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Animal lecteur tome 5 sur 7
EAN : 9782800160726
54 pages
Dupuis (10/01/2014)
3.41/5   17 notes
Résumé :
Salma et Libon laissent tomber, le temps d'un album, le format strip pour nous livrer des histoires courtes hilarantes qui constituent un véritable vade mecum de l'édition de bande dessinée. De l'inspiration première du scénariste jusqu'au succès de librairie (ou au pilon, en cas de mévente), en passant par les étapes aussi indispensables que difficiles de l'édition, la promotion, la diffusion, l'impression ou la distribution, les auteurs promènent leur regard acéré... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Animal lecteur, tome 4 : le jour le pilon (2013) qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu avant, mais ce serait dommage de s'en priver. Il s'agit donc du cinquième tome d'une série humoristique, constituant une compilation de gags en 1 ou plusieurs pages, en couleurs. Il est initialement paru en 2014, écrit par Sergio Salma, dessiné par Libon. Ce tome comprend 54 pages de bande dessinée. Il contient 25 histoires de 1 à 6 pages. : 11 gags d'une page, 5 de 2 pages, 4 de 3 pages, 2 de 4 pages, 2 de 5 pages, et 1 de 6 pages.

À chaque nouveau client, Bernard Ledoux entend une petite voix dans sa tête prononcer la réponse sarcastique qui lui brûle les lèvres, alors qu'il énonce à haute voix une phrase polie. Les clients estiment souvent que c'était mieux avant : c'est l'occasion de faire un historique rapide de la diffusion du livre depuis l'invention de l'imprimerie par Gutenberg (en fait non, par les chinois) au seizième siècle. À chaque nouveau client, le libraire doit adapter sa manière répondre, en adoptant un niveau de langage similaire. Les débuts de l'écriture marquèrent symboliquement la fin de la préhistoire : L Histoire pouvait commencer et la connaissance se diffuser, pour que les gens deviennent moins bêtes. En 1965 dans une grande surface, Morris, Franquin et Peyo dédicacent : le petit Simon se fait offrir En remontant le Mississippi qu'il perdra dans un déménagement. Pour passer le temps et varier l'attente, le libraire imagine à quel personnage de bande dessinée lui fait penser chaque client qui rentre dans sa boutique. Après deux mois de léthargie économique, l'arrivée du représentant annonce la rentrée de septembre, quand il vient proposer les nouveautés fin août. Un peintre en bâtiment est en plein travail sur son échafaudage quand il trébuche et tombe à la renverse. Quelles sont les raisons qui peuvent faire qu'une série de bande dessinée s'arrête ou qu'une collection s'arrête ? Un client entre et demande si la série Evangelikon se vend bien : le libraire se lance dans une explication sur la motivation de l'auteur partagé entre ses 2 séries concomitantes. Un jour moins animé qu'un autre, le libraire répond à la question d'un de ses clients : qu'est-ce qui lui a donné envie d'être libraire ? le libraire est en train de ranger un élément para-BD : un Marsu en pierre (9kg) monté sur une queue ressort métallique, peint à la main, tirage limité.

Dans la boutique, un client explique la force de l'effet Madeleine des BD sur lui, au libraire et à un autre client. La grand-messe du festival d'Angoulême impacte aussi bien les auteurs que les éditeurs, les lecteurs, sans oublier les angoumoisins. Un collectionneur s'est fait dérober en pleine rue, une édition originale du Nid des Marsupilamis, dédicacée par l'auteur. Il existe un décalage certains entre les déclarations au micro des participants divers et variés au Festival Angoulême, et ce qu'ils pensent vraiment. Un lecteur vient chercher une BD à la boutique, sur laquelle il n'a que quelques bribes d'information : bonne chance au libraire pour retrouver de quoi il s'agit. Un client régulier de BD Boutik devient un auteur de BD. Bernard Doux prend enfin quinze jours de vacances en Italie avec sa femme, mais il éprouve d'immenses difficultés à se libérer l'esprit de son métier. Les querelles de chapelle entre clients sur le roman graphique, et les écoles franco-belge. Après le départ d'un client, le libraire s'emporte à haute voix contre sa pingrerie. le libraire accompagne un riche client à une vente aux enchères de planches originales. Dans le futur, toute la lecture sera dématérialisée, ce qui ne fait pas rêver tout le monde. Deux messieurs jouent à ni Oui, ni C'était mieux avant. Un client entre dans la boutique pour chercher la bande dessinée idéale.

M'enfin !!! Qu'est-ce qui leur a pris ?!? Cet album se présente au format franco-belge traditionnel. L'une des caractéristiques de cette série était que les tomes se présentent sous forme demi-album (moitié de la largeur normale) avec des gags sous forme de strips dont les cases sont alignées verticalement, les unes en dessous des autres, plutôt qu'alignées en ligne dans un format habituel ou à l'italienne. le lecteur découvre avec surprise (et peut-être exaspération) ce changement hérétique, encore aggravé par le fait que les tomes 6 & 7 sont à nouveau au format initial. C'est foutu : sa collection est dépareillée, défigurée, et ça va être encore plus l'enfer à faire rentrer dans la bibliothèque. Les auteurs ne sont que des iconoclastes sans égard pour ceux qui les font vivre (ou alors ils ont des actions chez un marchand de meubles à monter soi-même). D'un autre côté, le lecteur retrouve bien les thèmes habituels de sa série comique préférée : les questions parfois pas très futées des clients, l'histoire de la bande dessinée (cette fois-ci sous l'angle de la naissance et de l'évolution des points de vente), l'investissement affectif des lecteurs (par exemple dans les dédicaces), le rythme saisonnier (avec la présentation des nouveautés par le représentant la frustration générée par les séries arrêtées, l'incidence de la vie privée et des aspirations des auteurs sur leur oeuvre, les autres produits en vente dans une librairie (le para-BD), l'échelle de valeurs entre les différents type de bande dessinée (cette fois-ci le roman graphique contre le franco-belge).

Le lecteur relève une forme de renouvellent de certains thèmes récurrents, et des thèmes nouveaux. Cette fois-ci : pas de comparaison ou d'opposition BD contre manga, une seule mention de la surproduction, une seule mention du poids des ouvrage à mettre en place. En fait, le lecteur ayant commencé la série au premier tome sourit de connivence au gag sur le poids, encore plus à celui sur les 40 mètres cubes de nouveautés à faire rentre dans 30 mètres cubes d'espace. En fait, il se rend compte qu'il est vraiment accro quand il sourit en voyant les invendus détruits par le pilon (page 44, en se souvenant des gags correspondants dans le tome précédent) et quand il grimace en découvrant page 18 que son libraire préféré est appelé Bernard Dolce Vita, et non Bernard Doux comme dans les tomes précédents. Quel mépris de la continuité ! Vite remis de ce menu détail (plus révélateur de son caractère obsessionnel, que gênant à la lecture), il découvre avec intérêt comment est née la vocation de libraire de Bernard Doux et comment il a acquis sa boutique. Il suit les passages réguliers d'un client devenant bédéaste, ainsi que le regard du libraire sur la qualité de ses albums. Il se rend compte du degré d'implication émotionnel de Bernard Doux, incapable d'oublier la BD pendant ses vacances et il découvre le festival international de la bande dessinée d'Angoulême sous une douzaine d'angles différents, le scénariste mettant à profit ce format différent pour développer des thèmes sur plusieurs pages.

De son côté, Libon met également à profit ce format traditionnel de bande dessinée, de temps en temps pour une mise en page différente : des dessins de la largeur de 2 pages en vis-à-vis (pages 10 & 11), des découpages très réguliers pour mettre chaque scène sur un même plan d'égalité (page avec 8, 9 ou 12 cases de la même taille, très signifiant pour les 2 reportages à Angoulême), un dessin en pleine page (page 36). En outre les gags ou petites histoires de plus d'une page lui permettent de développer un décor ou environnement sur plusieurs vignettes, comme la ville d'Angoulême, ou celle de Rome à l'occasion des vacances des époux Doux. Il peut aussi développer l'impression de mouvement plus facilement sur les cases d'une même bande, comme les petits sauts du Marsu de 9kg avec sa queue en ressort. Régulièrement, il s'affranchit de dessiner l'arrière-plan d'une case ou d'une série de cases, pour se concentrer sur les personnages, et ainsi focaliser l'attention du lecteur sur eux. Leu représentation relève d'un croisement entre l'école de Marcinelle (ancienne commune belge où Jean Depuis a fondé le Journal de Spirou en 1938), et un détourage plus grossier assez caricatural, accentuant fortement l'expressivité des visages. Impossible de résister à l'expression de l'enthousiasme de certains lecteurs, à l'air idiot d'autres, aux mimiques commerciales du libraire face à ses clients, au sourire encore plus commercial du représentant qui vient proposer ses nouveautés, à la tristesse qui se lit sur le visage d'un enfant dont se moquent ses copains, aux angoumoisins fuyant l'arrivée massive des festivaliers, au délire qui s'empare de Bernard Doux pendant ses vacances, voyant des signes professionnels dans tout ce qu'il regarde, etc..

Bien sûr, cette bande dessinée parle toujours plus aux clients réguliers d'une librairie spécialisée et aux lecteurs de BD. Les auteurs font des références régulières aux auteurs et au série, souvent dans les dialogues, mais aussi parfois dans les dessins. Cela commence avec la couverture : l'amateur de BD n'éprouvera aucune difficulté à mettre un nom sur la vingtaine de personnages, même les deux étrangers (Superman et Astro Boy). Au fil des histoires, il est fait allusion à Tintin aux pays des soviets, Voyage en Italie de Cosey, Les Nombrils, François Schuiten, Joe Bar Team, Morris, Franquin, Peyo, Macherot, des héros récurrents (Gaston, le Schtroumpf à lunettes, Buck Danny, Natacha, Astérix & Obélix, Tournesol, leur tête dessinée dans un phylactère, avec un dernier inattendu), le Marsupilami, Kid Ordinn, Olivier Rameau, Les rivaux de Painful Gulch, etc. L'amateur de BD se rend compte que les auteurs ne lâchent pas quelques noms comme ça au hasard, qu'ils connaissent leur affaire, qu'ils ont leur propre panthéon constitué au fil de nombreuses lectures. Bien évidemment, Raoul Cauvin est évoqué au travers d'un album des Tuniques bleues, sinon cet album d'Animal Lecteur aurait paru incomplet.

Malgré la surprise de taille de changement de format de la série, les auteurs restent fidèles à ce qui en fait sa personnalité : gags et monde de la bande dessinée. le lecteur prend le même plaisir que d'habitude à découvrir les difficultés professionnelles de Bernard Doux, et à vor son horizon s'élargir avec d'autres thèmes, et même quelques histoires où il n'apparaît pas ou peu.
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Bon... j'avais pris le livre parce qu'il était justement question d'abandonner le format "gag en une planche" pour quelque chose de plus long. Je ne suis pas fan des gags en une planche. Gaston Lagaffe à la rigueur, Gotlib, Gai Luron, cela passe. Mais en général, c'est rédhibitoire.

Ici, tout tourne autour du business du livre. du job de libraire en passant par la grosse tête des auteurs, par le Festival d'Angoulême ou les caprices des lecteurs (qui sont aussi des consommateurs...).

On sourit. Je ne vais pas dire le contraire. A certains moments, même, j'ai pensé "Tiens, on dirait du mauvais Dingodossiers recyclé"... Surtout lorsque les auteurs abordent Angoulême, il y a alors une causticité intéressante, un soupçon de larme de fifrelin de vitriol, que les auteurs font vite disparaître. Pas assez trash à mon goût, alors que le sujet s'y prête. Tout le monde n'est pas Yann et Conrad, Goscinny et Gotlib, Larcenet, Trondheim...

Le découpage est minuscule, le tout est extrêmement verbeux sans être vraiment drôle. Bref, je me suis ennuyé et j'ai souvent décompté les pages. J'ajouterai quel a couverture laisse supposer quelque chose de plus décalé, avec l'intervention de personnages de BD redessiné par l'auteur, et cela m'aurait plu. Déception, aussi, par rapport à des attentes suscitées par la couverture, donc.
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Ce 5ème volume des histoires d'Animal Lecteur est assez différent des autres tomes. Les 4 premiers volets étaient édités en format vertical étroit, avec des histoires en 1 seule page avec les vignettes se superposant uniquement, ici le format est plus classique, se rapprochant du fameux format A4, avec une présentation en 3x4 vignettes par planche en moyenne. le sujet, c'est toujours le monde de la bande dessinée, vu par un libraire spécialisé. Les gags sont moins désopilants, le ton plus nostalgique et plus didactique, il y a une histoire sur le festival d'Angoulême, une autre sur comment Animal Lecteur est devenu libraire spécialisé, du coup c'est encore plus private joke que les tomes précédents. Pour moi qui ai été bercé durant mon enfance par le BD des années 60-70, j'y ai pris beaucoup de plaisir à y découvrir mes petits travers de lecteur, de consommateur de BD, un plaisir différent de celui des 4 premiers tomes, moins d'éclats de rire, une vision plus réaliste sur le monde de la BD, et sans doute plus destiné à un public de fans.
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Tout le monde aura remarqué le changement de format de cette bande-dessinée. Ce ne sont plus des strip qu'on lit mais des planches. Les histoires ont donc le temps de se développer.
Sur la couverture, je vois beaucoup de héros que je ne connais pas. Je m'attendais à les retrouver, mais ils ne sont que subtilement bordés par le nom de lecteurs ou une recherche dans les fonds de la librairie. Il n'y a que le Marsupilami qui reste véritablement égal à lui-même en semant la pagaille.
La bande-dessinée montre que les lecteurs sont nostalgiques. J'adore leurs réactions quand ils retrouvent une BD de leur enfance. Les auteurs poussent le principe du « c'était mieux avant » assez loin. Ils font un petit cours d'histoire du livre, assez drôle, jusqu'à l'ouverture de la librairie.
Je crois que mes pages préférées sont celles avec la frise chronologique. La vérité sur le monde de l'édition et des libraires est montrée avec humour. J'ai encore passé mon temps à sourire, pendant la lecture. Certaines personnes ont dû me prendre pour une folle.
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critiques presse (4)
Bedeo
19 février 2014
Graphiquement, le trait de Libon maîtrise à merveille les codes de l’humour et ça marche.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BulledEncre
27 janvier 2014
Un ensemble très honorable mais moins hilarant que les premiers albums.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Sceneario
27 janvier 2014
Alors, n'hésitez pas à vous prendre ce tome 5 et à le lire et relire sans modération : ce n'est que du bonheur !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Auracan
09 janvier 2014
Plusieurs séries ont mis ou mettent des auteurs en scène (Pauvre Lampil, Le Gang Mazda, L'Atelier Mastodonte...), Animal lecteur s'intéresse, de son côté, à ce qui se trouve en aval : libraire et lecteurs. Difficile dès lors de ne pas y retrouver l'un ou l'autre de nos travers... observés avec le sourire !
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
La bande dessinée n'a pas toujours existé sous forme de livres, elle est née dans la presse. Dans es journaux, i y a des colonnes et des bandes. Certaines, en dernière page, ne sont pas écrites. Elles sont dessinées. Nous sommes fin du XIXe siècle. Partout dans le monde, la presse propose des suppléments avec des gags, des strips. L'actualité est souvent terriblement déprimante. Heureusement pour garder le moral, il y a de la BD. C'est là que sont nés les premiers héros. Suite logique, on va créer des journaux pour la jeunesse. La BD y aura une place privilégiée. Magazines vendus en kiosque. Du rire, de l'aventure, de saines lectures passionnantes. Et surtout des histoires découpées en tranches hebdomadaires, ponctuées de la célèbre formule : à suivre.
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Je n'étais jamais allé dans une salle des ventes. Assister à des enchères dans une magnifique salle, avec un commissaire-priseur, c'est quelque chose. J'accompagnais un client de la librairie. Un client fortuné qui avait des vues sur des éditions originales. C'était fou. De simples albums populaires mais que le temps a rendus précieux. La BD est maintenant installée dans le marché de l'art. En entendant les montants atteints, on comprend mieux pourquoi on appelle ça l'âge d'or.
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Milieu du XVe siècle, étape essentielle, Joannes Gutenberg invente l'imprimerie. Les livres allaient enfin pouvoir être diffusés largement. La population allait enfin quitter les âges obscurs de la barbarie pour accéder à la culture. Bref, les gens allaient devenir moins bêtes (enfin, pas tous).
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Un client ?! Non, le représentant qui vient proposer les nouveautés de la rentrée. Moment capital fait d'espoirs et d'ambition où l'on découvre le programme. Discours bien rodé ponctué de la fameuse phrase aux accents si prophétiques : vous m'en prenez combien ?
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À huit ans, j'ai eu une rougeole d'enfer. Je suis resté au lit trois jours. Ma maman m'a offert des BD pour me faire patienter. Un Kid Ordinn de Tibet, et deux ou trois Olivier Rameau de Dany. Un Boule & Bill aussi. Ça s'est imprimé, gravé là. Chaque fois que je reprends ces quatre ou cinq livres, je ressens la chaleur des draps, l'odeur de lait chaud, le parfum de ma mère. Puissant !
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Video de Sergio Salma (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Sergio Salma
Rencontre avec Libon, auteur de BD, créateur de Jacques le petit lézard géant, Tralaland, Hector Kanon, d' Animal Lecteur avec Sergio Salma et de Sophia avec Capucine. Entretien réalisé pour le 9e festival de la BD 2011 de Massillargues-Atuech par Zoom La Rue.
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