Les Rougon-Macquart, tome 11 : Au bonheur des dames

j'ai lu le résumer de ce livre, j'ai lu les critiques, et j'ai eu des avis sur celui-ci de mes amis qui m'amène à penser que c'est un classique et un livre que je dois lire.

Passionnant, tragique, très juste sur le plan psychologique et sociétal, visionnaire sur le sujet du grand commerce. Pas tout à fait 4 étoiles car pas mal de longueurs, des pages et des pages sur l'organisation des magasins de tissus et sur l'agitation des clientes qui farfouillent (nouveau à l'époque mais trop connu maintenant). Mais Zola reste remarquable car non manichéen et encore non engagé, ambigu comme la vie.

Nous retrouvons Zola, fidèle à lui même dans son écriture, mettant en évidence la vanité des femmes à l'aide de grande description comme il aime (moi un peu moins). Encore le genre de roman qui passe a travers les âges sans prendre une ride !

le Second Empire vise à faire de Paris la capitale de la mode et du luxe.
J ' ai tout simplement aimé, trop de description sur les rayonnages.
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Ce n'est donc pas un coup de coeur mais une belle lecture, enrichissante et surprenante, que je suis contente d'avoir faite, les classiques et moi, on faisait un break depuis la fin de mon Master et il se peut qu'on se soit réconciliés sur l'oreiller !

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Ce n'est pas forcément un roman qui m'a plu, il est sympa mais la mode, ce n'est pas quelque chose qui m'attire et l'histoire d'amour n'est pas vraiment intense. C'est plutôt tous les dessous de la grande distribution qui sont sympas à découvrir.
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Mon Zola préféré au delà de la critique d'une époque et l'étude du nouveau commerce, on se bat avec l'héroïne et on partage ses souffrances. Il est vrai que le happy end est vraiment très naïf mais quand on connait le personnage de Mouret on ne s'y oppose pas!.