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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Zola Emile
Le 19 des Rougon Macquart
La débâcle
C'est le second empire, la perversion, le mal, et de l'autre la grande misère ouvrière. Il y a aussi la défaite face aux Prussiens.
Il met en scène deux des personnages : Jean Macquart, que l'on voyait dans La Terre et Maurice Levasseur qui rêve de révolution. Ils vont se retrouver dans des camps différents lors des semaines de la Communes et Jean tuera Maurice . il pense épouser la soeur de Maurice, mais y renonce et part s'installer en Provence.
Mais ce livre permet à Zola de tracer un portrait peu flatteur des dirigeants au pouvoir et de sa quasi certitude que c'est eux qui ont poussé le pays au conflit.
C'est une belle chronique historique de l'époque, presque un livre d'histoire. Sur la défaite du pouvoir, ses abominations, ses délires, ses déviances. Et fatalement les morts et la misère qui s'en suit.
Inutile ici de retracer toutes ces batailles, tous ces meurtres et toute cette détresse humaine.
Laissons le lecteur se faire sa propre opinion. Pour ma part, les choses ne changent pas tellement…..

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La Débâcle, 19ème tome des Rougon-Macquart, est le seul roman de Zola sur la guerre. L'auteur s'est attaché à décrire avec exactitude tous les moments de vie du soldat : marche éprouvante vers les lieux de bataille, l'attente de celle-ci, la bataille en elle-même, mais aussi le fat d'être prisonnier ou de mourir. Oui, aucun aspect n'est oublié, même celui de la population qui essaye de comprendre ce qui se passe est retranscrit. A certains moments, le soldat est peut-être finalement rattrapé par son instinct d'animal : tout ce qu'il veut c'est manger et survivre et tant pis pour les autres.

Dans les moments les plus noir, Jean et Maurice se lient d'amitié, veillant l'un sur l'autre. Mais ils vont être séparés lors de la Commune de Paris dans les 100 dernières pages. Maurice, instruit, est révolté contre le pouvoir mis en place et veut un renouveau, tout le contraire de Jean, restant fidèle à ses croyances.

Malgré l'épaisseur du roman, La Débâcle est un des meilleurs romans de la série. Outre l'utilisation de l'Histoire pour expliquer la chute du 2nd empire, le récit de Zola est juste et sans fausse notes. Il montre bien une France orgueilleuse qui veut absolument gagner, mais aussi qui peut se relever des multiples blessures qu'on lui inflige.

A lire !
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19ème roman des « Rougon-Macquart » .Point final historique de la saga puisqu'il décrit la chute de Second Empire après Sedan , puis la Commune de Paris. le héros ,Jean Macquart (celui de « La Terre ») l'un des rares de la lignée exempt de tare se retrouve à l'armée lors de la confrontation franco-prussienne . C'est une dénonciation implacable du régime, mais surtout de la guerre .

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Emile Zola - La Débâcle - 1892 : On n'évoque jamais la débâcle quand on parle des livres sur la guerre qui ont compté dans l'histoire de la littérature. Pourtant c'est un des plus poignant écrit sur le sujet. Fort de sa fibre naturaliste Zola décrivait avec un réalisme cru les misères des soldats épuisés par les marches et les contremarches, affamés par le manque de ravitaillement et démoralisés par les inepties d'un commandement complètement dépassé par la situation. Il n'excluait pas non plus les souffrances des civils témoins des destructions et de l'humiliation d'un pays foulée au pied par un ennemi trop fort. le courage inutile des soldats français dans des batailles perdues d'avance sonnait le glas d'un empire en complète décrépitude à l'image de Napoléon III qu'on croisait au fil des pages ravagé par la maladie et le désespoir. L'écrivain au plus près du récit historique trempait ses personnages dans les épisodes mythiques d'un conflit qui ne rapporta que peu de gloire à une armée totalement déboussolée par l'incurie de ses chefs. Pourtant malgré la situation désespérée des héros anonymes firent le coup de feu jusqu'à la mort dans des épisodes restés célèbres comme à Bazeilles dans la maison des balles ou en participant à la charge insensée de la division Marguerite sur les lignes de défenses prussiennes. En effet ces cinq milles cavaliers lancés sabres au clair firent preuve d'une telle furia que l'empereur allemand présent sur les lieux ne pu s'empêcher de s'écrier «Ah les braves gens !!». Outre les morts, ce déchaînement de violence engendra un nombre de blessés effrayant qui subirent dans leur chair mille tourments liés à une situation sanitaire catastrophique. Zola pouvait laisser libre cours à son emphase en dépeignant les éclopés, les fiévreux et les agonisants rendus fous par la peur de mourir et la douleur. Ce livre n'était pas qu'un compte rendu asymétrique des évènements qui pendant quelques semaines enflammèrent les Ardennes et la Lorraine, c'était aussi à cause ou malgré les combats une belle histoire d'amitié entre Jean le paysan raisonnable et Maurice le citadin révolté. Ces deux-là après des débuts difficiles se donnaient l'un à l'autre comme des frères avant de laver ce lien dans le fracas terrible de la commune de Paris. Dans une coïncidence fortuite comme seuls les romanciers de l'époque pouvaient se le permettre, Jean passé dans l'armée Versaillaise transperçait de sa baïonnette Maurice qui continuait sa lutte contre l'ordre établi au côté des insurgés. Aucun apaisement ne venait donc pour eux de la fin d'un conflit qui les privait chacun de l'essentiel, l'un de la vie et l'autre de l'amour. Car Henriette la soeur du jeune sacrifié qui devait donner son corps et son âme à l'ami parfait s'éloignait dans un veuvage décidé qui excluait le meurtrier de son frère. Ce livre en même temps que la déchéance de l'empire signait la fin des Rougon-Marquart en tant que dynastie. Eux qui s'étaient élevés à la suite de cette nouvelle élite retournaient dans l'anonymat du peuple et dans des vies sans éclats… un ouvrage magnifique et terrible
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Petite mise au point préalable:
- les récits de guerre , les longues explications stratégiques m'ennuient au plus haut point.
-même dans Les Misérables, relu trois fois,  l' interminable évocation de la bataille de Waterloo  a sur moi un effet soporifique garanti.
-je croyais naïvement que La Débâcle parlait de ma chère Commune de Paris: seule la semaine sanglante sert de théâtre tragique à sa conclusion.

Que diable allais-je donc faire dans cette Débâcle où les armées françaises s'enlisent dans l'hésitation, les revirements, les ordres et les contre- ordres avant de se faire piler vilainement à Sedan, puis trimballer, affamer, essorer de camp en camp , tandis que, dans la ville, des ambulances de campagne se transforment en boucheries, sans pansement, sans morphine, sans médecins -sang, sang, sang, par contre, beaucoup de sang- , et que les chevaux de cavalerie, démontés, débandés, déchaînés deviennent des hordes cannibales qui ravagent, mordent et tuent, rendues folles par la peur, l'abandon et la faim?

Eh bien la réponse est déjà dans ma question, laquelle  s'est laissé emporter,  malgré toutes les préventions évoquées plus haut,   par l'extraordinaire puissance de cette chronique en rouge et noir d'une défaite annoncée.

La Débâcle,  je l'avoue, oui, j'ai kiffé grave!

Dans ce maelstrom d'armées en déroute,  de soldats perdus, de généraux incompétents et sans fesse -Mac-Mahon, ce sinistre guignol, a perdu la sienne dans la bagarre!- sous le regard aussi navré qu'impuissant d'un Napoléon III quasi moribond, ridiculement escorté, sur le champ de bataille, par la cohorte rutilante  de ses bagages  et tout a fait dépassé par les événements , se déroule le grand rouleau compresseur de la défaite, de la chute et  de la honte. "Cinquante ans avaient suffi,  le monde était changé,  la défaite s'abattait, effroyable, sur les éternels vainqueurs. " rappelle,  cruellement , Zola.

Pour donner une échelle humaine susceptible de mesurer l'ampleur de ce désastre, deux personnages: le paysan et le lettré,  le terrien et le bourgeois, le conservateur et le révolutionnaire -en tout cas deux ennemis de classe-  Jean Macquard et Maurice Levasseur, d'abord hostiles l'un à l'autre, vont, au gré des périls et des péripéties, se rapprocher, devenir plus que des frères d'armes: des frères tout court!

Quelques personnages secondaires , éparpillés comme des santons sur l'échiquier guerrier permettent à Zola, au prix de quelques coïncidences un peu forcées, d'avoir le don d'ubiquité qui donne chair, sang et perspectives à ce récit formidablement mené. 

Les rythmes lents, les mouvements confus du début , deviennent  cavalcades véhémentes, charges furieuses, débandade éperdue, sous l'entropie dévastatrice de la débâcle. La guerre fait aussi son tri parmi les hommes et les femmes, distinguant les héros et les lâches, les victimes et les traîtres, les profiteurs et les purs, les assassins et les sauveurs.

C'est le grand révélateur de l'âme humaine.

Et, quittant Sedan où nous n'avons que trop piétiné, c'est un  Paris exsangue, cerné par Prussiens et Versaillais, une  Commune mise à feu et à sang, qui prête sa scène tragique aux  retrouvailles de Jean et Maurice, les deux amis...

Je n'en dirai pas plus! Laissez-vous emporter par la Débâcle. ..

Du grand Zola !
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Pour une fois chez Zola, je trouve que la documentation accumulée par l'auteur (les noms des villages, la topographie, les dates des évènements, les mouvements de troupes, les noms des généraux, les noms et les numéros des corps d'armée, des divisions, des régiments…) étouffe par moments la fiction. Cependant, les descriptions minutieuses de la composition des batteries et du fonctionnement de chaque arme (infanterie, cavalerie, artillerie…) s'avèrent des plus passionnantes. Le destin des personnages fictifs ou, et c'est l'originalité ici, historiques, est comme toujours chez Zola émouvant. Si au début, je me suis un peu retrouvé dans la position des soldats français : c'est-à-dire dans l'attente d'action ; dès que l'enfer des combats commence, impossible pour moi de quitter le livre. D'autant que Zola tire à boulets rouges (c'est le cas de le dire) sur l'armée française, loin de son ancienne gloire (notamment de la Grande Armée de Napoléon 1er). La comparaison avec l'armée allemande ne joue vraiment pas en notre faveur. Les passages sanglants sur les atrocités des champs de bataille sont de plus en plus nombreux au fil du récit. Le chapitre six de la deuxième partie du roman qui décrit en détail les horreurs de l'ambulance avec ses blessés à soigner m'a particulièrement marqué (descriptions crues des blessures, amputations, charnier…). Même la bataille de Sedan terminée, les détails macabres continuent comme ces soldats semblant de loin festoyer autour d'une table mais en réalité cadavres atrocement mutilés, probablement ramassés et disposés ainsi par les Prussiens « par moquerie de la vieille gaieté française ». L'auteur évoque la terre infestée par les morts vite enterrés ou La Meuse empoisonnée pour longtemps par les corps gonflés des chevaux et des hommes en putréfaction. Puis vient l'horreur de la captivité des soldats français sur la presqu'île d'Iges (faim, maladies, cruautés et humiliations), suivie du siège de Paris et de la Commune (l'incendie de la capitale, les exécutions arbitraires…) jusqu'à la magnifique conclusion de Zola à la fois douloureuse, fataliste, et pleine d'espoir.
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La Débâcle est un des romans les plus poignants écrits sur la guerre de 1870. Publié en 1892, vaste fresque historique et descriptive des atrocités de cette guerre franco-allemande un peu oubliée de nos jours en dépit de ses conséquences, récit documenté d'une défaite sidérante, il entraîne le lecteur dans le bourbier de Sedan.
On y retrouve Jean Macquart, personnage central du quinzième volume de la saga, "La Terre". Après la mort dramatique de sa femme, Jean s'est réengagé dans l'Armée française et il y fait la rencontre de Maurice Levasseur, un intellectuel idéaliste, rêveur de la révolution. C'est une amitié improbable, comme souvent dans la réunion de deux caractères antagonistes, mais la guerre est le chaudron où les différences peuvent s'estomper, où l'on s'étripe et où l'on se sauve la vie, dans un magma de sang et de boue, couverts de vermine, affamés et assoiffés.
Cette amitié connaîtra une fin tragique dans le chaos de la Commune de Paris, période insurrectionnelle de deux mois aboutissant à la Semaine sanglante de 1871, véritable guerre civile, qui verra également la destruction de nombreux édifices de Paris, principalement le château des Tuileries, dont l'achèvement, par sa réunion au Palais du Louvre par une longue galerie, fut donc de très courte durée (1860-1871, soit onze ans).
La défaite ahurissante des Français face aux Prussiens, dont les familles se trouvent souvent engagées face à face dans le conflit, reste incompréhensible pour ces soldats, dont beaucoup ont combattu aux côtés du Grand Napoléon. La Commune sera la réponse du peuple à Napoléon III, et la fin du Second Empire sera scellée à Sedan.
Au-delà des approches historiques et morales de l'oeuvre, l'écriture descriptive si particulière de Zola - qui ne craint pas la boucherie et donne à ressentir les moments de grâce ineffables qui se nichent en dépit de tout au milieu des pires drames : un chant d'oiseau, un paysan qui laboure sa terre à deux pas du champ de bataille, la joie d'une retrouvaille - emporte l'adhésion par l'émotion juste, pour l'humanité souffrante qui travaille à sa propre perte.
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"C'était la partie saine de la France, la raisonnable, la pondérée, la paysanne, celle qui était restée le plus près de la terre, qui supprimait la partie folle, exaspérée, gâtée par l'Empire, détraquée de rêveries et de jouissances ; (...) Désormais, le calvaire était monté jusqu'à la plus terrifiante des agonies, la nation crucifiée expiait ses fautes et allait renaître."

Zola, âpre mythologue, passe, avec La Débâcle, un ultime coup de serpillière sur l'Empire : il ne lui restera plus, "marchant à l'avenir, à la grande et rude besogne de toute une France à refaire" qu'à rincer le tout à grandes eaux lustrales (dans le Docteur Pascal).

Dans La Débâcle, qui, torrentueuse, court de la bataille de Froeschwiller-Woerth à la terrible agonie de la Commune de Paris, Zola fait oeuvre de journaliste, d'historien et de poète. Si les dernières pages sont consacrées à la Semaine sanglante, holocauste régénérateur d'un monde gangréné, dans les deux tiers du roman, ses personnages se croisent autour de Sedan où, en septembre 1870, après une terrible bataille, Napoléon III va capituler. .

Il y a d'abord Jean Macquart, paysan-soldat : après la mort de sa femme (dans La Terre), il a repris les armes et, forcément, les larmes. Il y a surtout Maurice Levasseur (veut la soeur), jeune bourgeois, qui, dans un premier temps va s'opposer à son supérieur, le caporal Jean, avant de nouer avec lui une histoire d'hommes que seules la guerre et sa cohorte de souffrances peuvent faire naître. Cet amour qui n'ose pas dire son nom est constamment bouleversant. De magnifiques silhouettes hantent ce décor de boue et de sang, Henriette, la sœur de Maurice, vaillante petite veuve de guerre, Silvine, la taiseuse, et son bâtard, rejeton involontaire d'un Prusco, le grandiose Bouroche, tout à la fois médecin militaire et équarrisseur, mais aussi, en filigrane, un fantôme en la personne de l'Empereur, ectoplasme tumoral à barbiche, dérisoire ombre de lui-même.

Tous ces personnages vont se croiser et se recroiser, permettant au lecteur, en multipliant les points de vue, d'être partout à la fois : sur le champ de bataille et à l'arrière, du côté des vivants comme de celui des morts, chez les francs-tireurs ou chez les collabos (déjà!), avec les héros mais aussi les salauds. La construction narrative est impressionnante ; à ce niveau, c'est un véritable chef d’œuvre.

En s'attachant aux petits et aux sans grade, Zola multiplie les morceaux de bravoure, se transformant en reporter de guerre : la marche éreintante des soldats tâchant d'obéir à des ordres contradictoires, la résistance farouche et glorieuse d'un artilleur au plus fort des combats, les amputations à la chaîne du chirurgien Bouroche, la mise à mort d'un espion prussien (Il est bien difficile de tuer un homme : on pense immédiatement à des exécutions cinématographiques : Paul, l'étranglé de "L'armée des ombres", Gromek dans Torn Curtain...) ou Paris en feu dans les derniers soubresauts de la "Semaine sanglante".

L'écrivain, in fine, abandonne son réalisme circonstancié pour une lecture mythique de la Commune qu'il voit comme le nadir de son époque, un feu purificateur qui détruit les miasmes de l'Empire. Ce n'est pas la meilleure partie du roman : le rythme s'accélère et la vérité s'estompe au profit du parti pris.

Ce "poème de l'épouvante et de la fatalité" (H. Céard), relation d'une guerre ancienne et oubliée, est "une leçon utile" voire indispensable aujourd'hui encore.
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Ce tome des Rougon-Macquart traite de la guerre, plus particulièrement la guerre Franco-Prussienne des années 1870 qui a mis fin au Second Empire. Zola raconte en détail la vie de soldats qui ont vécu l'humiliation de la défaite des troupes Française. On y voit dans les détails la difficile marche des soldats non entraînés face la machine bien huilée de la future Allemagne. Les descriptions de blessures, d'ambutation et de toute sortes de maladies et mutilations y sont mis bien en évidence par l'auteur. C'est définitivement le meilleur livre de guerre que j'ai eu la chance de lire. Tous les chefs d'état devraient lire ce livre avant d'envoyer nos pauvres soldat à des guerre inutiles.
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La Commune de Paris et le conflit franco-prussien sont rarement choisis pour thèmes en littérature, à l'exception De Maupassant qui y fait des références dans ses nouvelles, par exemple Boule de suif.
Cet épisode historique à longtemps été censuré et n'est pas étudié en détails au lycée ( à l'époque, vers 1990 mon professeur d'histoire nous avait expliqué que c'était par crainte d'un nouveau soulèvement populaire que la décision d'occulter cet épisode de l'histoire de France avait été prise. Je ne sais pas si aujourd'hui ce moment de l'histoire est étudié au lycée).
En tout cas Zola nous livre ici un véritable témoignage historique, doublé d'une histoire d'amour désespérée. En lisant ce livre on comprend mieux le Zola ecrivain engagé. Mon préféré de la série des Rougon-Macquart.
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