Falzar

Je me suis plongée avec délice dans cette bande-dessinée jeunesse. Les premiers mots qui me sont venus à l'esprit à la suite de cette lecture sont, entre autres, « adorable » et « nostalgique ».



• Adorable, car la relation entre Rose et son papy fan de Titanic (petit clin d'oeil avec le prénom de la jeune fille d'ailleurs...), bien que parsemée de moments cocasses et de taquineries, est touchante comme tout. Rose va venir habitée chez lui, car elle en a marre des disputes de ses parents (sujet difficile mais celui-ci est effleuré, malheureusement je pense que beaucoup d'enfants se sentiront concernés). Sa maman - la fille du papy - va accepter qu'elle reste le temps d'apaiser quelques tensions avec le papa... Bon, il faut mentionner qu'ils habitent à deux pas ! Ce qui facilite les choses :-). Cette bande-dessinée est une succession de petites histoires - huit pour être précise - tendres et saupoudrés d'humour. Les illustrations, à la fois délicates et joyeuses sont parfaites pour un ouvrage comme celui-ci.



• J'avais également parler de nostalgie pour définir cet ouvrage graphique... D'une part, car cela m'a fait penser aux BD que je pouvais lire enfant, pas les mêmes thèmes mais plus ou moins la même ambiance enfantine et rigolote (à savoir « Cédric », par exemple). J'avais donc l'impression de revenir plusieurs années en arrière et ça, j'ai adoré. Mais j'ai également été très émue de la relation intergénérationelle. Je n'ai jamais vraiment connu cela mais j'ai malgré tout, quelques jolies souvenirs d'enfance avec mes grands-parents, et ce qui fait selon moi de cette bande-dessinée un ouvrage accessible à tous, peu importe notre âge. Même si tout le monde n'aura pas connu de beaux souvenirs avec un papy et une mamie comme ceux-ci étant enfant, je le conçois parfaitement...



• Pour parler maintenant de la BD en elle-même, il s'agit d'un format rigide classique, avec des planches plutôt traditionnelles également. Mais ce n'est pas plus mal, la qualité est au rendez-vous, même si je trouve que les ouvrages souples style ''Ariol'' sont plus adaptés aux petites mains mais ça, c'est une question de goût. À noter qu'à l'intérieur c'est écrit en scripte minuscule.



• Cela semble être un premier tome au vu du ''1'' noté sur le dos de la BD. Mais, selon moi, cela peut aisément se lire en one-shot, je ne ressens pas de frustration particulière à la fin de ma lecture, même si la fin est ouverte. Si suite il y a, cela me tente beaucoup ! J'ai très envie de retrouver cette ambiance familiale chaleureuse entre deux générations différentes. J'ai apprécié leur complicité et leurs « bêtises », et cela ne fait que me confirmer que bien souvent, les grands-parents sont beaaaaucoup plus ''cool'' que les parents eux-mêmes, me faisant quelque peu penser à ma propre mère avec mes enfants, haha. Je rajouterai aussi qu'il y a une certaine tristesse qui ressort de ces planches - le deuil, la solitude - particulièrement à la fin où j'ai été, au risque de me répéter, tendrement émue. Papy Titanic est assurément le canot de sauvetage de la petite Rose, dont celle-ci avait grandement besoin ... L'inverse est vrai également :-).



Ce fût une belle découverte pour un jolie moment de lecture, un petit coup de coeur inattendu pour cet ouvrage graphique jeunesse. À partager et à dévorer sans modération !

Merci pour cette masse critique.



J'ai eu le plaisir de découvrir cette BD de chez Bamboo éditions avec mes enfants de 9 et 6 ans.



Les dessins sont vraiment au top, c'est très colorés et mignon comme tout. Les enfants étaient très réceptifs aux graphiques de cette BD. À peine rentré de l'école ils ont sauté dessus dès qu'ils l'ont aperçu.



Cette BD est composé de plusieurs petites histoires qui permet d'étaler sa découverte sur quelques jours. Un super moment de partage entre mes enfants et moi.



Il y a toujours une jolie morale à l'histoire et c'est bien amené.



Un lien papy - petite fille très touchant.



Une BD que je vous conseille de découvrir avec vos lutins 😉



Une belle surprise pour nous.

Accepté parce que je pensais avant tout l'offrir à mes élèves, j'ai été très surprise de découvrir ici une BD très fine et solaire pour parler d'un sujet de société central : les enfants souffrant des disputes de leurs parents. Alors merci à Babelio et Bamboo d'avoir pensé à moi.



Quand deux auteurs chevronnés de la littérature jeunesse se retrouvent, ça ne peut que faire des étincelles ou plutôt des paillettes comme la désormais expression consacrée. Ils éclairent effectivement notre vie avec cette charmante BD.



Dans un format court en épisodes, ils nous emmènent à la rencontre de Rose, une petite fille qui en a assez des disputes de ses parents et qui trouve refuge chez son papy qui habite à côté. Dans ce nouvel environnement, elle va retrouver un second souffle même si tout n'est pas facile.



Histoire universelle, elle est traitée ici avec beaucoup de tendresse, sous le trait doux et drôle à la fois des auteurs. Il se dégage un charme surané de ces planches mettant en scène ce grand père veuf fan de modélisme et cette petite fille de son époque fan de jeux vidéos. Ensemble, ils vont apprendre à trouver un nouvel équilibre.



Entre partage de passions communes, découvertes de leur vie passée, aventures autour des animaux de la maison, fête de l'école et autres balades en forêt, les deux vont vite toucher notre coeur. On a envie de consoler cette enfant qui subit de trop des histoires d'adultes. On a envie de secouer et pousser à aller de l'avant ce papy meurtri par la mort de sa femme. C'est très tendre.



Et en même temps, l'ensemble est plein d'humour, en mode un peu cartoon, accentué par le dessin très rond de Marco Paulo. On voit ainsi un grand père au volant d'une voiture dévalant les rues alors qu'il n'a pas le permis, ou encore des châtons ravageant la maison, sans parler d'une petite fille farceuse, cachant le bâteau qu'adore son grand-père. C'est très drôle et cocasse, mais aussi terriblement charmant, car c'est touchant de les voir se rapprocher et nouer une relation rien qu'à eux deux, où ils sont en confiance.



Ainsi cette BD m'a totalement charmée et je serai ravie de la partager avec mes élèves dont certains vivent la situation familiale de Rose, mais je vais avoir envie de la garder pour moi contrairement à ce que je pensais au début, car je l'ai trouvée vraiment charmante et touchante.

Je remercie chaleureusement les éditions Bamboo et Babelio pour l'envoi de ce livre en masse critique privilégié.

J'ai juste a-d-o-r-é cette bande dessinée. Tout est frai, sous fond de "vérité" avec des petites anecdotes et histoires que l'on peut vivre en realité.

L'histoire est douce, bien qu'elle débute par une dispute de couple qui s'avère être agaçante pour leur enfant. Le Papy est hilarant, un peu tête en l'air, il est touchant car il est fidèle à lui-même, à ses passions, à son caractère bien trempé mais il est dépeint comme un vieil homme très attaché à sa famille, notamment à sa petite filles. Les deux personnages renforcent leur lien et se redécouvre peu à peu.



Un peu décalée, j'ai passé un très bon moment. Une lecture relaxante et touchante qui met en scène une relation grand-père et petite-fille émouvante et rafraichissante !

Rose est fatiguée d'entendre ses parents se disputer si souvent. Heureusement, lorsque c'est le cas, elle peut se réfugier chez son grand-père qui vit à deux maisons de là, pour trouver un peu de calme et de réconfort. La situation entre ses parents est compliquée en ce moment et sa maman lui propose alors de vivre avec son grand-père quelques temps, pour permettre à tout le monde de se retrouver.



Vivre avec quelqu'un et le voir de temps en temps, même souvent, ce n'est pas du tout la même chose. Rose et son papy ont leurs propres habitudes et ils vont devoir écouter l'autre afin que la cohabitation se passe le mieux possible. Une petite fille adepte des écrans et un papy féru de maquette (et pas n'importe laquelle, le Titanic), ça fait un cocktail étonnant !



C'est une bande dessinée adorable aux dessins enthousiastes et aux couleurs douces. J'ai adoré partir à la rencontre de cette famille, la relation entre Rose et son papy fait chaud au coeur et rappelle des souvenirs, par moments. Que donnerait-on pour revivre quelques minutes de ce bonheur enfantin ? C'est tendre, amusant, étonnant et on en ressort avec le coeur tout doux.



Merci à Babelio et aux éditions Bamboo pour cette tendre découverte.

C'est plutôt mignon, bon enfant, mais rien de plus non plus, les dessins passent mais sans plus chez moi, et complètement irréaliste sur certaines choses.

Il y a des moments tendres et cocasses, des idées, mais l'émotion pour moi n'est pas vraiment présente vu le côté gag qui échoue. Cela dépendra

de votre sensibilité au côté loufoque et gag.



La BD est séparée en différents chapitres, des petites scénettes, sans aucun lien. Heureusement on voit parfois la maman, mais jamais vraiment le papa.

Un peu bizarre quand même, surtout sur une si longue période comme on l'apprend ensuite.

Rose, une petite fille, qui a son caractère, voit ses parents se disputer tout le temps. Elle décide donc d'aller vivre chez son grand-père. C'est le père de sa mère, Céline.

La situation ne nous est pas vraiment expliqué, les scénettes sont trop détachées. On est pas immergé dans l'histoire malgré son sujet touchant, on voit cela de loin.

On revient sur certains points qui font un peu le conflit des générations, mais aussi le pouvoir qu'ont les grands-parents comparés aux parents. Les interventions de Céline permettent d'ailleurs de prendre du recul là dessus.

Comme ils vivent maintenant tous les jours ensemble, c'est encore différent de ce à quoi ils étaient habitués. D'ailleurs, aucune préparation. Le premier jour d'école c'est un gag, mais avec zéro crédibilité.

Ils sont touchant mutuellement. Ce papy qui construit sa maquette du titanic, confronté au temps qui passe, qui veut aussi voir sa fille jouer dehors et pas tout le temps sur ses écrans.

Il n'est plus tout seul, mais ce n'est pas une sinécure non plus, surtout qu'elle lui fera quelques sales coups et pièges, ça je n'apprécie pas non plus. Heureusement, par moment, elle a aussi de beaux gestes.

Le fond du problème n'est pas réglé non plus, trop en surface, mais ça peut faire une lecture détente sans en attendre beaucoup sympathique.



Vous aurez la présence d'un chat et même de chatons, pour ajouter au côté mignon, et espiègle.

Mention spéciale à l'expression fétiche du papy : "Mille millions d'icebergs".



Merci à Babelio et Bamboo pour cette découverte.

Merci à Babelio pour cet envoi, j'étais ravie d'être sélectionnée lors de cette Masse critique.

Pour moi Les Tuches, que ce soit en film, ou avec cette version BD, c'est l'humour basique, mais ultra efficace. Et puis mes origines Ch'tis, influencent forcément mon jugement sur l'efficacité de l'humour de cette famille hors norme.

Tous les clichés sont réunis, et c'est tant mieux.

La BD est fidèle aux personnages et à l'idée de départ, on retrouve bien l'univers et la ressemblance est frappante. Les dessins sont sympas, l'histoire l'est tout autant.

On passe donc, bien évidemment un très agréable moment avec cette lecture.

Pour ceux qui n'ont pas vu les films, aucun soucis, ici l'univers des Tuches, qui ils sont, leurs passions, tout y est.

Pour les grands, les moins grands, une BD Kitch et drôle.

Zidrou est actuellement l'auteur à la mode et ce qui se fait de mieux pour certaines aventures tendre, hilarante et cosmopolite. Il s'agit de voyager au quatre coins de l'Europe et même de la Libye. Certes, il y a beaucoup d'humour mais également la description du combat que mène les clandestins pour trouver un peu de réconfort loin de la guerre et de la famine. L'auteur reprend en fait un roman à succès de Romain Puertolas en 2013 qui avait enflammé la critique.



On aura également une triste pensée pour les commodes et armoires IKEA qui ont fait tant de victimes parmi nos bambins au quatre coins du monde. On les surnomme à juste titre les armoires tueuses. Cependant, il n'en sera pas question dans cette bd malgré ce titre qui ne fera pas rire les parents de ces enfants innocents. Certes, il fallait les accrocher au mur avec des clous mais encore faut-il que les murs les acceptent...



Pour en revenir au récit plutôt dynamique, il est plutôt bien construit. On ne s'ennuie pas à la lecture. Le dessin assez coloré de Kyung Eun Park colle à merveille à ce type d'histoire un peu fofolle. En effet, je pense que ce fakir n'avait pas besoin de quitter son Inde natale pour venir acheter du mobilier chez IKEA à moins que cette enseigne planétaire soit absente de ce pays.



Comme à chaque fois, derrière l'humour se cache des situations plus pénibles comme le sort des immigrants ou le vol par les taxis ou encore notre consumérisme qui semble déranger. Il y a également l'introduction de certains personnages du show-biz comme Sophie Marceau. Bref, c'est un joyeux melting pot pour une aventure rocambolesque pleine de surprise.

Camille, ado parisienne, part vivre en Belgique. Des anecdotes qui font sourire, une petite sensation du déjà vu. Une BD qui se laisse lire.

Ne supportant plus les disputes incessantes entre ses parents, Rose part habiter quelque temps chez son papy qui est quelque peu fantasque et étourdi mais surtout grand fan du Titanic. Chez le vieil homme, tout tourne autour du bateau qui coula lors de son voyage inaugural : expressions, passion…



Rose et son papy vont apprendre à cohabiter et cela va être plutôt mouvementé. La petite tornade, adepte des jeux vidéo, va chambouler la vie de son aïeul. Notre duo va aussi s’embarquer dans des aventures rocambolesques...



Cette lecture est un pur régal !!!



C’est une histoire de vie, celle d’une belle complicité et d'une grande tendresse entre une fillette et son grand-père. Parfois, de Rose ou de son grand-père, on ne sait plus lequel est l’enfant.



C’est une BD doudou, tendre et douce à la fois. Les personnages sont à croquer. Les dessins sont de très grande qualité et les couleurs pastel sont un régal pour les yeux.



Cette BD est une belle réussite et parlera au plus grand nombre, ramenant chacun à ses propres souvenirs avec ses grands-parents.



À lire à tout âge !!



Je vous recommande VIVEMENT cette BD dont j’ai hâte de découvrir la suite.

Je remercie la maison d’édition @bamboo editions, les auteurs et @babelio pour cette jolie découverte dans le cadre d’une masse critique. Il est sorti le 29 mars.



C’est l’histoire de la petite Rose qui, lasse de voir ses parents se déchirer, a décidé d’aller vivre chez son papy. Affaire conclue avec les parents, Rose restera chez lui jusqu’aux grandes vacances. Mais la vie avec ce vieux papy solitaire qui a ses petites habitudes et a oublié les contraintes de la vie active, ne va pas être de tout repos.



De l’autre côté, Papy, malgré sa joie, n’a pas mesuré tout ce que l’arrivée de Rose implique dans son quotidien. On va donc les observer se bousculer et chercher leur place dans huit scènes de vie cocasses et bourrées de tendresse.



C’est une BD aux couleurs de la vie et chaque scène suscite ses émotions . Si Rose a un peu bousculé son papy, au bout du compte on dirait bien que ça lui a donné un coup de jeune.



L’histoire prône des valeurs de savoir vivre et de respect et aborde, outre la force des liens familiaux intergénérationnels, la douleur de la séparation pour l’enfant et celle de la solitude qui accompagne souvent la vieillesse.



Cette BD ressemble à celles que je lisais dans mon enfance et que m’offraient mes parents dès que j’avais de bonnes notes. Les dessins sont tout en douceur et en nuances, et les couleurs sont lumineuses . Et top du top, les planches sont imprimées sur du papier de qualité, brillant, épais et super doux au toucher.



Ça faisait longtemps que je n’avais pas revisité le monde de la BD et ça m’a fait un bien fou. Je crois bien que moi aussi je viens de prendre un sacré coup de jeune.

Merci à Babelio et à Bamboo Edition pour m'avoir permis de recevoir "Mon Papy Titanic".

Rose est une petite fille déterminée : elle n'en peut plus d'entendre ses parents se disputer, alors elle décide de partir chez son papy. Ce grand-père l'accueille et lui permet de s'installer dans la chambre qu'a laissé sa fille, la maman de Rose. Qui doit avoir mon âge parce que sur les murs j'ai reconnu un peu la déco de ma chambre d'ado, sans parler de la robe de sa période gothique que Rose déniche dans le placard : un joli clin d'oeil à ma génération.

Le grand-père de Rose est très occupé : il est en train de monter une maquette du Titanic, toute une aventure quand on a une petite fille qui demande de l'attention, et une joyeuse bande de chatons.

L'histoire de cette petite Rose et de son chouette grand-père est très touchante. Cette bande-dessinée est une très belle découverte. Mon fils de 8 ans l'a lu aussi : il est, tout comme moi, très impatient de découvrir la suite (et oui, "tome 1" plein de promesses !).

Les aventures touchantes de ce grand-père et de sa petite m'ont donné le sourire, et une sacrée dose de tendresse.

Avec Hercule Poireau et la Commissaire Magret... on indique le ton d'emblée. On est dans le second degré (et même plus), humour et dérision au programme. Avec un dessin qui rappelle le Walthéry des années 60-70.



Le titre du tome 1, les 10 petits chefs, ajoute une strate de plus au côté pastiche. And then they were none... conclut la BD. Falzar reproduit en effet assez bien le contexte du roman d'Agatha Christie, mais il transpose à la montagne où une tempête de neige et un sabotage isole le restaurant où se déroule le tournage d'une célèbre émission de téléréalité, regroupant 10 chefs. Ce sont les gagnants des 10 premières éditions d'une émission culinaire. Mais ils se font éliminer à leur tour, le crâne fracassé par le trophée gagné in tempore non suspecto.



Poireau et Magret (liés par une relation fils-mère...) ont fort à faire pour trouver le coupable et on peut se dire au terme de la BD que le guide aux étoiles va se trouver bien vide lors de sa prochaine édition... Par contre, Falzar joue habilement avec le lecteur en évoquant la "solution" du roman qu'il pastiche... mais... chut... n'en disons pas davantage.



On passe un bon moment. Cela n'atteint pas des sommets, mais le coup de crayon est net, assuré et le récit bien mené.

Fan de Zidrou, j'ai tout lu de lui et de ses participations.

Ici, une adaptation d'un roman.



Que je n'ai pas lu. Que je lirai sans doute.



Je n'ai pas adoré mais j'ai passé un bon moment avec le Fakir et ses histoires mirobolantes!

Merci aux éditions Jungle et à Babelio pour cette découverte.



Une adaptation du livre très connu, que je n'ai pas lu, en BD par le plus que fameux Zidrou.

J'ai un peu été déçue. Zidrou nous a habitué à un chef-d'œuvre à chaque tome. Ici il s'agit d'une BD sympathique, on passe un bon moment mais ça manque un peu d'envergure et de profondeur. Il n'y a pas vraiment de chute avec les électrochocs, le voyage initiatique est un peu rapide.

Le récit a un rythme effréné avec de multiple rebondissements, on n'a pas le temps de s'ennuyer, on voyage, c'est varié, il y a beaucoup de rencontres, c'est drôle. C'est distrayant. Le fil rouge est une course poursuite avec un taximan bafoué. Ca ne permet pas d'avoir plus de profondeur (on a l'impression de survoler les événements) mais de faire le liens pour ne pas avoir juste une liste d'évènements. La fin est très entendue, pas de surprise, ce qui va très bien avec la légèreté du récit (malgré des sujets parfois très sérieux).

Aja est un personnage attachant et sympathique. Malgré qu'on le suive tout le temps et un passé raconté, on n'a pas l'impression de bien le connaitre, on en voudrait un peu plus.

Les dessins sont vitaminés avec des couleurs vives, bien réalisés. J'ai beaucoup apprécié les personnages en fond dans l'aéroport. On y voir plusieurs fois Blanche-Neige, il y a aussi Poutine, Sarkosy, Trump...



Une lecture agréable et distrayante mais qui ne restera pas dans les annales, et encore moins dans les meilleurs tomes de Zidrou.

Rose en a assez des disputes incessantes de ses parents. Elle va se réfugier chez son grand-père, qui vit tranquillement en faisant des maquettes de bateaux. L'arrivée de Rose va bouleverser sa vie. Grand-père un peu atypique, mais sympathique, il va vivre quelques aventures assez surprenantes avec sa petite-fille. Tendresse et émotion pour cette bande dessinée au trait doux et réaliste. La bouille du grand-père est irrésistible.

Une belle BD, générationnelle, qui donne le sourire.

Agacée par les disputes à répétition de ses parents, la petite Rose prend la fuite pour aller s'installer chez son grand-père. Vivant seul depuis la mort de son épouse, il est actuellement très concentré sur la construction d'une grande maquette du Titanic. La venue de sa petite-fille, qu'il adore, va bouleverser son petit quotidien tranquille et l'emmener dans d'incroyables aventures.



C'est une bande dessinée pour les enfants, à partager avec la famille évidemment, très mignonne et drôle. Les deux complices ne sont pas les derniers pour faire des bêtises, mais trouvent toujours le moyen de rendre l'expédition joyeuse et amusante !



À partir de 8 ans.

Le découpage et le graphisme ne sont pas les points forts de cette bd, cependant elle possède de sérieux atouts: sa fraîcheur et son humanité. Les histoires de cette famille nombreuses sont intéressantes. On s'attache surtout à Margot, une petite fille qui aime un chien de gouttière surnommé "sac à puces" mais qui est refusé par la famille ce qui donne lieu à de multiples péripéties.



Chaque personnage a sa personnalité ce qui confère un peu de caractère à cette bande dessinée. C'est une bd familiale qui est dénuée de toute niaiserie. A conseiller par conséquent.

Dans un chalet de montagne, en plein hiver, se déroule le tournage de l'émission culinaire "Chef ! Oui Chef !".

Mais, alors que la tempête se déchaîne et que le téléphérique est bloqué, les dix candidats de l'émission sont assassinés les uns après les autres...

Bonne parodie des "Dix petits nègres" d'Agatha Christie, des dessins soignés, une satire des émissions télévisées actuelles ... de quoi passer un bon moment avec cette bd sans prétention.

Trouvé à la bibliothèque ce soir.

Pauvre Camille, elle doit quitter Paaaaaaris pour aller vivre avec son Papa en Belgique, à Liège même!

Oufti!!

Chouette découverte, préface de Pierre Kroll, un hommage assez touchant à Liège et ses merveilles.



Deux trois clichés mais un vrai chouette moment!