Nana, tome 1

Nana est le premier manga que j'ai lu et j'ai tout de suite été très emballée par le style de Ai Yazawa : de très beaux dessins, des costumes originaux, des personnages avec des caractères bien définis, de l'humour, une culture assez rock.. bref un cocktail qui fonctionne parfaitement ! Les deux Nana ont des caractères très différents mais sont toutes deux très attachantes, ma préférence allant pour Nana Osaki avec son caractère bien trempé, sa malice et son côté un peu félin ! La mangaka a en outre une belle écriture, chaque tome regorge de phrases touchantes et percutantes, et il en ressort une émotion non pas mièvre mais forte, qui contribue à donner une vraie profondeur aux personnages et à l'évolution de leurs relations. le seul bémol serait l'aspect un peu brouillon des derniers tomes où personnellement j'ai eu un peu de mal à suivre l'évolution de l'histoire, l'univers richement développé entremêle beaucoup de personnages, d'époques et de détails parfois difficiles à bien situer. Il reste tout de même mon manga favori, à quand le volume 22 ?

Je ne suis pas très manga d'ordinaire, mais Nana est resté pour moi une révélation. J'ai commencé à lire ce manga à l'âge de 14 ans, et j'ai dévoré chaque tome en quelques heures. Chaque nouvelle sortie est un évènement que je me refuse de rater! Mêlant la réalité accablante de la vie des deux jeunes filles à l'humour et la sensibilité de l'auteur, Nana est LE manga à ne pas rater!

Très beau manga que j'ai découvert en animé, il y a quelques années. L'histoire est pour l'instant déclinée en 21 volumes et un fanbook.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire, la rencontre de deux jeunes filles qui ont toutes les deux le même prénom : Nana, mais qui sont en tout point différentes. Elles se retrouvent à cohabiter dans le même appartement, le numéro 707 en référence à leur prénom qui signifie sept.

le côté musical m'a aussi beaucoup plu ainsi que les liens entre les personnages.
Je trouve que c'est une histoire qui se rapproche beaucoup de la réalité, avec les petits tracas du quotidien, les histoires et les chagrins d'amour.

Les dessins sont très beaux, les personnages ont une classe folle.

J'espère vraiment qu'on aura droit à une suite et à une fin.
Je conseille vivement ce manga à lire et si vous avez l'occasion de regarder l'animé, vous ne serez pas déçus, les musiques d'Anna Tsuchiya et Olivia sont magnifiques chacune dans leur style.

Je commence très souvent mes avis sur les mangas de cette manière : j'ai eu du mal à le commencer. Vrai, là aussi, tant les vignettes (je ne connais pas l'équivalent en manga) se succèdent de manière dense sur une page. le graphisme des personnages est parfois très outré (je ne puis comparer qu'avec les expressions des personnages de cartoon pour les mimiques) et donc moins raffiné que ceux de Pluto, de Monster ou de Bride stories. Même les décors sont très urbains, ce qui colle avec le ton de la série. Avec ce manga, j'ai l'impression d'expérimenter une nouvelle catégorie de mangas, celle qui s'adresse plutôt à des jeunes femmes, qui peuvent se reconnaître dans ces personnages qui se cherchent et qui ne se trouvent pas forcément.
La première Nana est un coeur d'artichaut. Elle tombe amoureuse, très fréquemment, de garçon plus âgé qu'elle. Quitter le lycée et trouver sa voie va la forcer à s'interroger sur ce qu'elle attend d'une relation amoureuse mais aussi sur ce qu'elle croit savoir des hommes. Immature ? Oui, un peu, pour ne pas dire beaucoup, et c'est sans doute pour cette raison qu'elle s'égare dans des relations qui ne peuvent rien lui apporter.
La seconde Nana a morflé, si je puis m'exprimer ainsi - et je le fais. Elle vit sa relation amoureuse avec la force de celle qui sait qu'elle ne peut se permettre de gâcher une seule journée. Pas de demi-mesure avec elle, c'est tout ou rien. Vous l'aurez compris, elle m'a bien plus intéressée que la première. Elles ont pour points communs leur attrait pour l'art (le dessin pour l'une, la musique pour l'autre) ainsi que leur volonté de quitter la province pour tenter leur chance à Tokyo.
Je ne poursuivrai pas cette série : je préfère rester sur cette note d'espoir pour toutes les deux.
Lien : http://le.blog.de.sharon.ove..

J'ai eu l'envie de me lancer dans la lecture de manga et c'est tout naturellement que je me suis dirigé sur "Nana". Nous suivons l'histoire de deux jeunes femmes, toutes deux portant le prénom de "Nana". Elles ne se connaissent pas et n'ont absolument rien en commun au premier abord et pourtant, un lien particulier va naître entre les deux protagonistes. Nous allons alors les suivre dans leur quotidien et être témoin de leurs histoires d'amour, d'amitié et de musique. "Nana" est un manga emplit d'une certaine poésie, mais qui nous rappelle parfois, souvent, la dure réalité de la vie.

Un shojo très prenant et plus mature, hors du "petite fille qui se fait remarquer par le brun ténébreux de la classe omg >/////< (style qui est marrant deux secondes mais qui devient vite lassant). J'e n'ai jamais prit le temps de lire la suite et pourtant j'en ai envie. Les personnages sont attachants et même si je me suis fait spoiler la fin, j'avoue que je ne me serai jamais attendue à ça.
Une grosse réussite qui mérite son succès.

J'ai lu et vu la version anime de ce manga et j'ai adoré ! -:)

Cependant, ce manga est classé par erreur en shôjo. Les thématiques abordées (drogue, grossesse non désirée notamment) sont un peu trop sombres pour des très jeunes filles.

Pour moi, Nana est un josei et non un shôjo. Comme les autres titres d'Ai Yazawa d'ailleurs (je pense à Paradise Kiss).

Le josei est un peu trop négligé en France et c'est dommage.

J'ai lu ce manga du 29/05/2016 au 30/05/2016.
Le début d'une série qui m'a l'air très prometteuse car déjà un shojo (il n'y a que ça qui me plaît en mangas ou presque).
De plus, les 2 histoires de Nana montrent que la vie n'est pas rose du tout loin de là surtout en amour ! En effet, Nana (connais plus leur nom) la fifille a eu un énorme chagrin d'amour causé par un vieux (alors qu'elle était lycéenne) mais elle va retrouver l'amour avec quelqu'un de son âge qui doit partir ailleurs (c'est devenu une relation à distance). Tandis que la Nana rockeuse a eu une vie difficile puis elle rencontre son grand amour mais lui aussi doit partir, ainsi c'est la fin de leur relation. Je trouve que ce shojo montre la réalité des choses que l'on ne retrouve pas dans la plupart des shojos.
En tout cas, hâte de lire la suite même si je sens qu'il va y avoir de jolis moments de dépression. A lire.

Ma note : 9/10

Nana est jeune, curieuse, naïve, enjouée: parée pour l'aventure de la vie étudiante loin de son cocon familial.
Elle croise la route de Nana, l'autre, ténébreuse, chanteuse, mystérieuse mais pleine d'empathie envers le monde sous des airs nonchalants.

Elles vont grandir ensemble, affronter les épreuves et profiter des joies de la vie, en laissant au lecteur une petite place pour les accompagner et s'identifier à elles ou à leurs acolytes rieurs et écorchés.

Un régal!

Nana , c'est un manga suivant en parallèle la vie de deux jeunes filles portant le même nom : Nana. Je dois vous avouez que j'en attendais beaucoup, mais vraiment beaucoup de ce manga, qui est censé être très bon. Et, comme Paradise Kiss (de la même mangaka), il manque un petit quelque chose, un petit rien, qui ferait que. Mais comme la saga n'est pas trop longue (21 tomes), je vais quand même la suivre.

On découvre deux jeunes filles, l'une délaissée par ses parents, l'autre abandonnée chez sa grand-mère, et qui ont une vie quasi-similaire. Toutes les deux ont la personne qu'elles aiment à Tokyo, et ont sent qu'au fil de l'histoire, elles seront amenées à se rencontrer, et pourquoi pas, débuter une liaison amoureuse ?

Le speech est simple, mais il fonctionne. Les graphismes sont beaux, mais sans plus. Je m'attendais à beaucoup mieux, à des dessins détaillés, mais le seul moment où j'ai vraiment apprécié, c'est au moment où l'on voit les tenues de la chanteuse Nana.

En tout cas, j'ai hâte de voir comment l'histoire va évoluer, et quels tournants elle va prendre !
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