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Avec ce roman j'ai plongé dans le Paris de la fin du XIXème siècle, avec délectation.
Haussmann fait ses travaux, ouvre les voies, assainit la ville. C'est le début d'une grande transformation.
Boucicaut qui a démarré comme simple employé au Bon Marché en a pris les rennes et entend bien révolutionner les codes du commerce.

Zola a pris des milliers de notes, a multiplié les entretiens pour décrire au mieux ce changement de paradigme de la consommation. le résultat est fabuleux.

Ce roman se lit comme une enquête sociologique (et économique) sur la disparition des petites échoppes, souvent minuscules, sombres et humides. Elles sont nombreuses, spécialisées (ganterie, chapellerie, ombrelles ou encore draperie). Et parce que c'est du Zola, il n'oublie pas l'humain : les travailleurs, les membres de la direction de ce grand magasin et les clientes.

Il décrit les jalousies entre employés, les rivalités autour des ventes, mais aussi la solidarité et l'amitié pour tenir avec des conditions de travail difficiles et une précarité qui reste omniprésente (la gestion des périodes creuses à l'époque où les congés n'existent pas encore !).
Côté direction, l'accent est mis sur la gestion du risque financier (doit-on s'agrandir ou consolider l'existant, quelles quantités acheter ?) sur l'aspect social (les chambres pour les employés, un intéressement aux ventes, des congés …) et sur les pratiques « managériales » de l'époque (la surveillance, la pression voire le chantage …).
Et les clientes, ah les clientes, ces bourgeoises oisives, coquettes et élégantes qu'il faut émerveiller, surprendre pour mieux la faire succomber (un nouveau « concept marketing » que celui de la réorganisation du magasin pour une plus grande tentation !)

J'ai aimé plonger dans les rayons d'étoffes, de dentelles, de gants, chapeaux et tout le reste. J'ai aimé lever les yeux pour voir les premières mises en scènes de décoration. J'ai aimé les portraits des personnages, tant les principaux, Mouret et Denise, que les secondaires. Bref j'ai aimé m'immerger dans ce Paris de l'époque !
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Il faudra excuser cette critique, que beaucoup traiteront de "mièvre". Mais il faut dire que je suis une adepte de la romance et que les lectures, sans un tant soit peu d'amour...Je n'ai plus vraiment l'habitude.
Et puis, j'ai la vision d'une jeune adolescente du XXIe siècle, qui a bien râlé lorsqu'on lui a imposé de lire ce classique, pour une certaine date en plus. Autant vous dire que je m'y suis plongée en marmonnant, bien consciente qu'un travail m'attendrait, à l'issue de cette lecture.
Et enfin, rappelons que la problématique des grands magasins n'en est plus vraiment une aujourd'hui, leur présence étant devenue une évidence. Bien que je me batte pour soutenir les petits commerces...Bref.

Denise Baudu est une jeune normande de vingt ans, aux cheveux extrêmement longs mais assez quelconque sur bien des aspects. Débarquant de Valognes accompagnée de ses deux petits frères, elle espère qu'ils seront recueillis par leur oncle Baudu, suite à la mort de leur parents. Hélas, ils apprennent avec horreur que la situation de ce dernier est plus qu'instable ; un nouveau et immense magasin lui faisant de la concurrence. Ayant bien besoin besoin d'argent pour vivre, Denise se voit obligée de se présenter à ce magasin, dans l'espoir d'être vendeuse. Elle est alors projetée dans le monde des grands magasins et des ficelles du métier : elle fait la rencontre de Henri Deloche, jeune novice ; Octave Mouret, jeune veuf et patron du magasin qui est pour le moins troublé par cette jeune femme ; Mlles Prunaire et Vadon qui ne lui cacheront pas leur dédain ou encore l'inspecteur Jouve, haut placé et menaçant, et bien plus encore. Denise devra s'imposer, quitte à élever la voix, pour se faire respecter dans ce Paris du XIXe siècle, impartial et sans pitié, en particulier pour les femmes. Elle croisera la route de multiples bourgeoises, pathétiques et coquettes et de nombreux hommes assoiffés par le pouvoir et l'ambition.
Octave Mouret est l'un d'eux mais cette « petite fille » éveille en lui des sentiments nouveaux et bientôt, le succès du magasin ; les agrandissements à mener ; les sommes astronomiques qu'il produit ne sont plus grand choses à côté de cette jeune femme « patiente, seule, redoutables dans sa douceur. ». Mais Denise ne semble pas l'aimer.
Denise, quant à elle, tente tant bien que mal de réfréner ses sentiments à l'égard de ce grand homme, coureur de jupons et plutôt froid aux premiers abords. Mais Octave ne semble pas l'aimer.


Pour être honnête, j'appréhendais beaucoup cette lecture, particulièrement à cause de la plume de Zola ainsi que le nombre assez terrifiant de personnages. Toutefois, une fois lancée, rien ne m'arrêtait. Ladite plume est vraiment très agréable à lire ; plutôt poétique mais assurément fluide, elle nous emporte avec elle dans le Paris du XIXe siècle, aux côtés de Denise. Pour ma part, c'est un réel bonheur de lire un roman avec un style d'écriture pareil.
Le nombre de personnages est resté terrifiant tout au long de ma lecture et j'avais beau me concentrer et faire des résumés par chapitre, je n'ai toujours pas compris qui étaient certaines personnes. le point négatif serait alors que, à cause de ce nombre trop important de personnages, nous ne nous sentons pas du tout proches des protagonistes. Leurs problèmes et peines sont lointains pour nous, et durant une grande partie de l'histoire, je n'ai pas réussi à m'accrocher aux personnages.
L'histoire en elle-même est très plaisante à suivre, malgré les quelques temps morts. Suivre l'évolution de ce monstre de magasin et la déchéance des petits commerces est assez triste, sachant que cela s'est réellement passé. Les parties concentrées sur les bourgeoises m'ont bien fait rire, tant elles sont pathétiques, avec leurs pulsions d'achats irrépressibles, leurs désirs de beauté et leurs pensées n'étant que faites de dentelles, de chapeaux et d'ombrelles. Bien que, à côté de la misère dans laquelle tombent l'oncle Baudu ou Bourras, cela paraît juste pitoyable.
Voilà l'un des points les plus forts de ce roman, qui m'a beaucoup intéressée : les différents points de vue que Zola nous offre. D'un côté, nous avons la pauvreté et de l'autre la richesse ; les grands commerces et les petits ; le luxe et la décadence. Ces deux notions étant encore plus frappantes, présentées ainsi, en alterné.
Et puis, outre l'écriture de Zola, ces personnages criants de vérité, ces descriptions d'une page, ces figures de style de style et autres...Il y a Denise et Octave. Et honnêtement, j'ai adoré leur histoire.
J'ai ressenti toute l'angoisse et la déception d'Octave vis-à-vis de Denise, et toute la retenue et la peur de Denise à propos d'Octave. Qu'il est drôle de voir Octave totalement démuni, éperdu face à cette « petite fille », après nous l'avoir présenté durant des centaines de pages comme un ambitieux né, un riche à en devenir et un bourreau des coeurs. Denise a suscité ma sympathie dès les premières pages, avec son coté effacé. Elle n'est pas sublime, elle n'est pas non plus riche et c'est ce qui la rend encore plus proche du lecteur. Elle transpire d'humanité. Leurs échanges sont remplis de douceur et de tendresse. Je n'y étais pas du tout habituée mais j'ai vraiment beaucoup apprécié cette pudeur. Je suis alors évidemment ravie de cette fin !
Ce fut un grand plaisir de lire ce roman incontournable de la littérature française et de découvrir Zola par la même occasion, j'en ressors avec plein de belles phrases dans la tête.
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« Au Bonheur des Dames » est un classique de la littérature publié en 1883. Il fait partie de la saga « Les Rougon-Macquart ». Découvert, il y a une trentaine d'années, j'ai eu envie de profiter des vacances pour le relire.
Nous sommes au début de la 3e République et des grands travaux qui ont transformé la capitale. C'est l'arrivée des grands magasins où l'on trouve de tout. Denise Baudru, montée à Paris avec ses jeunes frères dont elle est responsable, cherche du travail. Alors que son oncle est propriétaire de sa boutique « Au vieil Elbeuf », il ne peut malheureusement l'engager, n'ayant pas de travail pour deux. Elle se fait alors embaucher au « Bonheur des Dames », un grand magasin de prêt-à-porter féminin situé juste en face.

Ce qui au départ la fait rêver (le choix et la diversité des articles, les quantités incroyables, la modernité de l'endroit, le travail en équipe…) la font bientôt déchanter. Elle découvre la cruauté et la jalousie des vendeuses qui la jugent sur son physique et son apparence modeste, la précarité de l'emploi… Se révélant une vendeuse formidable, elle est repérée par le directeur Octave Mouret et se voit confier de plus en plus de responsabilités. Mais elle repousse ses avances.
Le magasin prospère et se développe et en même temps, les commerces indépendants ferment les uns après les autres.

Ce roman est un réel témoignage du Paris du 19e siècle et de la condition sociale des vendeuses et ouvrières de l'époque. Logées dans des chambrettes sans chauffages dans les combles du magasin, mal nourries, maltraitées, elles ne disposent d'aucune sécurité d'emploi. Elles sont soumises à une terrible pression professionnelle, doivent supporter le droit de cuissage de certains petits chefs odieux, et si on les y autorise, elles ont la permission de se marier, elles ne peuvent tomber enceintes, sous peine de licenciement. Zola s'attarde aussi à décrire les bassesses des hommes du magasin, les intrigues, les luttes de pouvoir, la surveillance que chacun mène sur les autres et la domination qu'ils exercent sur les vendeuses.

Comme souvent, le roman grouille de personnages, d'intrigues, d'histoires sentimentales ou autres et il arrive que l'on s'y perde un peu. Je ne me suis pas attachée à ce côté, plus intéressée par la situation économique et sociale des protagonistes et l'Histoire de Paris.
Une belle relecture et un vrai plaisir littéraire.
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Entre histoire ennuyeuse et personnages inintéressants, j'admets avoir été franchement déçu par ce roman qui est pourtant un classique de la littérature.
Certains passages sont soporifiques et interminables, d'autres sont limite incompréhensibles.
Je suis désolée mais cette oeuvre signé Zola ne m'a pas convaincu le moins du monde, il fut même un calvaire à lire pour ma part.
Après, ce n'est que mon humble avis.
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Deuxième fois que j'ose pénétrer dans le monde de Zola. J'avais lu" La Terre "avec délectation et puis j'étais reparti vers d'autres contrées littéraires, loin de la fresque des Rougon-Macquart. Et l'autre jour, j'ai hérité de quelques livres d'une petite bibliothèque qui dépoussiérait ses rayons, dont une dizaine de bouquins de Zola...Le genre de titres qui me faisaient fuir à toutes jambes quand j'étais au collège. La seule vue de l'épaisseur de l'oeuvre m'angoissait terriblement.
Aujourd'hui, c'est le contraire! L'épaisseur du livre me garantit un plus long voyage, une immersion plus profonde, une plus grande joie en définitive.
Je me disait qu'au Bonheur des Dames était de circonstance en ce mois de décembre, mois de la fête de la consommation, où j'envisage toujours d'aller à Paris, Boulevard Haussemann, contempler aux milieux des autres badauds, les lumières des grands magasins. Je me disais bêtement qu'en lisant le Bonheur, j'allais visiter ces grands temples marchands de l'intérieur.
Bingo! C'est l'histoire de noël qu'un grand gamin comme moi attendait!
Outre l'analyse méticuleuse du monde du commerce parisien sous le second empire, la féérie est omniprésente. Bien entendu il y est aussi question de misère sociale, de lutte des classes, de monstruosité d'une mécanique capitaliste insatiable, de passion, de destruction, de mort, du tragique de la condition humaine. Mais finalement, on reste à s'attarder comme un gosse, devant l'édifice triomphant, la prouesse architecturale, le rêve d'un visionnaire, qui resplendit toujours plus à mesure qu'il enfle et phagocyte le paysage urbain alentour.
Finalement je ne suis pas allé à Paris participer au bain de foule annuel. Je suis resté dans ma tanière, au milieu de mes bouquins en regrettant un peu d'avoir tourné la dernière page du Bonheur des Dames. Mais qu'à cela ne tienne, déjà La Bête Humaine me fait de l'oeil, à moins que ce ne soit l'Assommoir...J'hésite.
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À Paris, le patron de l'un des premiers grands magasins, dévoré par la cupidité et qui cherche sans relâche à tuer le petit commerce, voit sa vie basculer à cause de son amour pour une nouvelle employée, une jeune provinciale, pauvre et sans attraits manifestes, dont le coeur pur résiste à ses propositions vénales, alors qu'elle l'aime en retour et sans qu'il le sache. Un beau sujet, social et sentimental, doublé d'une critique sévère d'un consumérisme naissant. Avec une morale: dans un monde impitoyable dominé par les hommes et leurs appétits égoïstes, c'est des femmes qu'il faut attendre plus de justice.

Au Bonheur des Dames raconte une histoire simple et cousue de fil blanc. Les situations, amenées rapidement, et leur évolution brusque, sans surprise, semblent avant tout servir le propos et les démonstrations d'un Zola impatient, pressé de faire la preuve: elles ne vivent pas assez par elles-mêmes. Il y a quelque chose d'un peu facile et artificiel dans ce texte alors avant tout au service de ses thèses. D'autre part, des personnages on a comme le goût sans en avoir l'âme, ils évoquent un peu trop des mannequins exposés en vitrine pour faire avantageusement l'article.

Cette lecture m'a donné le sentiment que Zola a pris ses lecteurs pour des gens un peu lent d'esprit et à qui il faut faire un très "long" dessin schématique… Et puis, combien de descriptions à la poésie tape à l'oeil, commune, scolaire: "Le soleil couchant jaunissait le faîte des maisons blanches, le ciel bleu de cette belle journée pâlissait, rafraîchi d'un grand souffle pur, tandis que dans le crépuscule qui noyait déjà la chaussée, etc."! On frôle souvent le feuilleton (un genre qui, par ailleurs, se respecte, mais il faut choisir).

Un classique, mais pas un grand texte. Compte tenu des modestes moyens que Zola s'est donnés, je dirais que son idée aurait sans doute fait une bien meilleure nouvelle.


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A lire comme un roman et comme un reportage historique sur la naissance dela société de consommationUn grand classique d'un grand écrivain que l'on relit avec plaisir. N'y retrouve-t-on pas notre monde moderne avec ses chefs tout puissants qui écrasent les petits, la convoitise, les jalousies, les médisances, etc. Et au milieu de tout cela, de belles descriptions qui vous entraîne dans un tourbillonTrès intéressant de découvrir à travers ce livre la naissance du marketing et du commerce de masse à la fin du XIXe siècle
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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« Denise était venue à pied de la Gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. ».

Fraîchement débarquée à Paris, 2 jeunes frères à charge, Denise Baudu trouve un poste dans le grand magasin dirigé par Octave Mouret, le Bonheur des Dames.

Je ne vais pas vous parler du style réaliste et précis de Zola, ni du fait qu'il était très précurseur. Vous l'avez déjà lu mille fois.

Je vais plutôt vous parler de quelque chose qui m'a choquée : l'instrumentalisation de la femme dans le capitalisme. Dès 1883, en fin observateur de son époque et de ses évolutions, Zola décrit les femmes comme des consommatrices frénétiques, frivoles, voire écervelées. Elles ne peuvent pas se réfréner face une paire de gant en réduction, et ça les hommes, directeurs de magasins, l'ont bien compris ! Même si elles sont au coeur du roman et que Zola dépeint une Denise forte, bonne petite mère (elle aide ses frères coûte que coûte), employée modèle (elle va se battre pour que les conditions de vie des employés soient améliorées) et femme fatale (Octave Mouret en tombe follement amoureux), les femmes ne sont que les marionnettes des hommes. le bonheur des dames remplit le porte-monnaie de ces messieurs !

Presque 150 plus tard, nous sommes toujours la cible d'un marketing masculin. Qu'est-ce que cela trahit de notre société et de la considération de la femme ? Si les femmes ont depuis quelques années commencer à ouvrir les yeux sur cette domination patriarcale, il est nécessaire qu'elles soient unies et solidaires dans cette lutte afin d'être traitées sur un pied d'égalité avec les hommes !

Encore un classique terriblement moderne !
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Un grand Zola. Encore, dans ce Paris du Second Empire en pleine ébullition. On suit l'aventure des premiers grands magasins, et la lutte désespérée du petit commerce. Écrit il y a plus de 150 ans, on est surpris par la modernité de certains sujets, tout en découvrant avec plaisir les balbutiements de la société de consommation et du capitalisme bourgeois.

Alors certes les descriptions à rallonge, parfois redoublées, ont fait leur temps. Mais il reste le plaisir de suivre la jeune Denise, un peu cliché, dans sa découverte. Sur la fin, on se rappelle le Bel-Ami de Maupassant.
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Nous nous trouvons face à un des romans majeurs de Zola. L'auteur décrit ici avec une précision et une justesse stupéfiantes, la révolution commerciale qu'ont constituée la création et le développement des grands magasins parisiens, vers la fin du XIX° siècle. le succès de ces opérations passait par deux chemins: l'écrasement des petits commerçants, et la séduction des clients (en fait, des clientes), par une offre abondante, la guerre des prix, des outils de séductions multiples, l'attrait de la nouveauté, et la fascination du gigantisme. La connaissance et la compréhension de ces phénomènes par Zola est tout à fait surprenante, et conduit à des pages extraordinaires de précision, où il nous entraîne avec brio dans ce fol univers.
La détresse des petits commerçants, étranglés par le monstre, est un des ressorts de l'histoire. Denise, modeste provinciale apparentée avec l'un d'eux, va être tiraillée entre la solidarité avec son milieu d'origine, et le besoin de travailler, c'est-à-dire la quasi obligation de s'affilier au géant moderne, destructeur et triomphant. S'ajoutera une histoire d'amour tourmentée, qui se dénouera...à la dernière page.
On reste stupéfait du talent de l'auteur: maîtrise du sujet, écriture riche, colorée, précise, sans égal.
Livre à ajouter aux autres grandes lectures fascinantes de Zola: La Bête humaine, l'Assommoir,...
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