Petite bande dessinée constituée de tableaux assez amusante. Elle reprend des scènes récurrentes du cinéma essentiellement hollywoodien et les détourne (ou pas, c'est selon...). Cela fait sourire, et met en images simples, sans fioritures ni recherche pompeuse les grands classiques des situations blockbustereuses.
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Voici une suite d’histoire courtes qui se moquent gentiment des clichés présents dans presque tous les films, y compris les plus grands . Du policier, au film d’espionnage, du feel good au western, tous les genres y passent.
Les héros qui se séparent dans un film d’horreur, l’inconnu solitaire qui arrive dans une petite ville du far-west, le méchant qui dévoile ses plans, la businesswoman qui revient dans sa ville natale. Et à la fin, une chute inattendue !
Chaque scénette fait mouche et on sent que le scénariste s’y connaît en cinéma et qu’il se moque gentiment de ce qu’il aime passionnément. Les dessins ont l’air un peu simplistes au premier abord, mais on s’adaptent très vite et on s’aperçoit qu’ils collent plutôt bien avec les clichés présentés.
Une BD qui n’a d’autres prétentions que de nous amuser et de nous faire rire. Et c’est plutôt réussi.
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Le dessin est simple, réaliste, avec des un graphisme au traits fins. C’est une suite de petites histoires courtes, d’une page, basées sur des dialogues incongrus, anachroniques, on va y rencontrer Jésus, Ulysse, des personnages mythologique, des vampires, des rois, des fantômes… dans des situations en lien avec leur histoire, leur légende, mais avec des dialogues, des réflexions actuelles, totalement en décalage, absurdes, loufoques, c’est l’humour à la manière de Fabcaro. Certaines situations sont totalement hilarantes, certaines nous font sourire, l’ironie qui se dégage se moque autant de la mythologie que de nous même et se réfère autant à la culture qu’à l’inculture, faisant se confronter les deux, et c’est pour ça que ça fait mouche, Thésée dans le labyrinthe qui se plaint de ne plus avoir de réseau pour son téléphone portable résume bien l’ensemble de cette bande dessinée. J’ai beaucoup ri, à quand un deuxième volume !
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Salade César est une bande dessinée d’humour, constituée de petites histoires se terminant par une chute. Le graphisme est réaliste, en bichromie, dans le style de certaines bandes dessinées de Fabcaro, l’humour est aussi dans le même style, absurde, ridiculisant les personnages, bourré d'anachronismes. Les histoires tournent autour d’un thème général, historique : la préparation de l’assassinat de Jules César.
Jules César est représenté comme un crétin puéril et égoïste, ses adversaires ne valent pas beaucoup mieux, l’humour est potache, mais à travers ces blagues un peu lourdes, Karibou et Josselin Duparcmeur se moquent de notre propre époque : les smiley, les théories du complot… et surtout notre autocentrisme.
Cette Salade César a un goût de franche rigolade.
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Je m'initie au binôme Karibou (scénario) et Josselin Duparcmeur (dessins) avec ce Salade César qui m'a été vivement recommandé alors que c'est surtout grâce à quelques planches de Waterlose partagées sur les réseaux sociaux que j'ai découvert ce binôme.
C'est un recueil de petites anecdotes farfelues où César est dépeint comme un incapable obsédé par sa plastique qui ne propose que des trucs débiles tant comme stratège que comme diplomate. Évidemment, Brutus mène un complot (presque) secret afin d'assassiner César.
Ces détournements sont souvent amusants et parfois même hilarants, il y a du comique de répétition, des anachronismes exquis, des refs loufoques : bref c'est une bande dessinée géniale pour passer un bon moment !
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Jules César : imperator, stratège, génie militaire, vainqueur des Gaules... Oui, mais non, pas ici ! Sous les pinceaux de deux auteurs, le grand Jules est un mec égocentré, à l'orgueil très fragile, plus intéressé par ses pectoraux que par le sort de Rome. « Oh, salut Titus. Tu sais où est César ? / Je lui ai annoncé sa mort prochaine, alors il... il fait des squats. / Tu sais quoi ? J'vais même pas te demander d'explications. » (p. 49) Pour Brutus, il n'existe qu'une solution pour sauver la République : éliminer César. Et c'est parti pour une véritable conjuration d'imbéciles ! Car le fils adoptif de César est hélas entouré d'une belle brochette de crétins. « Dernier point de la soirée : la date de l'assassinat. / Si on peut éviter les mercredis, j'ai pistoche. / Toute la journée ? / Non, mais je vais être courbaturé. » (p. 23)
Si vous aimez l'humour absurde et l'histoire revisitée, cette bande dessinée parodique est pour vous ! Le César de Karibou change de celui de Goscinny et Uderzo : la puissance auguste et la fierté patricienne ont fait place à la bêtise la plus crasse et au nombrilisme le plus hilarant !
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Voilà, je l'avoue, j'ai gloussé à chaque page! Attendez-vous à ne pas pouvoir vous arrêter une fois que vous aurez commencé l'album!
Dessin minimaliste et dialogues cyniques explosifs
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Si je m'étais lancé dans la lecture de cette BD sans en connaitre les auteurs, j'aurais pu croire à du Fabcaro tant la ressemblance avec Zai zai zai zai notamment est frappante.
Et si j'avais adoré l'humour absurde que nous proposait Fabcaro dans Zai zai zai zai, j'ai également adoré la prestation de Karibou et de Josselin Duparcmeur dans Salade César.
Nous allons suivre un César débile au possible et imbu de lui même pendant que son entourage (souvent pas beaucoup plus intelligent) complote pour l'assassiner. S'il y a un fil rouge tout au long de la BD, cette dernière sera composée de différentes scènes faisant entre 1 et 3 pages où l'humour sera de mise.
Cette Salade César aura été savoureuse, et si comme moi vous aimez l'humour absurde, foncez !
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Une bande dessinée mettant en scène un Jules César complétement stupide et épris de sa seule personne, disant tout ce qui lui passe par la tête sans se douter un seul instant du complot qui prend forme derrière son dos. Avec de beaux dessins en noir et bleu, un humour absurde et décalé, ce livre nous fait passer un bon voir très bon moment avec des gags bien sentis et référencés. Une gourmandise à conseiller sans sourciller.
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Cesar est un idiot qui tend vers la dictature et cherche à améliorer son corps (vous avez vu mes biceps), Brutus, son fils (enfin lui n'est pas d'accord) n'est pas d'accord et décide de comploter pour le tuer sauf que ce n'est pas toujours très simple car ses potes ne sont pas toujours faciles à réunir et leur reflexion parfois s'évade. Truffé d'anachronismes, d'absurde, c'est une salade pleine d'humour que nous propose karibou. Drole, délicieusement drôle.
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Très drôle, cette bande dessinée présente un dessin assez simple mais bien réalisé. Tout est noir blanc et bleu clair. César est un dictateur imbécile qui met l'État en péril. Un complot se forme donc pour l'assassiner. Les gags prennent parfois simplement une page ou deux mais on suit quand même en fil rouge ces comploteurs jusqu'au dénouement.
L'humour est notamment basé sur l'anachronisme, on y parle par exemple de smiley, de théories du complot, etc.
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C'est drôle, pas forcément hilarant sur chaque planche, mais on sourit beaucoup. Humour au second degré, assez semblable à celui de Fabcaro (en moins trash).
Il s'agit de dialogues- ainsi que le titre le souligne - farfelus entre des personnages de la mythologie ou de la religion chrétienne.
Le dessin est minimaliste, parfois même répété d'un bout à l'autre de la planche. (toujours idem que Fabcaro) mais l'absurde est roi. Pour ceux qui aime ce type d'humour pas méchant mais lunaire, à lire absolument!
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Étant prof de latin, j’ai été attirée par la couverture qui met en scène Achille confronté à un problème d’ampoule au talon. Ça promettait une relecture amusante des grands mythes.
Le début de ma lecture a été rythmé par des gloussements réguliers dus à l’absurdité des situations : des prophètes qui remettent la parole de Dieu en cause, des mafieux qui sont soumis à un DRH leur interdisant de supprimer leurs employés inefficaces, des héros de l’Antiquité surfant sur le net pour se sortir de leurs inextricables quêtes, etc etc.
Bref, j’ai bien ri mais force est de constater que le livre est à lire à petite dose sous peine d’indigestion et que les derniers gags sentent un peu le réchauffé. C’est drôle mais terriblement répétitif.
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César s'est proclamé Imperator à vie et ça ne plaît pas à tout le monde. Pourquoi ? D'après lui, parce que le peuple est jaloux de ses pectoraux qu'il a si bien entretenus. Vous l'aurez compris ce n'est pas le Jules de l'histoire avec un grand H. C'est un parfait abruti qui ne pense qu'à sa petite personne et qui est pénible à suivre au jour le jour. De plus, à force d'haranguer son fils adoptif, Brutus, celui-ci risque de se retourner contre lui. Le complot est en marche ! Une marche très très lente…
Salade César est scénarisée par Karibou et dessinée par Josselin Duparcmeur. Rien qu'avec la couverture le ton est donné. L'illustre général des forces romaines à dos de poney, absurde et décalé! Un album faisant partie de l'excellente collection Pataquès des éditions Delcourt
Chronique extraite de mon univers consacré à Rome sur Iznéo :
https://www.izneo.com/fr/universe/week-end-rome-en-bd-51
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Cette BD, très surprenante, est construite autour du complot que Brutus élabore contre César. Cela constitue le fil rouge, mais ensuite, ce sont une suite de petites histoires qui se succèdent dans lesquelles César, ce si grand homme, est présenté comme un homme complètement abruti, immature et inculte, ce qui créé des situations absolument loufoques et hilarantes. D'autant que les autres personnages ne sont pas en reste.
Les dessins sont très légers, juste quelques traits; les visages ne sont pas détaillés (pas de bouche ni parfois d'yeux) et pourtant on perçoit leurs expressions; c'est vraiment un concept graphique très intéressant et qui sert à merveille le scénario. En somme, je recommande très vivement cette BD.
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Je rejoins totalement l'avis de NoirDésir. C'est délicieusement con comme genre de BD, et j'ai adoré. On y trouvera une suite de cases aux personnages inexpressifs, aux poses figées et aux attitudes souvent reprises d'une case à l'autre. Rien que des dialogues qui seront envoyés les uns à la suite des autres. C'est très simple et pourtant diablement efficace.
Le petit souci qu'on peut avoir avec cette BD, c'est qu'elle fait appel à plein de codes et connaissances nécessaires, notamment sur la mythologie grecque. Mais les détournements qui en sont faits sont parfaits. Une excellente façon de rire un bon coup en rentrant le soir (la BD n'est pas tellement faite pour être lue en une fois, il vaut mieux la picorer tranquillement à petite dose).
Niveau dialogues, c'est du lourd. Les gags s'enchainent sans se ressembler (parfois deux trois gags exploitent la même idée mais c'est plutôt rare) et surtout arrivent à me faire rire presque à chaque fois. L'auteur a décidément fait très fort. Je ne peux que vous encourager à aller la lire, pour vous faire votre avis sur ce type d'humour. En tout cas moi ça me fait un bien fou !
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