Citations de Lorelei C. (217)
J'observe cet écran, ce verre, peu importe… Ma main s’immobilise puis serre le manche du miroir, mais au lieu de voir ma tignasse, de voir mes yeux…
Mon putain de reflet…
Je vois une brune ! Bordel, je vois une nana brune dans mon reflet !
À nouveau, je secoue la tête en fermant les yeux, je débloque complètement. La fatigue me donne des hallucinations !
Je veux vivre !
Vivre au-delà des espérances, au-delà des limites de l’indécence.
Vivre pour crever serein.
Vivre pour aimer.
Vivre pour baiser.
Vivre pour ressentir.
Ressentir la vie.
Je la veux ELLE !
— Je veux que tu aies mal. Pas pour rien. Seulement, je veux que tu puisses imaginer ce que j’ai pu ressentir quand Deaclan m’a appelé tout à l’heure ou quand je t’ai vu devant la porte de la maison le soir où tu t’es battu.
Je puise dans mes réserves, grogne de douleur, mais lève le menton pour l’observer.
— Tu es mon fils. Tu doutes depuis tellement de temps que je t’aime ou de ce que je désire pour toi ! Tu es à mille lieues de la vérité. Je donnerais ma vie pour toi, Jace. Tout ce que je fais depuis que j’ai su que j’allais être père, c’est pour toi et uniquement pour toi. Sauf que tu es aussi stupide que moi à ton âge.
Mon cœur s’emballe, l’adrénaline remonte en flèche. Je suis vidé.
Moralement. Physiquement. Émotionnellement.
— Tu es amoureux de Nila. Tu l’aimes autant que j’aime ta mère. Je le sais.
— Tu es un mystère pour moi, Nila. Parfois, tu sembles inaccessible… comme à la patinoire. Au lycée, tu deviens invisible. Ici, chez toi, avec moi… tu brilles, voles…
On se parle sans oser se dire les choses. Les sentiments, les mots sont tus. Ils meurent au coeur d'un brouhaha ambiant pour ne jamais être divulgués. Parce que l'aimer m'est interdit, parce que la désirer m'est proscrit, pourtant c'est ce que j'éprouve.
Je t'aime, putain. Je t'aime.
— Le regret... Tu connais ?! Ce sentiment qui te ronge. Qui te bouffe autant qu'il le peut pour finalement te tuer à petit feu. Il s'immisce en toi et c'est lui qui finit par te dicter ta conduite ou alors les mots qui sortent de ta bouche.
Le regret… Tu connais ?!
Ce sentiment qui te ronge. Qui te bouffe autant qu’il le peut pour finalement te tuer à petit feu. Il s’immisce en toi et c’est lui qui finit par te dicter ta conduite ou encore les mots qui sortent de ta bouche.
Tu n’es pas comme ça ! Bats-toi ! Pour elle. Pour toi. Pour vous !
Ce sont peut-être mes derniers instants, mais ils seront avec elle. C'était ce que je voulais. Vivre sans elle, c'est mourir. Alors mourir en allant la chercher, c'est vivre de la meilleure des manières.
Aux yeux du monde, je ne suis personne. Pourtant dans mon monde, je suis le fils du Diable. Et ce Diable, il est craint, respecté.
Notre amour sera plus fort que ce poison qu'est la vie.
L'être humain se délecte de te pourrir le cerveau.
La vie est à nous, ne l'oublie pas.
Le récit de Doriane et
Luca est lumineux
En un instant, ils viennent
de signer le pacte de leur
vie.
Il représente ce « nous ».
La terre n’est pas assez
grande pour nous deux.
Pas d’âge pour être
présent et aider celui que
l’on considère comme son
double…
Parce qu’il n’y a pas d’âge
pour aimer, pour s’occuper
de quelqu’un…
Cet homme à un pouvoir
sur moi,
J’ai toujours voulu créer
ma famille, avoir un bébé
avec lui, mon Ladro.