Kaito

À la hauteur du premier selon moi, les dessins sont toujours aussi beau et l'histoire continue son court tranquillement, c'est une histoire sympas sans grand suspense mais qui est toujours plaisante à lire! Hâte de me procurer la suite pour savoir tout de même ce qui s'y passera et continuer de voir l'évolution de ces personnes tout de même très attachants!

J'avoue que j'ai mit du temps avant de me lancer dans cette série parce que comme toutes les séries que tout le monde adore je suis dubitative.

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Bon alors c'était bien mais pas tant que ça.

Avant de sortir les fourches et mes piques laissez moi vous expliquer.

C'est une histoire qui commence bien, c'est super bien dessiner l'intrigue est fluide mais la seule particularité de ce manga c'est qu'il y a des persos LGBT.

Presque tout les personnages sont supers mais l'histoire bah c'est du classique shojo. Toma et Taichi sont vraiment cool (Taichi me rappel un peu le perso principal de His Favorite ) et Masumi est pour moi le meilleur personnage du manga. Mais y a rien de transcendant dans cette histoire. C'est bien, on passe un bon moment mais c'est pas mon manga préféré pour autant. Vraiment j'ai trouvé que l'intrigue était banale. Et puis honnêtement le personnage de Futaba Kaze, c'est la fille qu'on trouve dans la plupart des shojo et je n'aime pas ce genre de personnage...

Enfin, je voulais vraiment le trouver aussi génial qu'on me le vendait mais c'est juste un bon manga pour moi. Je pense que je lirai les tomes suivant à l'occasion.


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Bien que j’ai apprécié ce tome 7 j’ai eu un peu plus de mal avec l’histoire. Probablement du au fait qu’on se concentre sur certaines discussions complexes. Si j’ai eu un peu de mal c’est peut-être aussi dû au fait que cela faisait un moment que je n’avais pas lu le sixième tome et que d’une certaine façon j’avais un peu décrochée de l’histoire. En tout cas je continuerais.

'' Tout ce qu'on veut, c'est rester près de ceux qui nous sont chers, sans rien détruire au passage. Tout ce qu'on veut c'est aimer. ''



Un nouveau tome splendide pour Blue flag. Sans surprise, le manga continue bien sur sa lancée, et même s'améliore au fil des tomes. Ici, l'histoire se concentre sur la réaction des personnages sur la révélation de l'homosexualité de Toma. On y parle également du rapport homme / femme dans la société. Les hommes féminins, les femmes masculines, la représentation du corps par rapport aux autres : un homme doit paraître fort et une femme délicate ? Oui pour certains personnages, foutaises pour d'autres. La révélation de la sexualité de quelqu'un doit-elle changer l'image qu'on avait de cette personne ? Chaque point de vue est développé, même si on n'est pas d'accord avec. Pendant ce débat sur la sexualité, le corps et les représentations, Taichi reste en retrait. Il est spectateur de cette discussion et ne semble pas vouloir intervenir mais il est pourtant clair qu'il est très attentif. Mais il ne semble pas savoir comment réagir par rapport à la déclaration de son meilleur ami.

Une réflexion est portée sur la sexualité, l'amitié : doit-on toujours être d'accord avec ses amis ?

Le point de vue de Toma à la fin du livre m'a tellement ému ; il montre pourquoi il a choisi de ne pas se déclarer avant et choisi de s'éloigner un peu de Taichi : il avait l'impression de ne plus réussir à le faire sourire.



Une fois de plus, j'ai hâte de lire la suite !

Nouveau tome, nouveau coup de coeur ! Ce tome est un concentré de punchlines qui frappent juste et assoient encore un peu plus l'excellente réputation de la série.



Après la bagarre impliquant Tôma et la déclaration de celui-ci à Taichi dans le tome précédent, il était nécessaire de revenir sur ces événements. Kaito le fait avec une force et une subtilité rare, décortiquant avec justesse les visions et interprétations de chacun. C'est rare de voir un auteur oser donner la parole à toutes sortes d'opinions, même celles qui s'opposent radicalement, sans porter le moindre jugement mais en leur offrant juste un espace et en les confrontant pour nous pousser nous à réfléchir. C'est magique !



Je sais que certains ont trouvé qu'il ne se passait pas grand-chose dans ce tome, mais moi, je pense tout à fait l'inverse. C'est au contraire un moment clé où chacun se retrouve libre de s'exprimer, où des abcès sont crevés, où des doutes sont exprimés, où la parole est libérée ou sur le point de l'être et c'est du coup extrêmement touchant.



L'auteur condense ici l'ensemble des thèmes qu'il avait déjà abordé : la vue genrée du monde et des relations, les notions de coming-out et d'outing, l'importance de l'amitié, la nécessité de communiquer et de laisser la place aux autres pour s'exprimer, les ravages des rumeurs, le harcèlement et ses conséquences, le droit d'être différent et accepté pour autant, etc. C'est extrêmement riche et ce fut impossible pour moi de rester insensible face à cette multiplication de scènes clés.



L'auteur a ouvert la place à tout un tas de personnages qu'on pouvait croire secondaires jusqu'à présent en comparaison du trio de tête mais qui se révèlent essentiels pour leur évolution. On a ainsi droit à un moment très fort où l'ensemble des amis de Tôma font part de leur opinion après sa révélation, un moment riche en expression d'opinions divergentes sur les relations et les gens, qui m'a pris aux tripes. Il y a ensuite le versant Futaba/Masumi/Mami, que j'ai trouvé plus faible parce que je n'accroche pas trop à la passivité de Futaba, en revanche les deux autres m'ont assise également, ensemble et surtout séparément. Les grands absents sont donc Taichi et Tôma, spectateurs de ce qui se passe après en avoir été les acteurs. J'ai été touchée par leur maturité les quelques fois où on les a vus, ils prennent vraiment le temps de laisser décanter les choses. Mais j'attends quand même la confrontation. Celle entre Tôma et son frère, elle, quoi qu'un peu bavarde, était très émouvante, l'autrice mettant très bien en scène la relation particulière de ses deux frères qui se sont retrouvés orphelins trop tôt.



Ajoutez à toutes ces qualités, une mise en scène millimétrée de l'auteur pour qu'elle soit le plus impactante et percutante possible, et vous comprendrez mon coup de coeur ! J'ai eu ici tout ce que j'aimais, une vraie prise de risque graphique mais également une grosse charge émotionnelle et des réflexions pertinente sur la vie, le tout dans la tolérance des opinions diverses de tout un chacun. Superbe !
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cette série ne me déçoit décidément pas une seconde! si je devais citer des passages clés de ce tome, je serais obligée de citer presque toutes les pages.

la série continue sa série de réflexions sur l'amour, la normalité, la sexualité, l'hétérosexualité, l'homosexualité et l'amitié.

c'est très profond et ça nous laisse comme à chaque fin de tome sur notre fin! On en veut plus, tellement plus! vite la suite!

Ce tome, plus explicatif, est moins intense que le précédent. Les personnages vont profiter de se retrouver pour parler ensemble et trouver des réponses à leurs questions.



Alors que Tôma est à l’hôpital, Taichi et Futaba surprennent la violente dispute qui l’oppose à son frère Seiya. Ce dernier, très inquiet car il ne comprend plus son frère, demande à Taichi d’enquêter. Il veut savoir pourquoi Tôma ne veut pas faire d’études, et s’il a un plan pour l’avenir. Les deux amis vont donc parler ensemble. Futaba va également se livrer à Tôma et comprendre réellement ce qu’elle ressent.



Ce qui est intéressant, dans ce tome, c’est que les interrogations qu’un personnage a sur un autre va le pousser à s’interroger sur lui aussi. Ainsi, quand Taichi demande à Tôma pourquoi il arrête ses études, il se rend compte également que lui-même est perdu face à son avenir. Ces questions des études supérieures et de l’importance du choix, qui vont définir la vie d’adulte, semblent très angoissantes pour tous surtout qu’elles impliquent forcément une quête d’identité. De quoi retourner encore nos personnages qui ont assez de mal à trouver leur voie.



J’aime beaucoup Tôma dans ce tome, il se livre un peu plus ici. Il semble cacher une très grande souffrance derrière ses sourires, bien qu’on se doute de ce que c’est. Il est touchant et son ambition d’avenir est bien compréhensible !



La fin du tome, avec les feux d’artifices, est très jolie ! Ça annonce un gros bouleversement pour la suite du manga, et sans doute des révélations. Comme toujours avec ce manga, c’était vraiment bien, avec une belle construction, notamment à la fin. Il me tarde de lire la suite !

Je continue ma lecture de cette série avec ce second tome, que j’ai également beaucoup apprécié. La couverture, toute simple, est toujours très belle et annonce un tome plutôt joyeux.



En effet, on retrouve donc nos trois personnages principaux faisant face d’une part aux examens, et d’autre part à la fête sportive de l’école. Cette fois, on se concentre plus sur Tôma et sur Masumi, avec toujours Taichi en personnage principal. Alors qu’on leur demande de réfléchir à leurs choix universitaires, Taichi apprend que Tôma ne veut pas aller à l’université et qu’après le lycée il cherchera sans doute du travail. Cette révélation est assez incompréhensible pour le jeune-homme qui ne comprends pas pourquoi Tôma ne fait pas ce qu’il avait prévu, à savoir continuer dans le sport… Il fait également face à Masumi, l’amie un peu froide et discrète de Futaba qui a l’air de bien connaître Tôma. Elle se pose beaucoup de question sur l’amour hétérosexuelle et homosexuelle, on sent qu’elle est totalement perdue. Elle semble être amoureuse de Futaba en cachette, et de souffrir beaucoup de pas vraiment savoir ce qu’elle est.



Le trait graphique est fin, les dessins sont simples mais toujours détaillés et harmonieux. On sent qu’une attention particulière a été donnée aux expressions du visage, notamment à l’intensité du regard. Les personnages en paraissent d’autant plus réalistes, ce qui m’a beaucoup plu !



Ce tome se poursuit doucement, avec une certaine légèreté. Si l’ambiance est à la fête et au dépassement de soi, c’est aussi l’occasion pour le mangaka d’approfondir ses personnages. On sent également que l’histoire va prendre un tournant sérieux dans les prochains tomes. On peut le voir avec la fin qui m’a totalement surprise ! Ah, je ne sais pas quoi en penser à part un grand « non ». Il me faut la suite de toute urgence !

Je remercie les Éditions Kurokawa pour l’envoi de cette lecture. Aalalaa, Blue flag, un manga dont je suis tombée amoureuse il y a un environ un an. Depuis, je suis impatiente à chaque fois de découvrir le dernier tome !



Pour nos personnages, c’est l’heure de réfléchir à leur orientation, à ce qu’ils veulent faire après le lycée. C’est ainsi que Futaba va dire à Taichi ce qu’elle a sur le cœur. Ils vont aborder le sujet de l’université et de leur choix. Elle voudrait aller quelque part en particulier, mais d’un autre côté, elle n’a pas envie d’être loin de son copain.



À côté de cela, Taichi croisera Tôma et ce dernier va se comporter de manière de plus en plus étrange envers lui. Au point que Taichi commence réellement à se poser des questions sur son ami.



Ce tome est intéressant, même si pour l’instant c’est celui que j’ai le moins préféré de la saga. Ici, ce manga sert plutôt de transition pour la suite de la saga. Par compte je vous préviens, comme toujours avec ce manga, la fin est une vraie torture pour ceux qui n’ont pas la suite sous les mains.



En bref, c’est un tome un peu plus lent par rapport à ce que nous a habitué la saga. On apprend pas mal de choses, mais je suis impatiente de voir ce que nous révèlera le tome suivant !
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Manga que j'ai acheté parce que la libraire m'a dit qu'il me plairait. Il n'est pas publié aux éditions Akata. Ça aurait pu, car il questionne la question des genres et est ancré dans la société de façon réaliste. On est dans une tranche de vie lycéenne, sans volonté d'enjoliver (y compris au niveau des dessins : les élèves ne sont pas tous beaux, bien dans leur peau...). Le cadre est réaliste. Cette série est publiée en France par les éditions Kurokawa.

Bizarrement, je rapprocherais bien ce manga de "Beastars", à la différence que les personnages de "Blue Flag" ne sont pas représentés comme des animaux, mais bien comme des humains. En revanche, Futaba Kuze est tout de suite rapprochée du hamster, et les trois autres personnages principaux (la meilleure amie de Futaba n'est pas sur la couverture) ont aussi leur équivalent animalier. On a dans les deux cas une peinture de l'adolescence, du lycée, des premiers émois amoureux.

Ce n'est pas vraiment un shojo : Futaba Kuze est amoureuse de Toma. Comme elle est trop timide pour le lui dire, elle passe par l'intermédiaire d'Ichinose, le personnage central y compris sur la couverture, qui l'intimide moins même s'il se montre froid avec elle.

À partir de là, impossible de savoir comment l'intrigue va évoluer et quelles relations amicales ou amoureuses vont se tisser au fil de la série. On pourrait penser à un banal triangle amoureux, mais ne vous fiez pas aux apparences. C'est suffisamment original pour qu'on ait envie de découvrir la suite.
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☼ Mon avis ☼





Le deuxième tome de cette série, c'était terminer sur une scène qui aurait pu vraiment être dramatique pour les personnages.

Heureusement, le suspens disparaît et l’inquiétude qu'on avait au début s'estompe.

Kaito nous propose encore une couverture saisissante qui révèle l'une des plus belles scènes de ce tome.

Je suis d'ailleurs très contente de posséder une carte décorative de ce magnifique moment qui m'a ému.

J'ai particulièrement aimé la tournure de ce troisième tome qui est plus accentué, sur les remords et la souffrance du héros principal.

Taichi à l'impression de faire dix pas en arrière et de ne pas avancer dans sa vie alors que Toma prend les devants et dévoile de plus en plus ces sentiments.

Quant à Futaba, elle découvre de nouvelles émotions qu'elle ne ressentait pas auparavant, elle se pose de plus en plus de questions.

Je trouve qu'elle a bien évolué même si elle demande encore beaucoup trop de conseil à Masumi.

Elle prend quand même plus d'initiative qu'auparavant et c'est vraiment plaisant à voir.

J'ai été triste de voir que Masumi n'a pas été très représenté durant ce tome.

Les quelques scènes avec elles sont utilisées pour guider Futaba dans sa vie amoureuse et j'ai trouvé ça dommage.

Durant ce volume, nous allons faire la connaissance de Seiya qui est le grand frère de Toma, c'est un personnage qu'on voit encore très peu, mais qui s'impose déjà à la fin du tome.



" Blue Flag " est une série poignante qui touche de nombreux sujets, comme l'amitié, l'amour ou bien les sentiments.

Ce tome n'est malheureusement pas un coup de cœur, car il est trop axé sur l'un des personnages.

Ça reste quand une très bonne lecture en compagnie de ces protagonistes aux grands cœurs.

Je suis quand même impatiente de découvrir la suite, et de voir les relations entre les personnages s'intensifier.
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Blue Flag est un manga riche en émotions et en réflexions pertinentes. C'était déjà un prémice de coup de cœur à la lecture du tome 1 mais ce tome suit sans cesse la voie des précédents tous aussi excellents les uns que les autres. Ce tome est si complet. Il porte sur l'avenir, le couple, le bonheur et l'amour. Attention, pas l'amour avec son côté mielleux plein de roses et d'étoiles. L'amour naissant hors norme. Celui qui trouble car il fait peur et qu'il peut nous faire changer. Mais changer en quoi au juste ? Changer de regard envers soi, celui des autres envers soi. Les personnages de Toma et Masumi sont incroyablement justes. J'aime beaucoup Toma. Vraiment. Ses traits calmes et torturés m'ont profondément touché. Ça nous tord et le tome monte en puissance petit à petit jusqu'à une fin de volume juste déchirante. Que dire ? C'est une superbe série. Vivement le prochain.

Olalala heureusement que j'ai le suivant, mon cœur n'aurait pas pu tenir le coup aussi longtemps à son attente. C'est un tome montagne russe auquel j'ai fait face. Ascenseur émotionnel, donnez-lui un autre nom qu'on serait d'accord dans tous les cas. Ces héros sont forts et puissants dans leurs manières d'être, maladroits mais attachants, perdus mais tout simplement humains. L'auteure sait y faire, y'a pas à dire ! Instant charnier à la fin de l'adolescence, Tai, Toma, Futaba et Masumi sont des héros en quête d'identité et ce tome va droit au but en nous faisant ressentir leurs doutes: Puis-je aimer qui je veux ? Va-t-on m'accepter pour ce que je suis ? Ce que je veux être ? Est-ce qu'au moins, je sais ce que je veux devenir ? Puis-je être heureux(se) ? Philosophique, n'est-ce pas? Pas d'inquiétude, le manga est tellement bien réalisé que vous ne verrez pas cet aspect parfois si injustement dévalorisé. Réfléchir et éprouver ne sont que des actions bien humaines.

Ils sont jeunes, touchants, parfois maladroits.

Ils se cherchent, questionnent leurs sentiments.

Qu’est-ce qu’ils aiment ? Qu’est-ce qu’ils veulent vraiment ? Que vont-ils faire de leur vie ?

C’est beau, joliment croqué, le tout sous fond de feux d’artifices. On en redemande.



Quelle belle couverture, alors qu’on vient de passer la nouvelle année. Elle est si colorée, si plaisante.

J’aime les voir lier par leurs passés, leurs jeux d’enfants, ce lien profond, cette connaissance de l’autre. J’aime voir ces quatre là, ce groupe évoluer, grandir, partager, alors qu’ils ont également d’autres relations à côté.

C’est fou de voir les différences entre eux, comme entre nous. Tôma si solaire. Blessé, il se débrouille plutôt pas mal avec ses béquilles. C’est un peu explosif avec son frère, Seiya. Et pourtant derrière ses sourires, lui aussi se questionne, n’est pas assuré et rassuré sur la direction que va prendre sa vie.

Futaba est touchante, et le fait que ses proches la traitent de bonne à rien n’aide pas, mais c’est sûr qu’avec tous ses ratés, on peut comprendre leur énervement aussi. J’ai aimé cette discussion entre Futaba et Tôma, ce rappel du passé, qui montre bien l’évolution et l’impact des mots.

Nous ne voyons malheureusement pas beaucoup Masumi, sauf à la fin, et quel régal de la revoir.



Ils semblent également qu’il y ait pas mal de prises de conscience. Vivement la suite !
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Magnifique !

Dans ce tome, Taichi a peur que Futaba et lui se séparent à cause de leur choix différent pour les facultés. Il se demande également que compte faire Toma pour son avenir.

Et lui-même ne sait pas dans quelle université aller. Doit-il suivre sa copine, au risque de rompre et de '' gâcher '' son avenir pour un amour de lycée ? Ou doit-il s'occuper de son avenir et s'éloigner de Futaba ?

C'est des choix difficiles et pourtant une part essentielle de la vie des futurs étudiants.

Des sentiments, des non-dits, des révélations fracassantes, ce tome nous fait passer par de nombreuses émotions. On vibre, on pleure, on rit, bref. On aime ! Vivement la suite.

Après une galère sans nom pour que mon tome veuille bien venir à moi, je me suis jetée dessus pour le lire
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Dans ce troisième tome de Blue Flag, on découvre que Tôma a survécu à l’accident, mais souffre d’une jambe cassée. Taichi se sent responsable de son sort qui impacte toute l’équipe de baseball, puisque Tôma est leur meilleur élément. Futaba essaye tant bien que mal de réconforter son ami.



J’ai beaucoup aimé ce tome, bien plus que le précédent ! J’ai (enfin) commencé à ressentir véritablement les émotions des personnages, car le mangaka nous livre des scènes vraiment fortes et touchantes. Taichi est odieux, mais cela se comprend, étant donné les sentiments qu’il s’inspire à lui-même.



Ceux de Futaba évoluent également, elle est confrontée à ce qu’elle ressent de manière cohérente, même si on le sentait venir. Je regrette en revanche que Masumi n’ait pas un plus grand rôle dans ce tome, j’ai l’impression qu’elle sert surtout de guide et de révélateur pour les autres personnages.



On fait aussi la connaissance du frère de Tôma, Seiya, à la fois autoritaire et protecteur. Il est au centre des dernières pages du tome qui, à l’instar du précédent, se conclut sur un cliffhanger, certes moins dramatique, mais qui appelle à la découverte de la suite.



Je commence vraiment à m’immerger dans ce manga et à l’apprécier comme il se doit. Sa véritable force réside dans le caractère de ses personnages et leurs émotions, très réalistes. J’ai hâte de voir ce qu’il va advenir d’eux, même si leur vie n’est pas simple tous les jours…
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Dans ce second tome de Blue Flag, Tôma accepte de diriger le club des supporters lors de la fête du sport à la condition que Taichi et Futaba l’assistent dans sa tâche, au grand dam de ces derniers (et de tout le monde). Ils s’efforcent malgré tout de faire de leur mieux et de passer de bons moments.



J’ai hélas moins apprécié ce tome que le premier. Je trouve qu’il ne s’y passe pas grand-chose de concret, même si le caractère des personnages continue à se développer, tout comme les liens qu’ils tissent entre eux, en décidant notamment de s’appeler par leur prénom.



J’ai toujours du mal avec la façon dont l’histoire est racontée, les scènes s’enchaînent assez vite, et je crois qu’elles ne me laissent pas vraiment le temps de prendre les protagonistes en affection. Quant aux personnages secondaires, je m’y perds un peu, et surtout, je n’accroche pas à leur design plutôt… particulier (je pense surtout aux amis de Taichi).



Néanmoins, j’aime beaucoup les thèmes qui sont abordés dans ce manga. Ce sont tous des lycéens dans une période charnière de leur vie, qui doutent et s’interrogent. Ils ne savent pas forcément ce qu’ils veulent faire, ni même qui ils sont. Leur incertitude est réaliste et soulève des questions que tout un chacun est amené à se poser un jour.



La fin du tome, quant à elle, n’est pas sans m’évoquer une certaine scène d’A Silent Voice. Difficile de ne pas faire le rapprochement, d’autant que j’ai lu la série de Yoshitoki Oima assez récemment. Je me plongerai dans la suite de Blue Flag très bientôt pour en découvrir les conséquences.
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Blue Flag est un manga shonen qui introduit dans ce premier tome Taichi, un lycéen de Terminal qui n’est plus dans la même classe que ses amis et qui retrouve Tôma Mita, une vieille connaissance, ainsi que Futaba Kuze, qu’il ne porte pas vraiment dans son cœur.



Voilà un premier tome fort intéressant ! Même s’il pose assez vite les bases d’un triangle amoureux, chose somme toute assez répandue, c’est un triangle amoureux qui change de l’ordinaire, et qui me plaît énormément.



J’aime bien la façon dont les liens entre les trois personnages principaux se tissent. Taichi ne m’a pas paru particulièrement attachant et Kuze est parfois un peu trop… peut-être plaintive à mon goût, mais sa détermination et l’aide de Taichi lui permettent d’évoluer au fil du tome (en revanche, et en dépit de l’avis général, je trouve que sa coiffure ne lui va pas du tout…)



Tôma m’a paru pour l’heure plus sympathique que les deux autres, et même si j’ai senti venir de très loin un élément le concernant, le mangaka a tout de même fait son possible pour entretenir le suspens et donner le change jusqu’au bout.



En revanche, je n’apprécie pas beaucoup le personnage de l’amie de Kuze, ni la brutalité dont elle fait montre d’entrée avec Taichi qui n’a rien demandé. Cela m’amène au point négatif de ce manga. Si l’histoire me plaît sincèrement, je ne suis pas fan de la façon dont elle est racontée.



Je la trouve un peu brusque dans son déroulement, je préfère les intrigues qui prennent le temps de se poser et où je n’ai pas l’impression de sauter parfois précipitamment d’une scène à l’autre. Quant aux dessins, même s’ils sont très corrects, ils ne sont pas spécialement à mon goût.



Cela reste néanmoins un très bon premier tome, même si j’ai préféré le fond à la forme. Je vais lire la suite avec intérêt !
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Le tome 2 est celui que j’ai le moins préféré, en retombe dans le quotidien lycéen des plus banal et heureusement que la fin rattrape un peu ce volet où je me suis un peu ennuyée.
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