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Critiques de Libon (151)
Jacques, tome 1 : Le petit lézard géant

Suite à une expérience militaire, Un petit lézard se retrouve transformé en grand lézard de 1 mètre de haut, qui marche sur deux pattes et qui parle. C’est une histoire complètement loufoque, burlesque, avec des personnages tous plus bêtes les uns que les autres, tout le monde en prend pour son grade, les militaires, les policiers, les journalistes, les satanistes, les vieux... Le situations improbables s’enchaînent en cascade. Le graphisme est expressif, simple, vivant, coloré. Un bon moment de bonne humeur.
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Animal lecteur, tome 6 : Un best-seller sin..

Voilà j'ai tout lu ce que ma médiathèque proposait sur cette série. Et ce 6ème tome m'a fait beaucoup de bien : c'était un petit divertissement au milieu de lectures un peu arides que je m'impose en ce moment.... et étrangement, même si ça reste toujours un peu répétitif, je m'amuse encore à ces lectures.

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Les cavaliers de l'apocadispe, tome 1 : Maîtr..

Par ces histoires courtes pleines d’une fraîcheur revigorante, Libon livre des récits pas seulement destinés à un lectorat jeunesse, malgré ce que laisserait penser leur pré-publication dans les pages de Spirou. Il ravira les jeunes, certes, mais aussi les adultes qui partagent l’humour bizarre, et pourtant très accessible, de l’auteur.
Lien : http://www.bodoi.info/les-ca..
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Animal lecteur, tome 2 : Il sort quand ?

Une BD pour les fans de BD qui se moque des fans de BD : on se reconnait forcément à un moment ou un autre, et on rit de nos petits travers, de nos tares. J'étais seul quand je l'ai lu, seul mon chat a eu peur de mes bruyants éclats de rire. En plus, le format en hauteur est sympa et original. Cette série, bien que très private joke, est vraiment drôle et réussie.
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Les cavaliers de l'apocadispe, tome 1 : Maîtr..

L'humour est parfois cruel, mais gentiment. Il joue de la surenchère et de l'entêtement des personnages à s'enfoncer dans leurs mauvaises idées. Il fait mouche à tous les coups. Les cavaliers de l'Apocadispe est à n'en pas douter une série vraiment drôle.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Les cavaliers de l'apocadispe, tome 1 : Maîtr..

Le dessin est agréable, les bonshommes ont des tronches originales et particulièrement expressives. Les décors sont pour leur part sommaires et il n’y a pas de raison de les scruter pour dénicher ce détail habilement dissimulé qui génère un deuxième éclat de rire.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Les cavaliers de l'apocadispe, tome 1 : Maîtr..

Excellent dans son ton ironique, dans sa maîtrise des gags en une page (voire davantage), dans ces trois personnages déjantés mais sans trop l’être, Libon livre enfin en format album les aventures d’un trio certainement hors du commun, et à découvrir de toute urgence.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..
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Animal lecteur, tome 3 : On peut pas tout l..

Et hop, voici le 3ème tome, avalé comme les deux premiers : telle une affamée en une seule fois : c'est toujours aussi efficace.

Alors j'ai aussi dans cette lecture découvert quelques subtilité du langage du lecteur de BD, en autre quand il parle d'une lecture segmentée en petit épisode. Une notion qui m'a beaucoup amusée, parce qu'il m'arrive de faire ce genre de remarque dans mes critiques mais pas du tout avec la même arrière pensée....

Aussi, je tiens à préciser que lorsque je dit qu'il est préférable de ne pas lire une BD en une seule fois, cela ne signifie pas - pour moi - qu'il s'agisse d'une lecture de chiottes !..
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Les cavaliers de l'apocadispe, tome 1 : Maîtr..

Les histoires de ce premier recueil ne sont bien entendu pas toutes du même niveau, mais tout le premier tiers de cet album ainsi que la fin de celui-ci sont tout simplement grandioses : de quoi rire à gorge déployée et retrouver une âme d’enfant, le temps d’une saine lecture. L’album parfait vous vivre la rentrée dans le rire et de la dérision !
Lien : http://www.actuabd.com/Tremb..
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Animal lecteur, tome 2 : Il sort quand ?

Ma réaction vis a vis de ce livre ressemble beaucoup à sa couverture : les lecteurs de BD scotchés à la vitrine de la librairie pour acheter enfin le nouveau volume tant attendu. Moi c'est à mon retour de la médiathèque que parfois, je ne peux pas me retenir de me jeter sur certaines BD, et c'est le cas avec celle ci.

Pourtant c'est assez répétitif, et il faudrait que je ne lise que quelques pages chaque jour, pour bien apprécier. Mais c'est plus fort que moi, je ne peux pas me retenir de dévorer le livre en une seule lecture.

Alors comme pour le tome un, parfois je me suis reconnu, parfois beaucoup moins. J'ai souris, j'ai gloussé, j'ai levé les aux ciels, et il me tarde mon prochain passage à la médiathèque pour emprunter le tome suivant.
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Animal lecteur, Tome 1 : Ca va cartonner !

C'est le titre qui a retenu mon attention "animal lecteur"... je trouvais que ça me définissait assez bien.

J'ai d'abord été assez surprise par le format de l'objet : C'est presque la taille d'un demi-livre, qui aurait été coupé dans le sens de la longueur.

Et dès les premières planches, mini déception : ça ne parle que de lecteurs de BD (manga, comics, etc).

Mais finalement, l'ensemble est plutôt très amusant, et souvent assez vrai... malheureusement, je ne suis qu'une "jeune" lectrice de BD aussi je ne me reconnais pas forcément dans certaines situations... mais globalement, je pense que le propos peut être étendu à tous les lecteurs (de livres avec ou sans images).

A suivre donc avec grand plaisir

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Tralaland, tome 1

Déjanté, drôle, servi par le dessin coloré et burlesque de Libon, Tralaland, c’est une variante d’”Alice au Pays des Merveilles”. Benoït se retrouve brusquement dans un univers parallèle où il va rencontrer un loup un peu simplet qui s’appelle bisou et un savant fou dont la tête est transparente. Le propos semble enfantin, mais les inventions sont totalement délirantes, avec des pâquerettes qui rient, des frelons qui vous oblige à faire du tricot, des pirates sans bateau, mais avec une brouette rose… Une lecture sympathique et distrayante.
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Animal lecteur, tome 3 : On peut pas tout l..

3ème volet des histoires de ce libraire spécialisé dans la bande dessinée. C’est vrai, c’est un peu private joke, il faut suivre une peu ce qui se fait dans le monde de l’édition de bandes dessinées, mais c’est vraiment drôle. Moi, j’ai bien ri.
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Animal lecteur, tome 2 : Il sort quand ?

Il s'agit du deuxième tome d'une série humoristique, constituant une compilation de gags en 1 bande verticale, chaque page comprenant 1 bande. Il n'est donc pas de besoin d'avoir lu le premier tome avant celui-ci, mais ce serait dommage de s'en priver. Il se présente sous un format original : demi A4 vertical, avec des bandes verticales (par opposition à l'habitude des strips qui se présentent sous la forme d'une bande dans laquelle les cases se suivent à l'horizontal). Il est initialement paru en 2011, écrit par Sergio Salma, dessiné par Libon. Ce tome comprend 92 strips.



Le personnage récurrent de ces strips est le Libraire. Son nom est prononcé par un animateur de débats télévisés : Bernard Doux, libraire à BD Boutik. Il travaille souvent seul, parfois avec un employé ou avec un stagiaire. Il reçoit régulièrement de nouveaux arrivages, et il doit gérer le retour des invendus. Bien sûr il voit défiler différents types de lecteurs, pas forcément assez à son goût, mais parfois trop d'un certain type. Il arrive que certains gags ne le mettent pas en scène, avec uniquement un lecteur, ou 2 en train de se parler, parfois un père et un fils, une femme et son mari, ou même 2 inconnus. C'est le cas du premier gag où un lecteur évoque l'année 1959, avec la première apparition des Schtroumpfs, d'Astérix, de Boule & Bill, et son chien évoque un autre événement de la même année.



Les gags sont bien sûr orientés sur la lecture et sur le métier de libraire. Cela commence par le titre qui évoque l'attente insupportable au lecteur qui guette la sortie du prochain album de sa série favorite, ou de son auteur préféré. Le lecteur peut également y voir un double sens : tous les gens de l'autre côté de la vitrine se demandant quand le libraire va oser sortir à l'extérieur et qu'il sera à leur merci. Dans les différents gags, Bernard Doux doit souvent renseigner des lecteurs un peu perdus, essayer lui-même de se retrouver dans le classement thématique de plus en plus pointu, supporter les récriminations des clients s'adressant directement à lui, ou se parlant entre eux du bon vieux temps. Il y a plusieurs scènes d'extérieur (en tout cas extérieures à la boutique) que ce soit juste devant, ou dans un parc, dans une chambre, sur un plateau de télévision, et même à la plage.



Libon dessine des personnages caricaturaux, aux expressions exagérées pour mieux faire passer leur état d'esprit et donner plus de force à leurs ressentis, à leurs émotions. Ils ont des gros yeux, des gros nez, des morphologies un peu exagérées et des bouches beaucoup trop grandes pouvant s'ouvrir sur presque toute la largeur de la tête. La dentition est très approximative. Cette approche sert très bien un propos comique. Le lecteur tombe d'ailleurs sur un gag en page 22 qui évoque cette approche graphique. Un monsieur expose ses réflexions sur les dénominations BD réaliste / BD humoristique. Il explique comment tout est enjolivé et idéalisé dans les BD réalistes, et comment la caricature croque les individus de manière juste et expressive dans les BD humoristiques, celles-ci contenant une part plus réaliste que les autres. L'analyse du trait de Libon est toute entière synthétisée dans ces 5 cases. Cela rappelle Pierre Desproges effectuant un résumé de son spectacle au début pour que les critiques le prennent en note pour écrire leur papier, et ne soient pas obligés de rester plus longtemps pour voir le spectacle.



Il y a une dizaine de gags qui reposent essentiellement sur la narration visuelle, soit sans aucun phylactère, soit uniquement pour la chute. Le lecteur peut alors apprécier l'art de l'économie de l'artiste qui raconte une histoire en peu de cases et peu de traits, tout en sachant construire une histoire avec une chute comique. La majeure partie des gags se déroule sous la forme d'une discussion ou d'un monologue. Quelques-uns mélangent des éléments visuels tels que les gestes ou les actions des personnages avec leurs paroles pour arriver à la chute. Les strips comprennent en majorité 5 cases les unes au-dessus des autres. Sur les 92 gags contenus dans ce tome, il y en a aussi une partie qui est découpée en 4 cases.



Une quarantaine des strips se déroulent à l'intérieur de BD Boutik, le reste soit à l'extérieur, soit à des endroits variés. À chaque fois, Libon sait faire comprendre où se trouvent les personnages en un minimum de traits, sans qu'il n'y ait d'incompréhension possible. L'artiste représente souvent les individus en plan poitrine, en train de papoter entre eux. La tenue vestimentaire n'est que très vaguement esquissée : t-shirt, chemise, polo. L'accent est mis sur l'expression de leur visage, exagérée pour mieux faire passer l'émotion. S'il est un peu lent, il lui faut attendre de passer la page 22 pour que le lecteur comprenne le fonctionnement visuel des gags. Il peut alors observer que l'analyse effectuée en page 22 s'applique bien aux dessins de Libon et que ses dessins montrent l'état d'esprit du personnage en train de parler, ainsi que de celui qui l'écoute le cas échant. Les réactions peuvent à de rares reprises s'avérer trop exagérées, mais le reste du temps elles donnent vie au dialogue, elles font apparaître le ressenti des interlocuteurs. Elles suggèrent les intonations de leur phrase. Sergio Salma n'est pas toujours très prévenant avec son artiste, surtout quand il conçoit un gag où il n'y a qu'un seul personnage qui s'adresse au lecteur face caméra. Certes, il y a moins d'éléments à représenter pour Libon, mais c'est aussi plus difficile de rendre ce genre planche visuellement intéressante. La narration visuelle est donc entièrement inféodée à mettre le gag en images, débarrassée de tout enjolivement visuel.



Dans le premier tome, le lecteur a remarqué qu'une partie de l'humour repose sur la fréquentation d'une librairie, et les habitudes qui y sont associées, et une autre partie sur des blagues référentielles au monde la bande dessinée. Bien sûr il retrouve quelques gags sur des thèmes présents dans le premier tome, que ce soit la surproduction, le flux incessant de BD, ou la place grandissante des mangas dans les rayonnages. Mais Sergio Salma sait se renouveler dans ces thèmes avec des gags qui en abordent un autre aspect. En ce qui concerne les mangas, il évoque les habitudes de lecture des japonais, n'hésitant pas à jeter un manga après l'avoir lu, ou leur regard sur la BD franco-belge pour une inversion des stéréotypes, ou encore le libraire qui se résigne à accorder plus de place aux mangas parce que ça lui assure un meilleur chiffre de vente. Le lecteur perçoit bien que l'auteur cherche d'autres angles d'attaque pour ces thèmes, et en même temps ces nouveaux points de vue dressent un panorama plus complet, en confrontant des perceptions et des a priori des différentes parties intéressées, et pas uniquement du libraire ou du vieux lecteur de BD franco-belge.



Le scénariste fait également régulièrement référence à des éléments culturels de la BD franco-belge, généralement facilement intelligibles pour un lecteur de BD. Il cite régulièrement le nom de Raoul Cauvin, considéré comme un des scénaristes les plus prolifiques de la bande dessinée franco-belge, sans le déprécier ou le tourner en dérision. Certains interlocuteurs citent leurs œuvres favorites, soit sur le thème de C'était mieux avant, soit sur celui des vraies Œuvres de BD, par comparaison à la production industrielle de masse. Il est également régulièrement question de la bande dessinée en tant qu'industrie, en particulier le volume de production (environ 5.000 BD / an) qui fait que les libraires n'arrivent pas toujours à se souvenir de tout, mais aussi qu'il s'agit d'une industrie de flux, et de la spécialisation incroyable et toujours plus pointue des séries, pourquoi pas sur les podologues spécialistes du pied gauche (non, ça n'existe pas). Cela amène à des réflexions sur les lecteurs considérés comme des moutons, et sur la BD artisanale ou produite dans des conditions dignes pour les auteurs. Il est bien sûr également question des lecteurs, que ce soit leur incroyable naïveté (celui qui cherche une BD dont il ne se souvient ni du titre, ni de l'auteur, ni l'histoire), des habitudes des collectionneurs (soit désabusés, soit accros à la nouveauté). Sergio Salma se montre un fin observateur des habitudes des lecteurs, sachant monter en épingle leurs travers, sans pour autant les déconsidérer. Au détour d'un gag le lecteur peut également percevoir son réel amour pour ce média : par exemple avec un interlocuteur soulignant que dans une bibliothèque remplie de BD, il est vraisemblable que son propriétaire les ait toutes lues, ce qui n'est pas forcément le cas dans une bibliothèque remplie de romans.



Ce deuxième tome de la série se révèle aussi drôle que le premier. Libon sait insuffler de la vie à tous les gags, même les moins visuels, dans lesquels il n'y a qu'une seule personne en train de parler, s'adressant directement au lecteur. Sergio Salma sait se renouveler, aussi bien pour les thèmes déjà abordés dans le premier tome, que dans de nouveaux. L'amour de la BD transpire dans chaque gag ; les auteurs savent de quoi ils parlent et ils s'amusent à en parler avec dérision mais sans méchanceté.
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Animal lecteur, Tome 1 : Ca va cartonner !

Beaucoup de private jokes, les fans de BD se reconnaîtront sans le moindre doute. Les auteurs explorent le quotidien d'un vendeur de BD. Entre les nouveaux fans et les vieux amateurs, il y a de quoi s'arracher les cheveux. Les dates de sortie, les invendus, les geeks, les collectionneurs, ... bref on passe en revue le microcosme des amoureux du 9è art.



Le dessin correspond bien à ce qui est présenté sur la couverture. L'originalité, toute relative, consiste à présenter le gag verticalement, mais cela ne change rien. Le livre est finalement plus complexe à ranger dans une bibliothèque.



J'ai souri parfois, surtout dans les gags les plus décalé, quasiment non-sens. Mais je ne suis pas fan du tout. Trop décousu, manquant de cohérence.
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Hector Kanon, tome 2 : Un scooter dans la m..

Hector revient ! faite gaffe !..

parce que quelque part, il est toujours aussi... stupide, à côté de la plaque.. à côté de ses pompes...

Mais y a un truc qui le sauve.. il est drôle.. vraiment !

En écrivant ces mots, j'ai des strips, des cases et des histoires qui popent dans ma tête... et donc j'ai un sourire plaqué sur la face, et j'ai le rire qui monte... et en même temps je secoue la tête de consternation...

Pasque y veut bien faire le pauvre...

Il aide... des fois... mais nan...

Pourvu que les jeunes trentenaires soient pas tous comme lui... sinon on est pas sorti de l'auberge! ^^
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Animal lecteur, tome 5 : C'était mieux avant !

Bon... j'avais pris le livre parce qu'il était justement question d'abandonner le format "gag en une planche" pour quelque chose de plus long. Je ne suis pas fan des gags en une planche. Gaston Lagaffe à la rigueur, Gotlib, Gai Luron, cela passe. Mais en général, c'est rédhibitoire.



Ici, tout tourne autour du business du livre. du job de libraire en passant par la grosse tête des auteurs, par le Festival d'Angoulême ou les caprices des lecteurs (qui sont aussi des consommateurs...).



On sourit. Je ne vais pas dire le contraire. A certains moments, même, j'ai pensé "Tiens, on dirait du mauvais Dingodossiers recyclé"... Surtout lorsque les auteurs abordent Angoulême, il y a alors une causticité intéressante, un soupçon de larme de fifrelin de vitriol, que les auteurs font vite disparaître. Pas assez trash à mon goût, alors que le sujet s'y prête. Tout le monde n'est pas Yann et Conrad, Goscinny et Gotlib, Larcenet, Trondheim...



Le découpage est minuscule, le tout est extrêmement verbeux sans être vraiment drôle. Bref, je me suis ennuyé et j'ai souvent décompté les pages. J'ajouterai quel a couverture laisse supposer quelque chose de plus décalé, avec l'intervention de personnages de BD redessiné par l'auteur, et cela m'aurait plu. Déception, aussi, par rapport à des attentes suscitées par la couverture, donc.
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Animal lecteur, Tome 1 : Ca va cartonner !

Humour sans doute "private joke" pour les fans de BD (surtout de franco-belge), mais subtil et drôle, ça fait mouche, on rit et on rit même de nous-même avec nos BD qui s'accumulent au fond de notre bibliothèque, et nos multiples visites dans les rayons de la librairie.
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Animal lecteur, tome 5 : C'était mieux avant !

Tout le monde aura remarqué le changement de format de cette bande-dessinée. Ce ne sont plus des strip qu’on lit mais des planches. Les histoires ont donc le temps de se développer.

Sur la couverture, je vois beaucoup de héros que je ne connais pas. Je m’attendais à les retrouver, mais ils ne sont que subtilement bordés par le nom de lecteurs ou une recherche dans les fonds de la librairie. Il n’y a que le Marsupilami qui reste véritablement égal à lui-même en semant la pagaille.

La bande-dessinée montre que les lecteurs sont nostalgiques. J’adore leurs réactions quand ils retrouvent une BD de leur enfance. Les auteurs poussent le principe du « c’était mieux avant » assez loin. Ils font un petit cours d’histoire du livre, assez drôle, jusqu’à l’ouverture de la librairie.

Je crois que mes pages préférées sont celles avec la frise chronologique. La vérité sur le monde de l’édition et des libraires est montrée avec humour. J’ai encore passé mon temps à sourire, pendant la lecture. Certaines personnes ont dû me prendre pour une folle.

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Animal lecteur, Tome 1 : Ca va cartonner !

Gardant le format tout en hauteur de strip présent dans Spirou. Cela donne au livre un format original. Chaque page raconte une histoire, très souvent qui arrive à un libraire. Ce personnage gère les arrivées des nouveautés et les retours.

J’ai trouvé très drôle de le voir se dépatouiller tant avec ses cartons, que ses stagiaires ou les lecteurs. L’ensemble est caricatural, mais avec tellement de vérité.

Le métier de libraire indépendant est dur et stressant. Le mauvais goût est partout. J’adore toutes les références au monde de la BD, comme Tintin ou Gaston Lagaffe.

Les auteurs montrent qu’il y a une surproduction de bande-dessinée, comme en jeunesse. Cela induit de privilégier la quantité à la qualité. Cette réalité est assez désagréable à réaliser, out comme l’attente toujours plus longue entre deux tomes d’une série. Les différents lecteurs représentés, ce qui permet de s’identifier à l’un d’entre eux. De nombreux aspects de notre société sont montrés et je trouve cela formidable. J’ai envie de lire encore quelques histoires.

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