Citations de Cécil (36)
- Chaudement recommandé par Sherlock Holmes...que voilà une belle référence.
- Vous connaissez Monsieur Holmes, docteur ?!!
- J'en ai peur, oui! Voici trois ans, ce bougre m'a soupçonné d'être le tristement célèbre Jack l'éventreur!!!
- Je suis un gamin de Londres, docteur Watson... rares sont les serrures qui parviennent à me résister. A la faveur de la nuit nous pourrons...
- Une effraction ?!? Wiggins ? Vous n'y pensez pas !?
- Mais ?... Vous et monsieur Holmes n'avez jamais hésité à ... ?
- Mais c'est... c'est très différent, voyons ! Nous ne sommes pas confrontés ici à des criminels. Il s'agit de la famille endeuillée de mon malheureux ami, Wiggins. Ce que vous proposez est...c'est inconvenant !
- Holmes : Allons, vieux compagnon ! Haut les cœurs... Depuis combien de jours vous complaisez-vous dans cette pénombre à ruminer des pensées inutiles ???
- Watson : Venant d'un dépressif chronique, je trouve le conseil et la remarque plutôt amusants... Pour ne pas dire «risibles».
Préparez-vous à ce que vous allez voir. Préparez votre cœur à ce que l'humanité peut nous offrir de plus laid.
Il me semble que la simplicité d'une action n'aille en rien de pair avec la simplicité de son exécution.
- Watson : Mon instinct ?! Parlons-en ! Holmes ne cessait de m'interdire de l'écouter. Des faits ! De la logique ! Voilà ce qu'il préconisait. En sept années à ses côtés, je n'ai pas fait l'ombre d'un progrès en ce domaine... Et voilà que je me targue d'éclaircir les circonstances de sa mort ? La douleur de sa disparition m'a fait perdre la tête, Mary ! J'en ai peur !
-Il y a quelques années j'étais tout pareil que vous. Pire peut être... je dormais dans les égouts. Je volais pour assurer ma pitance. Voyez ce que je suis devenu : comme un espoir pour vous tous! Oui il est possible de s'échapper à toute cette misère, si vous en avait l'envie et l'audace.
La résolution des crimes dont mon frères s'entichait, tenait en grande part à la maladresse des criminels eux-mêmes.
- Tout témoignage n'a pas force de vérité. Doutez de tout...
- à commencer par vos déductions.
- Nous n'avons rencontré qu'une résistance dérisoire !
- "Dérisoire" ?!?
- Comptera t-on quand même quelques morts, comme vous me l'avez promis ?
- N'en doutez pas, sir... Il y a toujours quelques exaltés pour ne pas accepter l'évidence de la défaite...
Madame, il est crucial de demeurer calme et rassurez-vous je suis un professionnel, mais le petit cousin placé là, cache la clé de mon salut.
- Humm...Voilà que vous vous faîtes cruel, Watson ! Ce n'était qu'un conseil d'ami.
- Ami ??? Vraiment ? Quel genre d'amis sommes-nous donc, Holmes ?... Quels genre d'amis se cachent la vérité sur ce qui devrait au contraire, les rapprocher ?
- Vous m'en voulez ?
- Mais bien sur...je suis médecin, bon sang de bonsoir ! Pourquoi ne pas vous être confié à moi ? J'aurais pu vous aider, Holmes. En Afghanistan, j'ai soustrait à l'opium plus d'un soldat que l'on pensait condamné/
- C'est que vous sembliez si occupé, Watson ! Vous donniez le sentiment de ne plus avoir de temps pour nos petits problèmes de logique.
- C'est donc cela !?! J'a...j'avoue...oui...Le bonheur simple que j'ai trouvé dans le mariage...Mais aussi ces heures sans fin que je consacre à mon cabinet pour lui redonner un peu d'élan...tout cela me...
- Sans compter le temps que vous occupez à la rédaction de nos petites aventures policières.
- Oui...bien sûr, depuis que l'on me publie, je...
- Ces deux dernières années, vous avez passé plus de temps avec votre Sherlock Holmes de pacotille qu'avec moi, Watson... Cette créature de fiction plus parfaite que je ne suis et ne tiens à être. Je crois que vous saviez très bien ce qui m'arrivait, Watson, sans même que nous ayons à en parler... Mais que l'homme que j'étais en train de devenir vous était difficilement... admissible ! Tout doucement, vous m'avez remplacé dans votre vie par ce double que vous pouviez continuer d'idéaliser...
- Violet : Excuse-moi Betty... Mais de qui parles-tu ?
- Bethy : Mais de Monsieur Holmes, voyons ! Regarde ! Cette sorcière de Mary nous a alarmées pour rien . Non seulement il n'est pas estropié... mais en plus, on ne peut rêver de plus belle prestance... Et sa voix Violet... Il faut que tu entendes sa voix... Jamais l'on a entendu musique plus profonde sortir de la bouche d'un homme.
Pourtant, si l’on prend le temps, si l’on jette un regard critique sur les maigres informations à notre disposition, on est en droit de s’interroger.
Tout d’abord, il n’y a pas de témoin direct du combat entre le détective et le professeur. Watson arrive trop tard sur les lieux du crime.
Jamais il n’aura l’occasion de voir ce fameux professeur Moriarty.
-Sortez de ce fauteuil Watson... Filez dans le jardin profiter de ce soleil. Allons vieux compagnon ! Haut les cœurs. Depuis combien de jours vous complaisez-vous dans cette pénombre à ruminer des pensées inutiles ???
- Venant d'un dépressif chronique, je trouve le conseil et la remarque plutôt amusants.
- Mon fils ne vous a pas menti, docteur Watson. Le professeur Moriarty que Sherlock traquait n'a jamais existé.
- Celui que j'ai rencontré dit avoir été le précepteur de votre fils, madame ?
- A l'été 1872, en effet.
- Il prétend aussi avoir été victime de la "violence" de Sherlock Holmes ?
(...)
- Le professeur Moriarty et mon fils se sont bien battus, oui... Cela ne s'est pas passé cette année, en Suisse, mais voilà près de 20 ans, ici même, sur la lande.
- Raison n'est pas renoncement, mademoiselle Sherrinford. Je tiens à la vie, mais aussi, et bien davantage sans doute, à ses petits plaisirs. Cependant, je me suis promis de ne plus mettre d'autres vies en danger que la mienne. J'ose imaginer que vous pouvez comprendre cela ?
- Je comprend monsieur Holmes, mais je ne saurai dire si je souscris à cette philosophie.
j'ai... j'ai discuté avec votre fils Mycroft. Et... euh... tout comme lui, je pense que le public doit continuer d'ignorer les causes réelles du décès de Sherlock Holmes
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J'ai discuté avec votre fils Mycroft. Et... Euh... tout comme lui, je pense que le public doit continuer d'ignorer les causes réelles du décès de Sherlock Holmes.
Je sais que vous doutez souvent de vos talents de détective, mais je vous en conjure...ne doutez jamais de vos talents de médecin...