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EAN : 9782702165577
576 pages
Calmann-Lévy (06/03/2019)
3.67/5   75 notes
Résumé :
Il était une fois la merveilleusement loufoque
famille Dunbar...

Chez les Dunbar, on vit un joyeux bordel : sans parents, sans règles et entouré d'animaux.
Cinq frères dont le quotidien n'est que fourberies,
défis en tout genre, et coups de coeur.
Mais aujourd'hui, le père qui les a abandonné
revient avec une demande étrange :
Lequel de ses garçons acceptera de construire un pont avec lui ?
Tous s'indig... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
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Une fratrie (nombreuse) de 5 garçons de 13 à 20 ans totalement livrés à eux-mêmes, dont Mattew - l'aîné, le chef et le narrateur du roman - et Clay, 16 ans, le héros, le garçon au prénom d'argile ; des animaux (en pagaille) : un chat, un chien, un pigeon, un poisson rouge, des chevaux, et même un mulet - dans la cuisine ; un piano (au clavier peinturluré) ; un serpent (mort) ; Homère (l'Iliade et l'Odyssée) ; une vieille pince à linge (cachée au fond d'une poche) ; une mère (décédée) ; un père (en fuite) étrangement surnommé “l'Assassin” par ses enfants, et qui soudain réapparaît ; une machine à écrire (enterrée) ; de la tendresse (beaucoup) et de l'amour (encore plus) ; de la rancune, de la violence et de la haine pour mieux se protéger de la douleur et du chagrin (immenses) ; et, pour finir, un pont à construire... tels sont les ingrédients du dernier roman de Markus Zusak, “Le pont d'argile”.

J'avais beaucoup aimé ses deux précédents livres - “La voleuse de livres” et “Le Messager” - mais j'ai eu tout d'abord un peu de mal à entrer dans ce nouveau (gros) roman, me demandant pendant un bon bout de temps ce que je venais faire au sein de cette fratrie bagarreuse, débraillée et passablement loufoque. Et puis, après une centaine de pages, le charme a opéré et je me suis laissée totalement séduire et même captiver par cette histoire à plans multiples, terriblement attachante, parsemée d'indices et de brèches ouvertes sur l'avenir qui, ne prenant leur sens que par dévoilements successifs, titillent la curiosité du lecteur tout au long du récit - une histoire très habilement construite, comme un puzzle dont les pièces, l'air de rien, s'assemblent peu à peu jusqu'au dénouement final.

Avec "Le pont d'argile", Markus Zusak nous offre avec infiniment de tendresse un beau roman d'apprentissage sur le deuil et l'abandon autant que sur le passage à l'âge adulte et les difficultés à grandir au sein d'une famille détruite, et sur les épreuves à surmonter pour arriver à se construire - comme on construit un pont pour tenter de relier les pertes du passé aux possibles promesses de l'avenir. J'ai vraiment beaucoup aimé ces personnages extrêmement attachants et cette histoire pleine d'émotions et de drôlerie - ce genre d'histoires qui nous accompagne longtemps et que l'on n'oublie pas- servie par une écriture percutante qui sait allier l'humour à la poésie et qui sonne toujours juste.

Une très belle lecture, qui se mérite un peu au début mais qui en vaut vraiment la peine… et, sans hésitation, mon premier coup de coeur de l'année.

[Challenge Multi-Défis 2020]
[Challenge Pavés 2020]
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Puissant !
Quel plaisir de retrouver (enfin !) la plume de Markus Zusak ! Treize années ce sont écoulées depuis la parution de son dernier roman . Treize longues années d écriture pour donnner naissance à ce beau bébé : un roman magistral !
L histoire, pour commencer, est celle de cinq frères, cinq joyeux lurons ... oui, mais là n est que la façade car entre les murs de la maison se cache un passé tragique : une mère décédée et l abandon d un père ...
Cinq frères, donc, qui voient leur quotidien, au semblant « loufoque », basculer par l arrivée de l Assassin ... « l Assassin » ?! le surnom, plutôt « lugubre » je vous le concède, donné à leur père.
L histoire débute ainsi le père « Assassin » revient, non pour se repentir et expliquer ce départ, non il revient avec cette question : lequel de ces fils accepterait de l aider à contruire un pont ?
Voilà le début, nimbé de mystère, de l histoire ...
A noter aussi, que le recit est conté par l ainé de la fratrie. Donnant ainsi une dimenssion de roman dans le roman.
Revenons maintenant à cette plume. Une plume novatrice et poétique ! J avais découverts Zusak grâce à son exceptionnel roman « La voleuse de livre » et été frappée par cette plume unique en son genre, signature de l auteur et de son univers. Car oui, Markus Zusak transporte le lecteur dans son univers et ce par cette prose inédite. Intelligence aussi dans la construction de ses romans.
Ainsi, lire « Le pont d Argile » c est aussi apprecier la structure du roman. Peu à peu, comme les pièces d un puzzle, les chapitres courts s imbriquent savamment et donnent corps à l histoire qui se dévoile ... Quel talent !
Pour conclure, une magnifique histoire, une plume tout à la fois sensible et audacieuse et surtout une réflexion poussée sur les liens familiaux et ces secrets insidieux qui empêchent de grandir ... la reconstruction ou plutôt la construction de soi ...
Du grand « Markus Zusak » !
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❤️❤️❤️

Au commencement étaient un assassin, un mulet et un garçon… Mais ceci n'est pas vraiment le commencement…

Ainsi débute notre histoire. Des cinq garçons Dunbar, j'en suis l'ainé, Matthew, celui que les circonstances de la vie ont désigné pour en être votre narrateur.

Je suis là, devant vous, en train de frapper mes doigts sur la vieille MAE, cette machine à écrire exhumée dessous la terre où elle gisait aux côtés d'une chienne et d'un serpent... Étrange histoire, me direz-vous ?

Je vous l'accorde, elle n'est pas banale mais vous le découvrirez bien assez tôt.

Je vous parlerai de nos délires, de nos amitiés, de nos foulées allongées sur la piste de course, de nos coups de poings, de nos bleus au corps, à l'âme et au coeur…

Je vous parlerai des femmes de nos vies, de peintures, d'un piano, du tailleur de pierre, d'un prénom qui s'écrit dans les miettes d'un pain grillé, de ces taches de rousseur dans le feu orangé du jour qui se lève…

Je vous parlerai d'Archer Street, où nous vivions, d'un briquet et d'une pince à linge, d'un matelas en feu, de casaques noires et or et de Matador dans la 5e…

Je vous parlerai de Mamzelle fausse note, de Mademoiselle Simpson, d'Homère (l'autre, celui de l'Iliade et de l'Odyssée). Je vous parlerai de Rose la chienne, d'un chat prénommé Hector, d'un oiseau au nom de Télémaque, du poisson Agamemnon et d'un mulet qui s'appelait Achille… Cette joyeuse famille gravitant autour de nos cinq âmes, comme un palliatif à l'absence. A ces absences qui nous assassinent et nous hantent…

Je vous parlerai de la maladie dans ses blancs, de la mort dans ses ombres et de la vie dans ses courants d'air et dans les flots de la rivière…

Et puis je vous parlerai de Lui… de ce garçon là-haut, sur le toit… de ses silences, de ses étoiles, de sa bonté, de l'essentiel qu'il représente, de ce pont d'argile qu'il tissera entre nous tous… Clay, mon frère…

A la fin étaient une rivière, un pont et un mulet… Mais ceci n'est pas vraiment la fin…

❤️🐶🐱🐠🐦🐴

Après La voleuse de livres, ce nouveau roman de Markus Zusak est mon second coup de ❤️ avec l'auteur, 750 pages dévorées à la vitesse d'un pur-sang lancé au galop !

Markus Zusak, par l'entremise de Matthew, son narrateur, entre en communication avec ses lecteurs et maîtrise l'art du teasing… Les chapitres, aux titres dignes d'un film de Tarantino, se succèdent, se mêlent, s'entrechoquent et nous font voyager au gré des générations et de l'histoire de la famille Dunbar.

Sur sa quatrième de couverture, ce livre est comparé à Et au milieu coule une rivière et à Légendes d'automne… Oui, bien évidemment mais j'y ai aussi vu du Amélie Poulain et du En attendant Bojangles à travers ses pages. On y sourit et on y pleure, on y respire et on y suffoque, on y danse et on y vibre pour cette famille excentrique, pour les liens qui se sont défaits et ceux qui se noueront encore… Un livre sur l'absence, la maladie, la mort, les liens père-fils, l'amitié, l'amour… Pour tous les déglingués du ciboulot qui aiment les histoires bouleversantes ! Superbe !

Merci à Céline pour me l'avoir conseillé après ma lecture de la voleuse de livres
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Le Pont d'argile est un livre qui se mérite, qui ne se dévoile qu'au lecteur obstiné, à celui ou celle qui sait lire entre les lignes et se laisse imprégner par les personnages.
Car ce qui nous est conté là, c'est l'histoire d'une famille en souffrance, d'un amour fissuré, disloqué dont il faudra tenter de recoller les morceaux.
Cinq garçons livrés à eux-mêmes après le décès de leur mère et la fuite de leur père.
Cinq hommes en construction, à la recherche d'une identité commune, d'un avenir possible.
Une fraterie en pagaille où l'amour se décline à coup de poings, en courses folles, en affrontements, mais qui tremble lorsque l'un d'entre eux manque à l'appel.

C'est sous la plume de Matthew, l'aîné, que la profondeur du drame se révèle peu à peu.
De chapitre en chapitre, on devine que tout n'a pas été dit et c'est Clay, le quatrième fils, le plus taiseux de tous, qui s'avère être le dépositaire du lien familial, le bâtisseur du pont de la réconciliation, celui autour duquel tout s'articule.

Le style de Markus Zusak est ici un peu déroutant et j'avoue avoir été tentée d'abandonner dans les cent premières pages tant elles étaient confuses.
Des phrases énigmatiques et des aller-retour entre différentes périodes demandent un effort de concentration, mais une fois entrés dans le sujet, on ne parvient plus à lacher le livre.
C'est une histoire vraiment très poignante et douloureuse et, en même temps, pleine de vie.
La fin est particulièrement émouvante et si je m'en tiens à quatre étoiles, c'est parce que j'avoue avoir été lassée par les quelques pages consacrées aux courses hippiques.
Courses hippiques qui ont pourtant toute leur importance dans le récit.

Merci à David, pour lequel ce roman était un coup de coeur, de me l'avoir fait découvrir !
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Un roman surprenant, une belle découverte et de vraies émotions en prime ! Je n'ai pas lu le précédent roman de Markus Zusak, intitulé La Voleuse de livres, dont le succès fut planétaire. Voilà l'histoire des cinq frères Dunbar (Matthew, Rory, Henry, Clayton, Thomas, du plus vieux au plus jeune) ; leur mère est morte et leur père a fui. Ils vivent sans adultes (Matthew a dix-huit ans), chahutent beaucoup, se disputent encore plus, se battent fréquemment et s'aiment infiniment. Leurs animaux domestiques portent des noms issus de L'Iliade que leur mère Pénélope leur lisait souvent. Mais l'Assassin revient et leur vie va changer...
***
Le Pont d'argile débute par quelques pages titrées « avant le commencement : La Vieille MAE ». Je suis donc allée voir à la fin du roman et, forcément, il finit par quelques pages titrées « après la fin : La Vieille MAE, revisitée »… MAE pour « machine à écrire » et cela prend toute son importance dans la structure narrative choisie par l'auteur. Matthew, l'aîné des cinq frères Dunbar, se présente comme le narrateur et commence par la fin, 11 ans après les événements principaux que je ne veux pas raconter ici. Donc Matthew, marié et père de famille au moment où il écrit, a récupéré dans des circonstances très inhabituelles une vieille machine à écrire sur laquelle il va taper ce que les protagonistes de cette histoire lui ont raconté directement et ce qu'il en a appris indirectement. MAE, c'est le moyen que l'auteur a choisi pour que l'on n'oublie jamais que Matthew est le narrateur. Ce choix est renforcé par un procédé typographique qui agit comme un rappel : le titre et le ou les premiers mots de chaque chapitre sont écrits dans une police de caractère qui imite celle des vieilles machines. Et ce n'est pas inutile : Matthew s'efface tellement au cours de la narration qu'on a tendance à oublier qu'il rapporte ce qu'on lui a raconté, pas seulement ce qu'il a vécu...
***
J'ai beaucoup aimé ce formidable pavé (572 pages), sorte de roman d'apprentissage pour les cinq frères – on suit surtout Clay – dans lequel la mise en abyme (dans le roman, Matthew écrit leur histoire) et une forme de narration différée donne un étrange sentiment de décalage au lecteur. Il ne s'agit pas seulement de retours en arrière : Markus Zusak réussit à susciter une formidable empathie envers ses personnages parce que le lecteur en sait souvent plus qu'eux. Il connaît parfois leur avenir et souffre à l'avance pour ce qui va leur arriver, effet renforcé par les adresses au lecteur : « Alors, je vous en supplie, souvenez-vous-en », procédé nécessaire puisque l'explication peut venir longtemps après. Le roman développe les thèmes de la perte (le deuil, mais pas seulement), de la rédemption, du pardon et de l'amour sous différentes formes. J'ai beaucoup aimé l'écriture, parfois très proche de l'oral, parfois lyrique, mais jamais banale, même si certains procédés reviennent trop fréquemment à mon goût. Bref, j'ai demandé La Voleuse de livres à la bibliothèque…
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
22 juillet 2019
Ce roman d’apprentissage est peut-être un peu dur à suivre au début, mais, au final, l’effort en vaut largement la peine.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
- Hé, Tommy, c est quoi ce binz ?
- Comment ?
- Comment ça, « comment » ! Tu te fiches de moi ? Y a un âne dans le jardin.
- C est pas un âne, c est un mulet.
- Quelle différence ça fait ?
- Un âne c est un âne, un mulet c est le croisement entre ...
- Je me fiche de savoir si c est le croisement entre un quarter horse et un poney Shetland ! Qu est ce qu il fout sous l étendoir à linge ?
- Il mange l herbe.
- Ca, je le vois !
... nous l avons, finalement, gardé.
Ou, pour être plus précis, le mulet est resté.
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Quand d autres enfants s endormaient en écoutant des histoires de chiots, de chatons et de poneys, Pénélope grandit avec Achille aux pieds légers, l Ingénieux Ulysse ainsi que les noms et surnoms de tous les autres.
Il y avait Zeus, l assembleur de nuées.
Aphrodite, qui aime les sourires.
Son homonyme : la patiente Pénélope.
Le fils de Pénélope et d Ulysse : le prudent Télémaque.
Et toujours un de ceux qu elle préférait :
Agamemnon, roi des hommes.
Souvent, le soir, avant de dormir, elle se laissait porter par les images d Homère et leurs nombreuses répétitions. (...) La voix de son père lui parvenait par vagues de plus en plus petites jusqu au moment où, enfin, elle s endormait.
Les Troyens reviendraient le lendemain soir.
Les Achéens aux si longs cheveux mettraient, et mettraient encore, leurs bateaux à la mer et, de nouveau, l emmèneraient avec eux.
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Pour l assassin , ce fut une maigre consolation que de trouver toute la bande dans la salon - groupe auquel nous faisons souvent référence sous l expression : animaux de compagnie merdiques de Tommy. Sans parler de leurs noms. D aucuns les diraient sublimes, d autres ridicules. Il vit tout d abord le poisson rouge. (...)
Ses écailles, un plumage.
Sa queue, un râteau mordoré.
AGAMEMNON.
Un adhésif en lambeaux collé le long du bord inférieur, sur lequel était écrites au feutre vert de grosses lettres enfantines, le présentait à la ronde. Ainsi, l Assassin connu son nom.
Ensuite, sur le vieux canapé défoncé, entre la télécommande et une chaussette sale, dormait un gros chat bien bestial - pelage tigré, pattes noires géantes et queue en point d exclamation - qui répondait au nom d Hector.
Pour finir, sur la bibliothèque, trônait, longue et grande, une cage à oiseaux.
Dedans, un pigeon patientait, l air grave mais heureux.
Ces jours-ci, nous l appelions Télé.
Ou T.
Mais jamais, en aucune circonstance, par son nom complet qui le faisait voir rouge :
Télémaque. (...)
Ça semblait se résumer à ça :
Un chat, un oiseau, un poisson rouge, un assassin.
Et le mulet, bien sûr, dans la cuisine.
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" de tous les assassins du monde, il était, franchement, le plus pitoyable. Avec son mètre soixante-dix-sept, il était de taille moyenne. Avec ses soixante-quinze kilos, de poids normal.
Mais ne vous méprenez pas _ il était une terre vaine en costume ; il était voûté, il était brisé. Il prenait appui sur l'air comme s'il attendait que celui-ci l'achève, sauf que non, pas ce jour-là, pas ça, car, tout à coup, le moment paru mal choisi pour les assassins obtiennent des passe-droits. »
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Je suis sûr qu il vous est déjà arrivé de rencontrer certaines personnes en ce monde, de les entendre raconter qu elle avaient joué de malchance et de vous demander ce qu elles avaient bien pu faire pour mériter ça.
Notre mère, Penny Dunbar, comptait parmi elles.
Mais attention, jamais elle ne se serait plainte d être le jouet de la malchance ; elle aurait coincée une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille et affirmé n avoir aucun regret - avoir gagné bien plus qu elle n avait perdu et, dans l ensemble, je lui donne raison. Il n empêche que la malchance a toujours trouvé le moyen de remonter jusqu à elle, surtout à diverses étapes de sa vie :
Sa mère mourant en couche.
Elle, se cassant le nez la veille de son mariage.
Et puis, bien sûr, la mort.
Sa mort valait le déplacement.
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Vidéo de Markus Zusak
Critique de « La voleuse de livres » par Lisa - Booktube ."La Voleuse de livres" de Markus Zusak, par Lisa. A l'occasion du Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis à Montreuil, des participants enthousiastes âgés de 11 à 20 ans ont enregistré une critique littéraire vidéo pour défendre leur livre coup de coeur. Rendez-vous sur http://www.lecteurs.com/article/concours-booktube-power-a-vous-de-voter/2442840 pour découvrir toutes les vidéos ! Visitez le site : http://www.lecteurs.com/ Suivez lecteurs.com sur les réseaux sociaux : Facebook : https://www.facebook.com/orange.lecteurs/ Twitter : https://twitter.com/OrangeLecteurs Instagram : https://www.instagram.com/lecteurs_com/ Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCWQQ-VlGEFs22XKdO15tQCg/videos Dailymotion : http://www.dailymotion.com/OrangeLecteurs
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