Citations de Alfred (83)
La peur, c'est quand on a quelque chose à perdre
On joue au patron et à l'ouvrier, tu veux venir ?
La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde... mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part.
Je suis partie chez une assistante sociale, je lui ai demandé si elle pouvait m'aider j'avais 16 ans je lui ai demandé, elle voulait pas,
Elle me dit: comme vous etes sans papiers, vous êtes sans valeur
D’habitude, ça m’emmerde les discussions philosophiques. Rien de mieux pour donner l’impression de passer sa vie à faire les mauvais choix !
Ce que j'admire le plus chez toi, Mortadelle, c'est ta constance dans la connerie !
- La pénombre, c'est rassurant. Je ne suis pas taillé pour être en pleine lumière. Il me faut des recoins pour me cacher. On me le reproche. Mais j'ai souvent besoin de fausser compagnie.
(p. 114-115)
- Il est incroyable, ce parc... Je ne sais plus où on est.
- Personne ne s'en occupe jamais. Il est complètement... autonome.
- On dirait qu'il avance à mesure qu'on s'y promène. En même temps que nous...
- Il n'avance pas, non... Il danse.
(p. 95)
Bah... tu crois pas qu'ils commencent vraiment à nous emmerder, avec leurs hôtels, leurs parkings et leurs supermarchés partout? Qui en a vraiment besoin de ces trucs-là? Alors que nous, tout ce qu'on veut, c'est grimper dans les arbres, pas vrai?
C'est dingue le nombre de personnes que tu n'aimes pas, Mortadelle. Je ne sais pas comment tu fais... ça doit rendre malheureux à la longue, non ?
- Ce que j'admire la plus chez toi, Mortadelle, c'est ta constance dans la connerie !
- C'est marrant, parce que tu dis pas ça quand je t'apporte de la bouffe, en cachette de mon père. Comme par hasard, tu me trouves moins con, là !
- Ah, mais ça n'a rien à voir ! Ça, c'est ta participation à l'équilibre du grand tout... pour que le monde demeure un minimum vivable, il faut bien que ceux que appelles les improductifs comme moi s'appliquent à ralentir l'appétit hystérique et immature des petits boutiquiers qui comme toi, pullulent sur cette planète ! Alors réjouis-toi ! Me nourrir gratis c'est œuvrer à bien plus grand que ta misérable existence...
- Connard !
Mimmo, il est comme tout le monde, il a besoin de rêver... même si c'est à des trucs impossibles...
Quand je suis nerveux, je ferme les yeux et j’imagine le pape en train de chier - c’est imparable, ça dédramatise tout !
X : C'est toi qu'as volé l'argent, j'suis sûr !
Lupo : C'est pas vrai, c'est pas moi que j'ai volé !
X: Si, c'est toi ! T'es un sale pauvre !
Lupo : C'est toi, le pauvre ! T'as vu comment t'es moche ?
X : Toi, t'es moche ! Même que ta mère, elle a dû te pondre par le cul, tellement t'es moche !
Lupo : Tu traites pas le cul de ma mère !
X : Alors, tu me rends l'argent, sinon j'te casse la gueule...
Lupo : T'as pas le droit ! Si tu me touches, j'le dis à la police !
X : Oh ? La police... Tu crois que j'ai la trouille ?
Lupo : J'vais l'faire !
X : Vraiment ?
Lupo : Ouais !
X : Ah ouais ?
Lupo : Ouais !
X : ET ÇA ? C'EST PAS MOI QUE J'TE CASSE LA GUEULE, ÇA ?
Lupo : AA... AAA SALAUD !
Mimmo : OH ! ÇA VA PAS OU QUOI ! Qu'est-ce que vous foutez ?
X : Ben, on joue, pourquoi ?
Lupo : Hé, salut Mimmo ! On joue au patron et à l'ouvrier, tu veux venir ?
Mimmo : ...
Pour Joao, Serge, Raissa, Martine, Rosalie, Brahim, Mariem, Malika et Osmane.
(dédicace d'Alfred, Michaël Le Galli et David Chauvel)
De quoi tu as peur comme ça Mimmo ? La peur c'est quand on a quelque chose à perdre... Mais toi, qu'est ce que tu as à perdre ?
Quand je suis nerveux, je ferme les yeux et j’imagine le pape en train de chier - c’est imparable, ça dédramatise tout ! Tu devrais essayer…
Moi, c’que j’aime… c’est les arbres…
C’était des jardin, ici, vous vous souvenez ? Avec que des arbres centenaire où on venait grimper… Vouloir transformer des arbres en hôtels à touristes… Faut être tordu.
Il y avait sûrement autre chose à inventer mais j'ai pas su.