour quelque chose avant tout de drôle, mais sur ce ton inimitable qui rend les personnages si attachants. On en garde, des mots, des images pour longtemps, avec à chaque fois l'envie d'y retourner, mais pas seulement parce qu'on rit "bien", mais aussi parce que l'on est grandement touché. Et ça c'est fondamental (selon moi).

De la sensibilité, de l'humour, de la sensualité, du tragique...

Avec Didier van Cauwelaert en amour tout est possible, et rien n'est choquant.

J'ai bien aimé ce roman de didier van Cauwelart.
J'ai apprécié les trois personnages principaux et ce triangle amoureux / amitié est intéressant.
L'histoire en soi est assez simple, de même que le thème, mais c'est bien écrit, bien traité, et j'ai passé un bon moment en compagnie de "Le principe de Pauline".
A lire si vous appréciez les écrits de l'auteur et aussi si vous souhaitez le découvrir :)

Pauline a pour principe de porter l'amitié très haut dans son coeur. D'où confusion possible entre amitié et amour.
Pauline travaille dans une parfumerie et aide Mme Voisin, la libraire. Elle aime Maxence, ex-chauffeur du président du Conseil général mais incarcéré car il n'a pas voulu « charger » son employeur dans une sombre affaire de pots de vin dont la politique est friande.
Quincy Farriol, le narrateur, poseur de moquettes, est accessoirement écrivain et son premier roman reçoit le Prix de la maison d'arrêt où Maxence purge sa peine. Quincy est l'archétype du raté.
Maxence et Quincy se trouvent liés par leur attirance pour Pauline. Mais rien n'est simple pour Quincy qui ne veut pas trahir Maxence et celui-ci se veut le protecteur de Quincy. Un embrouillamini qui se développe au fil des pages.
Didier van Cauwelaert semble en connaître un bout sur les arcanes politiciennes louches et l'affaire actuelle autour de Sarko et les anciennes qui entachent pas mal d'hommes politiques de tous bords donnent du crédit à ce qu'il avance.
L'auteur fait preuve d'une grande maîtrise du verbe et ravit le lecteur par les nombreux rebondissements qui émaillent son roman ; une ironie de bon aloi l'égaie également.

J'ai beaucoup aimé (même adoré !) cette histoire. A quand le film ?

Pauline aime Maxime. Mais, Maxime est en prison.
Pauline aime Quincy. Quincy a écrit un livre et reçoit le prix de la maison d'arrêt ou est incarcéré Maxime.
Quincy rencontre Pauline qui lui remet sa petite culotte pour faire passer un message à Maxime. En effet Quincy va rendre visite à Maxime afin de recevoir son trophée. Maxime lui demande de devenir l'amant de Pauline.
Voilà, ainsi débute une grande histoire d'amitiés…

Si le récit, plutôt enlevée et non dénué d'humour, commence de façon efficace, il traine en longueur et cumule les rebondissements improbables. Les personnages sont excessifs, les situations rocambolesques.