Cette histoire légère se passe dans un monde ecclésiastique où l'on rencontre différents ordres, comme les "miseratus" par exemple. Alban notre jeune novice "cabécou", une sorte de Candide doublé d'un fond de Don Quichotte, toujours prêt à mettre les pieds dans le plat ou à provoquer des catastrophes de par sa naïveté se retrouve mêlé à une intrigue meurtrière. On y trouvera des petits clins d'oeil, souvenir de films anciens tels que "l'auberge rouge".
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Relecture après plus de 20 ans ...
Le style du dessin est un peu particulier : les premières pages c'est un peu aride (maladroit ? ... ) mais ensuite finalement on s'y fait et le trait colle à l'ambiance froide/sombre du contexte ...
Je ne sais trop quoi penser de ce tome. J'ai parfois trouvé lassant le côté "running-gag" de "par-où-Alban-passe-tout-part-en-sucettes-juste-après" ... mais ... j'ai toutefois envie d'ouvrir le tome 2 (ne serait-ce que parce que j'ai la série jusqu'au tome 6 , ah! ) car j'ai envie de savoir quel est le destin de ce petit moinillon et son cochon ...
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Une série qui semble prendre corps crescendo, ce tome est un cran au-dessus des précédents (tout comme le 2 était supérieur au 1).
Le trio Alban-Laïus-Orphéon fonctionne bien ... et je me suis habituée aux dessins qui servent tout à fait l'histoire (l'ambiance, etc).
Bref , ouvrons le tome 4 maintenant :-)
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Je continue sur ma lancée (cf critiques tomes 1,2 etc) , comme je le disais précédemment j'accroche de plus en plus aux dessins (...en plus là , la couverture est Top ! ), la série avance à son rythme , on est dans l'ambiance... ça se lit :)
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Etrange : j'ai l'impression d'avoir lu ce tome là "plus vite" que les autres (sans que je puisse associer cela au fait que j'aurais davantage aimé ce tome-ci ... bizarre... il faudra que je regarde s'il n'a pas moins de pages, tout simplement , uh uh ) ...
Ouvrons le tome 6 , pour voir :)
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Arrrrhhhhh y'a pas de tome 7 ? Gniiiiii j'avoue que je ne suis pas du genre à aimer les fins ouvertes ... je reste un peu sur ma faim (sans jeux de mots).
Bon ben voilà quoi ...
Après cette "relecture" plus de 15/20 ans après ce que je retiendrai surtout ce sont ces dessins qui m'ont un peu déconcertée au début et puis finalement qui prennent corps au fil des pages et qui donnent un ton unique à cette série.
(EDIT : après quelques clic-clic sur internet pour en savoir plus je crois comprendre qu'en fait la série était prévue en une dizaine de tomes mais que l'éditeur a coupé l'herbe sous le pied des auteurs qui ont dû précipiter la Fin ....Info à vérifier toutefois mais qui pourrait expliquer le déséquilibre de ce tome 6... )
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J'avais pris ce premier tome d'une trilogie un peu par hasard dans ma bibliothèque communale. Je pensais avoir une BD de SF, style exploration de la planète mars. Mais on dérive vite sur un propos plus sociétal et religieux.
Les aspects techniques et technologiques sont effectivement rapidement remisés. Et ils cèdent la place à un thriller dans lequel la religion est au centre de tout. Un mystérieux personnage menace le prêtre local. Celui-ci commet l'impair de bénir un anthropoïde simiesque, créature clonée et dont l'Eglise a jugé qu'il ne possédait pas d'âme. Pas de raison de le bénir, donc.
Commence alors une série d'actes de violence et de meurtres, de sabotages, dont le prêtre et les bâtiments du culte sont la cible.
Les rouages sont clairement ceux du thriller SF. Mais l'intérêt réside dans ces anthropoïdes simiesques. le fait que plusieurs anthropos aient été mortellement blessés dans une explosion semble les avoir perturbés collectivement. Comme s'ils ressentaient, comme s'ils avaient des émotions... comme s'ils avaient une âme...
On arrive donc à des questions plus philosophiques, qui ne sont encore qu'effleurées. Demy qui donne son nom au tome est l'assistante du clergyman, rôle effacé qui justifie assez peu de lui donner le titre.
Le dessin est OK, sans faire des étincelles. C'est sombre, mais cela correspond au propos.
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Un écosystème martien en vase clos où un psychopathe sévit. Un prêtre qui n'a pas froid aux yeux va enquêter. Les dessins sont moyens, sans plus, la station martienne n'a rien de remarquable. Le seul élément intéressant est l'utilisation de singes intelligemment.Cela se lit bien, mais sans plus.
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Notre prêtre héros se trouve bombardé dans une exploitation minière d'Europe, en proie à des conflits internes. Sa venue va coïncider avec de nombreux événements. On continue le filon précédent, avec le même personnage, mais dans un décor différent. Les dessins restent moyens, sans plus et l'histoire un peu complexe et trop prévisible.
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Je n'ai pas été plus séduit que cela à cette bd au ton volontairement irrévérencieux. Je vois où elle veut en venir mais je préfère nettement la subtilité.
Graphiquement, ce n'est pas tout à fait mon style. Le dessin manque de perspective et les visages sont inexpressifs. Au début, j'ai même cru que nos anges étaient des petits diablotins... Et non, je ne savais pas comme soi-disant tout le monde que les démons sentent la musaraigne. Cela manque singulièrement de finesse malgré un humour présent.
On pourra cependant avoir une lecture agréable qui fera passer un bon moment.
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Premier tome d'une série devant en comporter trois, Anges Psaume 1 est une bande dessinée qui, à travers un huis-clos à l'intérieur d'une église, nous dévoile le quotidien d'anges gardiens à la morale parfois douteuse. L'histoire est gentillette, les personnages un peu simples.
On passe un moment agréable, mais la lecture n'a rien de sensationnel.
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Des petits anges, dans l'église de saint Eustache prenant quelques largesses avec les règles dictées par le très Haut, vont se trouver confrontés à l'arrivée de petits démons venus faire surgir le mal du tréfonds des fondations de l'église.
Mais le bien l’emportera encore sur le malin... même si les héros ne seront pas récompensés!!
Un bon moment de lecture avec des dialogues plein d’humour et diverses situations cocasses.
Néanmoins pas suffisant pour en faire un classique de la BD fantastique.
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Quelques semaines se sont passées depuis les évènements de Saint Eustache (tome 1). Justice a été rendue et le bienfondé de l'action de Jéliel, Yesod et Om, est reconnu en haut lieu. La hiérarchie a décidé de les nommer gardiens de première classe et de les envoyer en mission en tant qu'enquêteurs spéciaux dans un pensionnat de jeunes filles à Bulat.
Mais le mal rode, se fier aux apparences est parfois trompeur, nombreux vont être ceux à en faire l’expérience!!
Un T2 tout autant agréable à lire que le premier. Facile et drôle pour un début de vacances
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Dans ce deuxième tome, le diable fait (enfin) son apparition.
L'intrigue reprend un second souffle et on comprend alors mieux l'intérêt d'un troisième volume des aventures de Yesod, Jéliel et Om.
Dans la droite ligne du premier tome.
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Thanatopracteur le jour, meurtrier froid la nuit. Suivre cet homme a d'abord éveillé ma curiosité. Les graphismes sont sympa, l'histoire est intrigante. Mais, rapidement, je me suis rendue compte que l'auteur tâtonnait un peu. La fin de ce livre m'a laissé l'impression que le travail n'était pas abouti, qu'il manquait des pièces à l'histoire.
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L'idée n'est malheureusement pas nouvelle. J'ai eu l'impression de lire un ersatz du tueur mais en moins bien. La lecture a été pourtant très agréable avec de bonnes trouvailles par endroit mais la conclusion de cette histoire m'a laissé totalement perplexe me gâchant presque l'avis jusque là plutôt positif que je m'étais fais de cette bd au ton délibérément sadique.
Finalement, je ne retiens que le fait que notre tueur est dérangé à cause d'une mère dominatrice... Trop simple pour moi d'où une note moyenne à 2.5/5. A vous de jugez !
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