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Citations de Alfred (83)


- ... va-t'en s'il te plaît... Pars avant que ta fille ne te voit et ne demande qui est ce monsieur.... Je ne veux pas que tu m'entendes lui répondre que je n'en sais rien...
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On joue au patron et à l'ouvrier, tu veux venir ?
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Ce que j'admire le plus chez toi, Mortadelle, c'est ta constance dans la connerie !
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X : C'est toi qu'as volé l'argent, j'suis sûr !
Lupo : C'est pas vrai, c'est pas moi que j'ai volé !
X: Si, c'est toi ! T'es un sale pauvre !
Lupo : C'est toi, le pauvre ! T'as vu comment t'es moche ?
X : Toi, t'es moche ! Même que ta mère, elle a dû te pondre par le cul, tellement t'es moche !
Lupo : Tu traites pas le cul de ma mère !
X : Alors, tu me rends l'argent, sinon j'te casse la gueule...
Lupo : T'as pas le droit ! Si tu me touches, j'le dis à la police !
X : Oh ? La police... Tu crois que j'ai la trouille ?
Lupo : J'vais l'faire !
X : Vraiment ?
Lupo : Ouais !
X : Ah ouais ?
Lupo : Ouais !
X : ET ÇA ? C'EST PAS MOI QUE J'TE CASSE LA GUEULE, ÇA ?
Lupo : AA... AAA SALAUD !
Mimmo : OH ! ÇA VA PAS OU QUOI ! Qu'est-ce que vous foutez ?
X : Ben, on joue, pourquoi ?
Lupo : Hé, salut Mimmo ! On joue au patron et à l'ouvrier, tu veux venir ?
Mimmo : ...
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Je m’appelle Fabio Foscarini, et je n’ai pas revu mon pays depuis tellement longtemps que je ne sais même plus si c’est moi qui l’ai quitté ou si on m’en a chassé
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J'étais trop pressé. Il y avait sûrement autre chose à inventer mais j'ai pas su. J'étais trop pressé. Je voulais commencer une vie et ne jamais revenir sur mes pas... C'est pour ça que je suis parti sans rien dire. Sans un mot pour personne... J'ai voulu qu'ils me détestent, qu'ils me haïssent, qu'il m'oublient... pour me donner de bonnes raisons de ne jamais pouvoir revenir... de vraies raisons... Je suis un fugueur... Mais je suis fatigué et je veux rentrer à la maison.
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- Il est incroyable, ce parc... Je ne sais plus où on est.
- Personne ne s'en occupe jamais. Il est complètement... autonome.
- On dirait qu'il avance à mesure qu'on s'y promène. En même temps que nous...
- Il n'avance pas, non... Il danse.
(p. 95)
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Mimmo, il est comme tout le monde, il a besoin de rêver... même si c'est à des trucs impossibles...
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[1974, dessinateur argentin]
On pouvait vivre sans papiers en Espagne. Avant l'Europe moderne, l'Espagne n'était pas dans le marché commun, alors on rentrait, on sortait. On était angoissés, mais pas pressés, parce qu'on pouvait s'arranger.
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A Mortagne, on n'a pas vraiment les moyens de réfléchir, en fait. On a bien un cerveau, mais rien d'autre à mettre dedans que du raisin, des planches, de la sueur et du plomb. C'est comme ça. Pour le reste, on n’a pas les armes qu’il faut pour changer les choses.
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"Que cela plaise ou non, les Français n'aiment pas les étrangers. Les [étrangers] pauvres, bien sûr. Les riches, on les appelle des touristes."
Françoise Giroud
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Quand j'ai quitté ce pays, on me disait : qu'est ce que tu vas faire là-bas ? Partout où j'arrivais, on me disait : qu'est ce que tu viens faire ici ? et maintenant : on va me dire quoi ?
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[Argentin en Europe]
De 1974 à 1987, je suis resté sans-papiers. J'allais, je venais comme ça durant tout mon séjour en Italie. Puis, la situation vis-à-vis de l'immigration s'est rapidement dégradée, avec la paranoïa européenne, les replis identitaires, les équivoques religieuses et les fixations nationalistes qui refaisaient surface.
(introduction)
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Quand je suis nerveux, je ferme les yeux et j’imagine le pape en train de chier - c’est imparable, ça dédramatise tout !
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- Comme chaque année, nous allons faire les 24 heures de la bande dessinée. Cela consiste à dessiner 24 pages en 24 heures sur un thème que je vais vous dévoiler maintenant. Le thème est : le Marsupilami explose ses adversaires sur Street Fighter.
- ?
- !!?
- Mais tu ne peux pas... le personnage n'est pas libre de droits.
- Ha ?
- Même Dupuis ne peut pas l'utiliser.
- Rectification ! Le thème est : Titeuf explose ses adversaires sur Street Fighter.
- ?! Mais c'est pareil. On n'a pas le droit.
- Alors Tintin !
- Procès en moins de 48 heures.
- Mickey !
- Procès en moins de 3 heures. Il faut prendre un personnage très vieux sans copyright et tout ira bien.
- Ah... J'ai compris... Le thème est : Jésus explose ses adversaires sur Street Fighter.
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L'absence... quand ça dure trop, ça efface les visages... faut faire gaffe.
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- La pénombre, c'est rassurant. Je ne suis pas taillé pour être en pleine lumière. Il me faut des recoins pour me cacher. On me le reproche. Mais j'ai souvent besoin de fausser compagnie.
(p. 114-115)
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Je l'avais jamais vu comme ça, mon père. Je savais même pas qu'il pouvait être comme ça... Lui toujours si calme, si... absent (...)
Mais mon père.... j'ai mais des années avant de comprendre. (...) Son regard, ses coups de poing... que ça avait sa manière à lui de me dire qu'il avait peur... peur pour moi, et qu'il voulait me protéger. Sa manière de me dire qu'il tenait à moi...
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Giovanni m'a souvent parlé de toi, et même si je ne te connais pas, tu as toujours existé... Mais je ne supportais plus de ne pas savoir qui tu es. Comment quelqu'un qu'on ne connaît pas peut-il manquer à ce point ?
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Voilà c'est ça mon histoire... une belle connerie, hein... mais toi ? toi qu'as l'air si malin, t'en as jamais fait des conneries toi ? hein ? tu sais toujours à qui en vouloir, quand ça foire ? j'suis quand même pas le seul à me planter, bordel ?
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