Mérida Reinhart

Mitigé



Une histoire sympa assez bien écrite mais je n'ai pas plus accroché que ça mise a part le sgiba inu qui m'a plus, les personnages sont banals un humour pour ado de 14 ans et une histoire sans surprise qui en conclusion se termine en une histoire d'amour entre le patron et son employé

Bien que n'étant pas fan d'Alice au pays des Merveilles, la lecture fut assez divertissante. La réécriture de l'histoire montre de nouveaux aspects de Wonderland et rend certains personnages plus attachants. La romance entre Alais et le chapelier est assez inattendue mais très belle.

Fin de partie est un roman de Mérida Reinhart, qui paraît le 15/11 aux éditions Magic Mirror.

Ce texte figure dans la collection Bad Wolf : du côté des méchants des contes.

J'ai eu le plaisir de recevoir ce texte en service de presse, et j'en remercie beaucoup l'éditeur. Ca a été une très très belle lecture.



Est-ce parce que j'aime beaucoup les réécritures de conte ? Oui, certainement. Encore plus quand elles fonctionnent bien.



Fin de partie nous emmène à Wonderland, auprès du personnage d'Alaïs, floutirière. Elle sait amadouer les fleurs, les cueillir comme il faut, et les coudre ensemble pour créer des pièces de vêtements originales et uniques. Un jour, elle reçoit une commande du Roi Rouge en personne... pour créer la robe de noces de la Reine Blanche. La robe doit être la plus belle possible, seul gage de paix entre les royaumes.

Mais tout déraille...



Fin de partie est un conte; on y retrouve tous les codes. Il reprend également les éléments phare du roman de Lewis Carroll, Alice de l'autre-côté du miroir : Wonderland, Alaïs (dont le prénom n'est pas sans rappeler Alice), le chapelier, le chat rayé, et le titre lui-même est un clin d'œil au jeu d'échecs du roman originel, pendant lequel Alice rencontre la Reine rouge.



Le roman de Mérida Reinhart est le récit d'une métamorphose. On suit en fait l'ascension de la reine rouge, ce personnage pas trop développé dans l'œuvre de Carroll. Comment expliquer son comportement ? Quelle est son histoire ? Qui est-elle ? Pourquoi le chapelier est fou ? Pourquoi est-il coincé à l'heure du thé ?



Fin de partie répond à ces questions en offrant une interprétation parmi tant d'autres possibles. J'ai complètement adhéré à celle-ci, parce qu'elle est convaincante, bien amenée, forte en émotions, pleine de tensions, tant dans le récit que dans l'écriture tout en contrastes. En effet, on jongle entre légèreté et instants dramatiques, entre blanc et rouge, entre touches rigolotes et cocasses et touches d'horreur...



Finalement, Fin de partie réinterprète un conte en reprenant dans le fond son aspect principal : la quête de soi. Qu'elle s'appelle Alaïs ou Alice, le personnage principal suit son chemin, et apprend; il se découvre, expérimente, forge son caractère, fait ses propres choix - et ses propres erreurs.

Derrière ce récit en apparence fort simple, Fin de partie offre un récit complexe, construit sur une boucle temporelle, et explore des facettes d'un personnage peu développé dans l'œuvre d'origine.



J'ai beaucoup aimé ce roman, fort bien ficelé, je l'ai lu en moins de 24h et j'ai passé un excellent moment de lecture.
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Meryelle se résoud à participer à une nouvelle saison pour se trouver un mari, évitant ainsi à sa sœur de faire trop tôt son entrée dans le monde. Elle croise alors le colonel Jasper Fitzwarren lui apprend que William, le frère de Meryelle, est mort en compagnie de sa sœur, Anna.

J'ai beaucoup apprécié cette histoire qui, en plus de la romance entre Meryelle et Jasper, offre un arriere-plan bien étoffé. Les investigations qu'ils vont menées va les amener à découvrir des choses qui vont mettre leur histoire en péril, les mettant face à un choix cornélien.

On prend vraiment plaisir à ce récit avec ses rebondissements et ses personnages attachants.

C'est un livre prenant, bien écrit et sort des sentiers battus habituels de la romance en offrant un mystère autour de la mort de William et Anna.

J’avais envie de découvrir cette auteure. Elle participait au pumpkin autumn challenge. Elle avait l’air adorable, j’aime les gens adorables. Je me suis lancé le cœur léger dans cette romance historique, d’autant que dans la préface, du roman Merida Reinhart fait preuve de sensibilité. Ses propos m’ont touchée. Cette sensibilité, je l’ai retrouvé dans ses pages, à travers les protagonistes Meyrelle et Jasper Fitzwarren, ainsi que Mabel et la tante, Lady Arabella. Je salue l’originalité des prénoms. Ils sont moins courants, ils sonnent plus authentiques. Ils donnent une touche à l’histoire. J’ai bien accroché avec Meyrelle. Elle est d’un naturel tempétueux. Elle ne se laisse pas faire, mais elle est également juste, loyale. Elle respecte ses valeurs, même si ça risque de la desservir.





Meyrelle est une jeune aristocrate. Elle est l’héritière du domaine familial. C’est sur ses petites épaules que reposent la fortune familiale et leur avenir. Elle n’a qu’une vingtaine d’années et déjà beaucoup de responsabilités. Cependant au bout de 3 saisons à Londres et de nombreuses désillusions, elle veut s’accorder une pause. Elle n’en peut plus de ses gentlemen qui courent après sa rente. Elle rêvait d’amour, mais ses espoirs de trouver le bon parti semblent s’amaigrir de saison en saison. Elle a essuyé les demandes en mariage ainsi que les ragots. Les faux semblants l’ont vite lassé. Cette année, elle fera l’impasse, mais c’est sans compter sur sa mère.

La suite de ma chronique :
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Après mes douloureux adieux à Nevernight, j’ai eu envie de douceur et légèreté. Quoi de mieux alors que de découvrir une nouvelle romance historique. D’autant plus si celle-ci me permet de faire la connaissance d’une plume non pas inconnue mais à des années lumières de ce qu’elle semble proposer habituellement. Peu importe cet écart, j’ai apprécié la première incursion dans le genre réalisé par Mérida Reinhart malgré quelques bémols.



A commencer par un rythme beaucoup trop précipité pour me permettre de plonger totalement au cœur des mondanités et autres festivités réservée à l’aristocratie anglaise lors de la Saison. L’auteure offre ainsi une romance effrénée qui aurait gagné à être quelque peu plus posée et nuancée dans son déroulement. Tout va beaucoup trop vite et je n’ai pas trouvé le résultat des plus convaincant malgré toute sa cohérence. Je n’ai pas au le plaisir de découvrir le jeu de séduction que j’apprécie tant dans ce genre et je le regrette quelque peu. Pour autant et étonnement, si la romance ne m’a pas séduit outre-mesure, j’ai été plus que séduit et intrigué par l’enquête dévoilée au cours des festivités. En effet, William le frère de notre héroïne Meryelle, est mort lors d’un accident en compagnie de la sœur de son séducteur, le colonel Jasper et tous deux chercheront à découvrir la vérité qui entoure cette mystérieuse et tragique disparition. Sans pour autant être de plus recherché et développé se mêle alors un délicieux mélange des genres qui s’allie et s’associe à merveille. Ce choix se veut quelque peu rafraîchissant et permet à l’auteure de se démarquer de ce qu’il se fait communément malgré un manque de développement. Surtout que j’ai été complètement surpris par la conclusion de cette intrigue un brin romanesque et rocambolesque pour être des plus plausible possible. Peu m’importe, cette lecture légère m’a diverti et je n’en attendais pas moins, juste mieux.



Le constat reste identique quant aux personnages de cette romance. Sans pour autant être foncièrement mauvais, ces derniers ne brillent nullement de leur charisme et se dévoilent bien trop ordinaires pour se dessiner attendrissant ou attachant. Même réunis et quand bien même les nombreuses situations cocasses, je n’ai pas trouvé leur soudaine attirance des plus passionnante et savoureuse. Leur alchimie fonctionne mais manque cruellement d’étincelles et de piment. Néanmoins, j’ai apprécié découvrir les caractères opposés de ces nouveaux amants et il serait mentir d’affirmer avoir été complètement déçu. La douceur et la loyauté de Meryelle envers sa Mable sa cadette m’a assez plu et j’ai été sensible à la dimension familiale de ce roman. Tout comme j’ai fort apprécié la détermination dont celle-ci fait preuve afin de découvrir ce qui était arrivé à son frère ainé au risque de briser sa sphère familiale. A l’inverse, notre jeune colonel Jasper se dévoile bien plus sombre et taciturne et j’aurais apprécié bien plus de profondeur et de noirceur dans sa construction.



Néanmoins et s’agissant d’une première incursion dans le genre, Mérida Reinhart offre une romance mignonne et légère à découvrir malgré un manque d’envergure indéniable. J’ai pris plaisir à suivre cette histoire d’amour même si j’avoue avoir bien plus été intrigué par l’enquête venue s’y greffer et qui a permis de maintenir mon intérêt à flot.



Cette lecture a été réalisée à l’occasion de mon partenariat avec les Editions Harlequin via la plateforme Netgalley.
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Aujourd'hui je viens vous parler d'une très charmante romance historique qui a su conquérir mon cœur, me plonger dans un autre temps et me faire m'évader dans l'Angleterre de la régence. Il s'agit de "Une saison" de Mérida Reinhart.

Londres, 1815. Meryelle est confrontée à un choix difficile, laisser sa petite sœur de quinze ans contracter un mariage de convenance, ou se sacrifier elle pour trouver un époux d'ici la fin de la saison. N'écoutant que son cœur et son devoir de grande sœur, Meryelle cède pour protéger Mable qu'elle juge trop innocente et naïve. La voilà donc de nouveau plongée dans le Londres tourbillonnant et flamboyant des bals, des faux-semblants et des hypocrisies. Mais tout vole en éclats lorsqu'elle danse au bras du colonel Jasper Fitzwarren. Non seulement il est séduisant et mystérieux, mais il prétend également en savoir beaucoup sur la mort de William, le frère aîné de Meryelle. De révélations en contradictions, la jeune femme doit-elle se laisser guider par son cœur ou écouter sa raison ?

Ce roman est  un vrai petit bonheur de lecture! La régence anglaise, une héroïne attachante, déterminée, un brin impertinente et ayant un certain talent pour se trouver là où elle ne devrait pas, un héros mystérieux et séduisant en diable, il n'en fallait pas plus pour m'accrocher! Mais l'auteure ne s'est pas arrêtée là et a ajouté du mystère, des secrets de famille, de la passion et du romantisme.

Dès les premières pages, l'auteure de sa plume fluide, précise et très documentée nous immerge dans le Londres de 1815. C'est d'ailleurs assez incroyable comme l'on dirait que le roman a été écrit par une dame de cette époque tant le style est repris jusque dans les tournures de phrases, le vocabulaire employé ou même le comportement des personnages. Rien n'est laissé au hasard et cela est très plaisant à lire.

Au delà de l'histoire que j'ai trouvée très originale et bien écrite, je dois dire que je suis tombée sous le charme de la romance se nouant lentement entre Meryelle et le Colonel Fitzwarren. L'auteure nous parle en introduction de son amour pour Jane Austen et cela se ressent dans les relations qu'elle tisse entre ses deux personnages. Il y a du Darcy et Elizabeth, du Marianne et Brandon et aussi du Anne et Wentworth dans ce couple vraiment grandiose et attachant.

J'ai aimé me glisser dans la peau de Meryelle, danser au bras de ce si charmant cavalier. Ressentir le frisson de sa main effleurant la mienne, deviner son regard posé sur moi, decripter ses sourires, entendre les mots qu'il ne prononçait pas. Je suis comme elle, tombée sous le charme, sans même m'en rendre compte. J'en ai rêvé de ces fêtes étincelantes, de ces rencontres fortuites, de ces effleurements qui font rougir les joues...Oui,par procuration j'ai vécu ma romance historique et c'était tellement bien que mes yeux en papillonnent encore et que mon cœur manque encore quelques battements à l'évocation de ce cher Jasper.

Premier roman que je lis de la collection Victoria et je dois avouer que je suis complètement séduite. Je n'ai d'ailleurs qu'une seule hâte, commencer le suivant. Quant à Mérida Reinhart, j'ai très envie de poursuivre ma découverte de ses romans pour encore me laisser emporter vers d'autres mondes, d'autres temps et voir quel amoureux livresque elle pourra m'inventer!

Quelle chouette découverte ! Une romance au temps de la régence couplé à un suspens bien mené, rythmant parfaitement le récit. Ce fut une très jolie surprise pour moi, et ma première découverte de la collection Victoria.⠀

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Côté histoire, nous suivons Meryelle lorsque qu'elle est confrontée à un choix impossible : laisser sa petite soeur de 15 ans contracter un mariage de convenance, ou se sacrifier et trouver un époux d'ici la fin de la Saison. Et Meryelle cède afin de protéger Mable. Elle plonge donc une fois de plus dans les bals, au milieu des hypocrisies et des faux-semblants, jusqu'à ce qu'une danse au bras du colonel Jasper Fitzwarren change la donne : non seulement il est séduisant et intriguant, mais il prétend en savoir beaucoup sur la mort de William, le frère aîné de Meryelle, décédé dans des circonstances étranges...⠀

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J'ai trouvé que le côté "enquête" ajoutait vraiment un côté original à l'histoire ainsi que de l'intérêt pour les personnages. Le contexte en est plus étoffé (et ce, même si le roman est plutôt court) et j'ai vraiment apprécié ! La romance prend le temps d'évoluer et j'ai aimé l'attirance s'installant entre les deux. J'avoue que je n'aurais pas craché sur quelques chapitres de plus mais c'est mon petit côté fleur bleue qui avait envie d'une romance encore plus intense et romantique. ⠀

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J'ai également beaucoup aimé les références, à Hadès et Perséphone par exemple. Et puis, la plume de l'autrice, que je découvrais avec ce titre était très fluide et agréable à lire. Vraiment, si vous aimez la romance historique, celle-ci est très chouette pour passer un doux moment, je recommande.⠀

Une petite romance qui est fraiche, vraiment légère et sympathique.



Pour commencer, le milieu, le contexte (la pâtisserie) est plaisant. Nous sommes dans la création de desserts d'une part et dans l'ouverture d'une boutique d'autre part. Il y a un petit côté nouvelle vie, nouvelle aventure, découverte d'un monde, construction d'un projet qui était agréable.



Pour les détails, j'ai néanmoins trouvé que tous ces morts du début étaient un peu too much... Et à l'inverse, j'ai apprécié que, pour une fois, le couple vedette n'ait pas de crise, de déchirement.



Aucun suspense dans cette histoire d'amour mais on peut dire qu'elle remplit son rôle de romance en terme de détente.



#Baiserssucrés #NetGalleyFrance



~ Challenge féminin 23 : romance

Une sympathique romance historique mêlée à une autre intrigue, celle du décès du frère de l'héroïne et de la sœur de celui qui dérobe son cœur. Ce drame va-t-il les rapprocher, les éloigner ?

J'ai aimé la romance, j'ai été surprise à plusieurs reprises par certaines péripéties et j'ai beaucoup apprécié nos deux héros et leurs caractères valeureux. J'ai également beaucoup aimé la tante Arabella, on aimerait tous avoir une tante comme elle !

Un livre agréable à lire pour l'été donc !



#UnesaisonCollectionVictoriaRomancehistorique #NetGalleyFrance

J'inaugure ma découverte de la collection Victoria avec un choix assez arbitraire puisque chacun des titres pour ce renouveau me faisait cruellement envie, j'ai donc choisi le plus fin pour débuter cette collection. C'est donc dans Une saison de Mérida Reinhart que je me suis lancée.



C'est en 1815 que nous faisons la rencontre de Meryelle. Alors qu'elle a toujours refusé toutes les propositions de mariage et bien décidée à rester célibataire, Meryelle va devoir revenir sur sa décision pour éviter à sa jeune sœur d'être envoyée à Londres avant l'heure. Objectif, trouver un époux durant la saison et faire ce qu'on attend d'elle, perpétrer la lignée de sa famille. Mais c'est dans les bras du colonel Jasper Fitzwarren qu'elle va tomber, sans se douter du passif entre leurs deux familles.



Je ne connaissais pas du tout l'autrice, bien qu'ayant déjà aperçu ses romans dans des genres assez différents de celui-ci. J'étais donc plus que curieuse de découvrir Une saison. D'autant qu'on sent une inspiration d'Orgueil et Préjugés (mon classique préféré). Nous sommes donc ici sur une romance historique avec deux personnages assez opposés à première vue. Jasper est un homme qui a une certaine réputation notamment lié à un événement antérieur qui relie d'ailleurs sa famille à celle de Meryelle. Il voit en elle la possibilité de faire la lumière sur cette histoire. De son côté, Meryelle souhaite à tout prix éviter à sa jeune sœur de tout juste 15 ans d'être envoyée à Londres dans le but de trouver un époux. Pour autant, elle fait presque figure de vieille fille avec ses vingt ans et sera vivement critiqué de la bonne société. Mais elle pourra compte sur le soutien de sa tante.



Le début d'Une saison pose les bases de l'histoire avec le mystère autour de cet événement passé qui a tout changé pour eux d'eux. J'aime assez ce côté suspense qui est ajouté à la romance historique classique. Je trouve que cela apporte quelque chose en plus et permet de jouer un peu sur le mystère et nous donne envie d'aller au bout pour en connaître les tenants et les aboutissants. Après, ce n'est pas non plus ultra mystérieux et j'avoue m'être doutée de la grosse révélation. Mais cela fait sans problème le job ici.



Côté personnages, je ne sais pas trop quoi en penser. Si Meryelle se montre forte et surtout prête à tout pour sa sœur, j'avoue ne pas avoir eu de feeling avec elle. Je ne saurais dire vraiment pourquoi mais elle ne m'a pas tant plu que ça. Et c'est finalement son comportement, dans le dernier tiers qui n'aura pas aidé en cela puisque j'ai trouvé ses décisions un peu... trop. Je n'ai pas apprécié notamment son comportement suite à une révélation bien précise. De son côté, Jasper est un personnage qui garde son côté mystérieux, ce que j'ai apprécié. Il se montre assez loyal et casse un peu les codes des gentleman de l'époque. Ce que j'apprécie. Après, je n'ai pas été plus que ça emballée par lui.



La romance arrive assez vite. En soit, c'est assez logique puisque le roman est assez fin. Je n'ai pas eu d'étincelles, je l'avoue. Même leurs joutes verbales m'ont paru assez plates... J'en attendais un peu plus à ce niveau là et j'avoue être restée sur ma faim. Cela reste une jolie romance même si elle ne se démarquait pas du lot à mes yeux. Il m'a manqué un peu de piquant, de tension palpable entre les deux pour la rendre plus mémorable.



En conclusion, une découverte sympathique pour cette romance historique agrémentée de suspense. Je n'ai cependant pas été charmée par la plume de l'autrice et ses personnages, mais cela reste mon avis. Je ne doute pas qu'elle plaira plus à d'autres lecteurs. J'ai passé un bon moment de lecture même-si celle-ci ne me marquera pas dans le temps.
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[SERVICE PRESSE]

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Crochecoeur de @Mérida.Reinhart

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Je remercie l’auteure pour ce service presse

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Mon résumé :

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Un tueur en série assassine des femmes en copiant les contes pour enfants. Surnommé Grimm, celui-ci donne du fil à retordre à l’inspecteur Logan East. Alors qu’il a besoin d’ouvrir la porte d’un vieux monument, East fait appel à Orion, serrurier. L’enquête va emmener ce duo atypique à cohabiter et à travailler ensemble.

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Orion est serrurier. Et magicien. Propriétaire d’une échoppe, il forme Nigel, son apprenti, aux rudiments des clés et des mécanismes de serrures.

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East est un flic bourru et brisé. Cynique et arrogant, il adore jouer avec les nerfs d’Orion. Tenace et efficace, il piste Grimm à travers la ville.

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Mon ressenti final :

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Ce roman est un spin-off du roman ‘’croc et magie’’, que l’auteure nous invite à lire avant d’entamer celui-ci. Pour ma part, je ne l’ai pas lu et cela ne m’a pas gênée dans ma compréhension de ce récit.

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Encore une fois, je décidai de sortir de ma zone de confort avec un roman fantasy. Le résumé était attirant, je me suis donc laissée tentée.

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Orion est serrurier et magicien. Il commande au métal et aux rouages, permettant ainsi d’ouvrir n’importe quelle serrure. Il tient une boutique avec Nigel, son apprenti. Sa réputation n’est plus à faire, c’est d’ailleurs pour cela qu’il est choisit par l’inspecteur East pour l’épauler sur une enquête. Après avoir ouvert une porte qui cachait un cadavre, le sens de l’observation et de déduction d’Orion va rapidement le rendre indispensable à l’enquête. Pas à pas, nous observons ce duo atypique avancer dans l’enquête… mais aussi dans leur attirance commune.

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J’ai aimé ce roman, mais pas pour les raisons que l’on croit. Déjà, le côté ‘’magie’’ a été totalement occulté, pour ma part. Très très peu présent, ou sciemment dissimulé, je n’ai pas du tout ressenti le côté fantasy de l’histoire. A part quelques allusions rapides, ce côté de l’histoire n’a pas opéré avec moi.

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Idem avec les personnages secondaires, dont le couple phare du roman original, qui sont présents mais sans grande implication, en tout cas, de mon point de vue.

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Par contre, je me suis laissée totalement immergée par cette enquête haletante et bien ficelée, même si j’avais capté qui était le meurtrier. Non pas à cause d’un scénario léger mais à force de déductions. J’ai trouvé les personnages très bien écrits. Orion, serrurier et homme posé et calme, en total contraste avec Logan East, inspecteur impulsif et arrogant. Le duo devient omniprésent et je n’attends plus que de les voir céder à l’attirance qui les dévore.

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L’auteure nous embarque dans une enquête policière rythmée et intense, qui malmène grandement nos héros. L’écriture est immersive, mature et plutôt retenue. Pesante à certains moments, humoristique à d’autres, j’ai passé un très très bon moment de lecture. Je me suis très facilement attachée aux personnages principaux, même si ma préférence va à East, dont j’ai aimé la froideur du début et l’évolution au fil du roman.

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Je ne peux que vous conseiller cette lecture, avec ou sans la découverte du tome 1.

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Si tu veux mener l’enquête avec East et Orion, c’est ici : https://amzn.to/34peKUk

Je connais Magic Mirror Editions depuis sa création, il s’agit d’une ME publiant des revisitations de contes.



Fin de Partie est une revisitation du conte d’Alice au Pays des Merveilles, publié dans la collection Bad Wolf. On découvre Alaïs Dronning, flouturière à Wonderland. Elle confectionne des vêtements avec des fleurs, associés avec son ami de toujours, Hatta, le Chapelier. Le jour où le Roi Rouge lui commande une robe pour la Reine Blanche, l’ennemie jurée, sa vie va basculer.



J’aime beaucoup Alice au Pays des Merveilles, c’est l’un de mes contes préférés alors je suis ravie de découvrir une réécriture de ce conte, surtout sur la Reine Rouge, de voir comment elle aurait pu devenir comme elle est dans le Conte d’origine !



J’ai aimé retrouver l’univers décalé et loufoque du Conte d’origine. On y retrouve le Chapelier fou, le chat du cheshire, le lapin, les Roses rouges et les Roses blanches… Alaïs est une héroïne particulière, très différente de ce qu’on peut attendre d’une héroïne ou de l’idée qu’on peut avoir de la Reine Rouge.



J’ai eu un peu de mal à me plonger dans le récit mais j’ai été très vite plongé dans l’histoire. Cette réécriture est agréable et merveilleuse à découvrir !


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Aujourd'hui, je viens vous parler du livre Une saison de Mérida Reinhart.



En 1815, à Londres, Meryelle décide de se sacrifier pour que sa petite soeur de 15 ans n'ait pas à se marier dans l'année. La jeune femme a promis à sa mère qu'elle se marierait avant la fin de la saison. Elle va donc passer quelques mois chez sa tante pour profiter pleinement des invitations aux bals...et peut être ainsi trouver l'homme qui deviendra son mari.



Alors oui il y a un petit côté Chroniques des Bridgerton ou bien encore Orgueil et préjugés, mais il y a également du suspens avec une petite enquête pour déterrer des secrets enfouis depuis une dizaine d'années et cela m'a beaucoup plu.

J'ai également beaucoup aimé la romance historique avec le mystérieux colonel Jasper Fitzwarren.



Un petit livre que j'ai dévoré en une journée. C'est le premier roman que je lis de la nouvelle collection de romances historiques Victoria. J'ai hâte de découvrir les suivantes 🥰



Vous l'avez lu ? Il vous tente ?

Gabin, jeune architecte d'intérieur plutôt timide, a une routine bien établie : tous les matins, il fait une pause au Coffee & Toffee du coin ... pour pouvoir observer le beau fleuriste de la boutique d'en face, sans jamais oser rêver de seulement l'aborder.



Mais le destin et le coup de pouce d'une serveuse bienveillante pourraient bien changer la donne.



Une bien jolie nouvelle, douce et tendre, servie par une plume fluide et contemporaine, qui m'a permis de passer un moment agréable avec Gabin et ... je vous laisse la surprise de découvrir le prénom de ce beau fleuriste.



Et petit coup de cœur pour cette si jolie couverture.

Ça faisait des mois, voire des années, que je ne m'étais pas offert un roman, un petit extra rien qu'à moi, une petite parenthèse bonbon au milieu de mes lectures savantes. En fait, ça faisait même deux ans, et malheureusement, comme avec « La prisonnière du Temps », tout partait très bien et a fini par m'agacer au fil de ma lecture... Il faut croire que je ne suis plus capable de me choisir un roman ! Mais contrairement à la « prisonnière du Temps », la fin rattrape les quelques agaceries et laisse sur une note positive.

Londres, 1815... Youpi, une Austenerie, me suis-je dit, ce qui est confirmé par la dédicace et les remerciements dans lesquels l'auteur explique qu'elle a en plus fait beaucoup de recherches historiques sur la période. Ouf, ça va changer des Harlequin de d'habitude, et il n'y aura pas trop d'anachronismes ! Le style est un peu scolaire mais commence par des descriptions, bon point, l’héroïne est mignonne, sa relation avec sa sœur également, l'ambiance est celle d'une adaptation de Jane Austen, bref tout me plaît jusqu'à la page 13 dans laquelle je me rends compte qu'il y a... des notes de bas de page T-T. Comme je déteste ça ! J'ai l'impression d'être prise pour une andouille et ça me coupe dans la lecture. Mais comme cette première note explique ce que veut dire faire son entrée dans le monde, et que la deuxième explique ce qu'est une Saison, je me dis, soit, ça explique le titre, tous les lecteurs ne sont peut-être pas au fait de ces notions (pas les lecteurs de Jane Austen, certes). Mais la troisième note parle du camélia rouge et la quatrième donne la définition d'un pianoforte ! Franchement, même si on sait pas ce que c'est, on s'en doute, et si jamais on veut des précisions sur un terme qu'on ne connaît pas et qui ne manque pas dans la compréhension du texte, ben on s'arme d'un dictionnaire (ou de Google, tout dépend de la génération).

Au fur et à mesure de la lecture, ces notes deviennent d'autant plus déplacées qu'elles décrédibilisent le reste de l'histoire, car qu'en réalité il reste plein de maladresses et d' anachronismes (ces sempiternelles valses qui n'existaient pas encore, l'épisode de la discussion autour des pommes de terre, de même les personnages qui ne savent que jouer du Mozart m'ont bien fait rigoler). Juste un petit exemple pour expliquer mon propos : au chapitre 6, les deux héros visitent le British museum et Meryelle demande au colonel : « N'avez-vous pas lu Voyage dans la Basse et Haute Égypte de Denon ? » ce à quoi le colonel répond : « Je crains que non, mademoiselle, mon français est un peu rouillé ». Bon déjà, l'étalage de confiture m'exaspère, et ensuite, ça casse complètement le propos quand une recherche de cinq secondes m'apprend que le bouquin a été traduit en anglais un an après sa publication en 1802...

L'éditeur aurait dû se passer de ces notes, d'autant qu'il n'y en a que 12 !

J'ai continué ma lecture sans être trop incommodée, sachant qu'un bon tiers du roman ne fait pas les frais de ces notes de bas de page, et j'ai vraiment commencé à rentrer dans l'histoire à partir du moment où on comprend qu'un secret de famille va réunir les deux héros. Cette dernière partie du roman était bien plus intéressante que le début, avec ces dialogues plats et cette énième relation Darcy/Elizabeth dans laquelle les deux héros se détestent au début pour se rendre compte qu'ils s'aiment à la fin. Et pour une fois, on a le droit à la scène du mariage (très moderne, ce mariage) ainsi qu'à un épilogue quatre ans plus tard : souvent les romances s'arrêtent avant et on laisse les héros avec un arrière-goût de trop-peu. En résumé, une romance historique mignonne, avec une relation saine et des personnages secondaires charismatiques et identifiables, qui relève le niveau de bien d'autres, mais qui, contrairement à ce que j'ai pu lire, ne peut pas avoir été écrite par un auteur contemporain de Jane Austen.

Mon dernier coup de ♥ livresque ayant été un livre de la collection Teen Spirit, j'avoue avoir sollicité celui-ci sans même lire le résumé. La sublime couverture de Nicolas Jamoneau et le titre évoquant la magie ont suffi à me faire craquer, faible créature que je suis ! Ceci dit, je ne l'ai pas regretté une seule seconde ! En effet dès les premières pages j'ai adoré l'univers, assez similaire à celui de Harry Potter, mais avec des personnages bien plus vieux, à un stade plus avancé de leurs études.



En effet, sorties de l'Institut Baba Yaga, nous suivons un trio de sorcières qui s'apprête à passer un examen afin de se dénicher un mentor pour les trois années à venir. Constance tout comme Clara souhaite s'illustrer dans la branche des Enchantements. Mais les tours facétieux d'un chat vont mettre à mal les plans de Constance, l'héroïne. Ratant la chance de se présenter au concours, il ne lui reste que deux choix : attendre un an avant de retenter sa chance ou s'essayer à une autre voie. Ayant une très bonne mémoire photographique, elle se lance alors, comme son autre amie Sidonie, dans la voie des Potions. Elle en ressortira avec un mentor qui a tout du caractère de Rogue, mais s'il est austère, il n'en est pas moins bel homme, ce que réalisera peu à peu la jeune apprentie.



Néanmoins, composer avec son mentor sera loin d'être la seule chose compliqué de sa première année d'apprentissage. Entre ses échecs récurrents sur les potions les plus basiques, les bétises du chat qui la suit partout, l'arrivée d'un familier, plus flippant que réconfortant, le sort d'oubli qui semble entourer certains de ses souvenirs,le changement de son amie Sidonie et les magouilles de sa maîtresse des potions... la vie de Constance ne sera pas de tout repos. Par chance elle peut compter sur son mentor, les habitants du manoir, son amie Clara et son mentor aussi gentil qu'excentrique pour veiller sur elle.



J'ai dévoré ce roman en quelques heures, je l'ai tout bonnement adoré et je n'ai qu'une hâte : découvrir la suite tant cet univers est riche, proche de ceux que j'aime et teinté d'une pointe de romance bienvenue. Bonus : les poulets en origami pour se passer des messages, j'ai adoré le concept ♥
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Dans ce spin-off ou cette suite de Crocs et magie, on découvre un nouveau personnage, serrurier et crocheteur à ses heures perdues, Orion.

Celui-ci se retrouve embarqué par un séduisant inspecteur comme consultant sur une affaire de meurtres en série imitant les contes de fée.

Pour apprécier le bouquin il faut admettre qu'un serrurier est effectivement le consultant idéal pour la police dans la recherche de serial killer. Ceci admis, il est vrai que ledit Orion a quelque pouvoir particulier mais l'inspecteur n'en a pas conscience, lui : Orion est légitime pour le lecteur mais pas pour le roman. Passons. Malheureusement, j'ai trouvé bien avant les enquêteurs l'identité du serial killer : mes capacités de déduction étant habituellement plutôt faibles, j'ai trouvé cela vraiment dommage.

Ceci dit, j'ai retrouvé avec plaisir Maurice, Robin, Vlad et l'équipe du Canard et le monde créé par Mérida Reinhart. Je lirai volontiers une suite soit du spin-off soit de la série principale

J'ai bien aimé la plongée dans le fantastique à laquelle Mérida Reinhart nous convie. La découverte est progressive puisqu'on suit le personnage dans une histoire au schéma classique mais efficace : le héros découvre tout d'un coup qu'il a des pouvoirs, que le monde n'est pas ce qu'il paraît être et qu'il a intérêt à le comprendre rapidement pour sauver le monde. Rien d'extraordinaire, mais ça fonctionne toujours.

Voilà une lecture qui ne laissera pas de grande traces dans mon esprit. C'était rapide et c'est surement le seul intérêt de cette lecture. Le plaisir de lire n'était mitigé au final.

Juste pour les fans ultra et encore, car l'histoire n'a vraiment pas d'intérêt