Nisioisin

Bakemonogatari arrive à se renouveler et à me surprendre ! Plus on avance dans l’histoire et plus j’aime la tournure que ça prend. Le mystère entourant Koyomi et les ambitions de Kiss-Shot le concernant font monter mon intérêt pour ce manga de manière vertigineuse.



En somme, ce dixième tome est une excellente surprise que j’ai dévorée en peu de temps. Vivement la suite !
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C’est un très bon tome avec des dessins très agréables, j’ai adoré ! L’histoire de Mayoi est assez inattendue, on s’enfonce un peu plus dans le monde des chimères et on comprend aussi beaucoup de choses qui jusque-là nous avaient échappé !



Retrouvez la chronique complète sur Songe.
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Ça fait un petit moment que j’avais lu le tome 1, il était tant de sorte le deuxième de ma PAL. Ce tome-là n’était pas mauvais, mais il était à mes yeux, moins bon que le précédent.



Dans le précédent tome, nous découvrions notre héros principal : Araragi. Un jour, alors qu’une élève de son école est sur le point de tomber, il vient à son secours. Mais en la rattrapant, il se rend compte qu’elle ne pèse rien du tout.



En effet, Hitagi a perdu son poids à cause d’une chimère. En voulant oublier les souffrances, les poids psychologiques qui l’habitaient, une chimère à réaliser son vœu, mais tout en lui enlevant son propre poids.



Araragi l’a aidé à enlever le sort que la chimère lui avait lancé, avec l’aide de quelqu’un. Dans ce deuxième tome, on le retrouve dans un parc, où Hitagi le trouve et lui propose de rembourser sa dette. Pendant qu’elle cherche un moyen de remercier convenablement Araragi, ce dernier aperçoit une enfant, regardant une carte. Elle a l’air perdu… En effet, elle l’est. Mais il se rendra vite compte qu’elle est également sous l’emprise d’une chimère.



Je trouvais ce deuxième tome un peu plat, l’action manquait à mes yeux. Par compte, ce qui est intéressant, c’est qu’ici, on découvre le passé d’Araragi. On comprend comment il a été sous l’emprise d’une chimère, comment il connaît leur existence, etc.



En bref, ce deuxième tome était vraiment un peu plat pour moi. J’espère que la suite se rattrapera, sinon je risque d’abandonner la série. Le seul point positif est l’humour et la découverte des origines d’Araragi.
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La première chose qui m’a attiré dans ce nouveau manga ce sont les dessins. J’ai tout de suite reconnu l’oeuvre de Oh!Great que j’avais beaucoup aimé dans son manga précédent Air Gear. Il a un style bien particulier et bien à lui, reconnaissable entre mille. C’est un dessinateur qui vient du milieu du hentai, des manga pornographique, et ça se voit. Ça reste grand public mais il y a toujours des poses suggestives. C’est agréable à l’œil sans tomber dans le vulgaire.



L’histoire en elle-même m’a intrigué alors je me suis laissé tenté, encore plus après les conseils de mon libraire. Niveau dessins, rien à dire, c’est au top. L’histoire par contre m’a drôlement étonné. Je ne m’attendais pas du tout à cela, d’après le synopsis. À noter que NisiOisiN est l’auteur du light novel sur Death Note. Quand on le sait, on se rend vite compte que la narration de Bakemonogatari n’est pas sans rappeler celle d’un roman. Clairement, ce n’est pas un shonen, le manga s’adresse à un public adulte. Il y a bien des scènes de combat mais c’est avant tout un manga psychologique. Les dessins énergiques de Oh!Great pourraient laisser penser le contraire mais nous avons bien là un manga d’urban fantasy dans un monde ou les chimères parasitent les humains.



J’ai apprécié ma lecture parce qu’elle sort de l’ordinaire. Par contre je dois avouer que je ne me serai pas forcément laissé tenter par l’expérience si les dessins avaient été réalisés par un autre mangaka. La grande force de Bakemonogatari viens de son histoire chimérique mais surtout de la qualité des dessins.



Nous découvrirons dans chaque tome un nouveau destin d’adolescents tourmenté autant par une chimère que par les remous dû à leur age ou les défaillances de la société japonaise. Chaque adolescent cache un secret, l’auteur manie habillement sa plume pour que celui-ci nous soit révélé à la fin du tome. Effet de surprise garanti, sans ennui.



Un manga particulier qui amène sans doute un vent de fraîcheur. Laissez vous tentez.
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Tout est normal dans le monde de Koyomi ou presque… Il est un vampire. Pourtant, il n’est pas le seul à être spécial. Il va vite se rendre compte qu’Hitagi, une fille de sa classe est étrange. En la suivant, il se rendra compte que cette dernière a perdu neuf dixième de son poids de base. Il se met en tête de l’aider. Il l’emmène voir une personne qui pourrait lui régler son problème, en théorie.



L’univers est vraiment intéressant. C’est un monde où plusieurs types de créature existe. Les chimères sont des genres de dieu qui vont provoquer différente chose chez les humains, comme la perte de poids d’Hitagi. Au début, l’histoire était floue, je ne voyais pas trop où on allait, mais plus on avançait, plus je comprenais et plus je devenais accro. Une fois vers la fin, je ne pouvais plus lâcher le manga et je fus très déçu d’arriver à la fin et de ne pas pouvoir découvrir la suite immédiatement !



Ce premier tome de Bakemonogatari est très intéressant. Il nous introduit un univers intriguant où créatures mystérieuses et chimères existent. Le personnage d’Hitagi est spécial. Tantôt touchante, tantôt féroce. Un univers à suivre, qui contient d’ailleurs de très beaux dessins.
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Fan de thriller et de polar et ayant adoré le manga je me suis donc procuré rapidement cet ouvrage et là bof... Le style n'est pas à la hauteur et on sent qu'il manque des dessins pour appuyer les phrases. Pour les ultra-fans de l'oeuvre originale.

J’ai eu beaucoup de mal à me lancer dans la rédaction de cette chronique tout simplement parce que j’ai, en même temps, rien et trop de choses à dire sur ce livre ! Je l’ai trouvée tellement merveilleuse que je ne parviens pas à dénicher le moindre défaut à cette nouvelle. Mais d’un autre côté je l’ai tellement adorée que je pourrai en parler durant des heures. Je vais donc faire de mon mieux.



Tout les personnages que j’ai adoré dans la série manga sont présents dans ce livre. Vous ne pouvez imaginer ma joie quand je me suis aperçue que c’était Mello qui racontait cette histoire, j’étais aux anges. L’affaire qui a opposé Beyond Birthday à L narrée par Mello. Le monde ne peut être plus beau, mais je m’éloigne.



Cette affaire est rapidement évoquée dans le manga, lorsque L explique à Light qu’il connaît l’agent Naomi Misora parce qu’il a travaillé avec elle. J’ai toujours voulu en savoir plus et ce livre répond à toutes mes questions. Tout ça pour dire qu’il est important de connaître le manga et ses personnage pour lire et apprécier cette nouvelle. Même si ils sont extérieurs à l’affaire BB, Light et les Dieux de la mort sont évoqués et il vaut donc mieux les connaître un minimum.



Nisioisin réussi à faire vivre les personnages comme s’ils étaient de lui. Les caractères de L et Mello sont exactement comme dans le manga. C’est en ça aussi que ce roman est si précieux à mes yeux, il ne fait pas "livre bâclé pour le commerce" loin de là. On sent qu’il y a un réel travail derrière chaque phrase et c’est un plaisir de plonger avec Naomi dans l’affaire sordide des meurtres de BB.



J’avais déjà apprécié Naomi Misora dans le manga, bien qu’elle ne soit que rapidement évoquée, et j’ai appris à faire sa connaissance avec ce livre. Bien qu’elle soit intelligente et combative, elle ne fait pas le poids face aux théories de L et il est de ce fait très facile de se reconnaître en elle. Cette nouvelle nous donne aussi l’occasion de découvrir L sous un autre angle (on apprend notamment d’où lui viens cette passion pour la capoeira) et de ce point de vue là je suis restée sans voix.



Les interventions de Mello en début de chapitre sont digne du personnage et je me suis lamentablement faite avoir par l’auteur, me prenant une belle claque dans les derniers chapitres. Retrouver ce personnage fut peut-être la plus belle surprise de cette nouvelle. Parce que oui, je ne l’ai pas précisé mais Mello est le personnage qui m’a le plus touché dans le manga Death Note.



L’enquête est difficile, je n’ai pas réussi à comprendre la logique de Beyond Birthday une seule fois. Les meurtres sont violents, inexpliqués et pourtant tellement travaillés par BB que je me suis parfois sentie stupide face à ce meurtrier au but bien précis. Même la fin m’a surprise à cause de ça. Je ne l’ai absolument pas vu venir, j’étais à des kilomètres de la solution. Disons que je savais qu’il allait se passer quelque chose mais à cause de qui et sur qui, mystère.



La fin en elle même est, jusqu’à présent, la plus belle conclusion de roman qu’il m’est été donné de lire. J’étais comme une enfant à hurler de joie en lisant les dernières lignes et la dernière réplique qui a suffit à m’achever et à me faire rêver pendant plusieurs jours. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. La pression ne retombe pas dans cette nouvelle qui ne fait que monter en intensité jusqu’à la dernière ligne. Si certains livres jouent aux montagnes russes avec nos nerfs, celui-ci m’a fait grimper la plus haute montagne pour me faire sauter en parachute.



Des personnages parfaitement maitrisés, une enquête difficile mais bien menée, une histoire qui ne laisse pas un moment de répit et une fin en apothéose, ce livre a définitivement tout pour me plaire. C’est plus qu’un coup de cœur, j’ai eu un véritable coup de foudre pour cette nouvelle !
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« Another Note » appartient à l’univers du manga « Death Note » et se place avant ce dernier, au niveau chronologique.



Le récit prend la forme d’un roman dont le narrateur est Mello. Ce dernier nous décrit donc le parcours de Naomi Misora, engagée par L pour enquêter sur les lieux de trois meurtres commis par la nemesis du détective avant Kira, à savoir B ou Beyond Birthday.



Il faut être un minimum familier avec l’univers du manga, ne serait-ce que pour reconnaître le fonctionnement propre à ce dernier : enquête rigoureuse, avec de longs développements, des raisonnements parfois alambiqués et surtout pointus, qui s’appuient sur des riens, un minuscule détail qui fait tout basculer. Si on ne « voit » pas L à proprement parler, on l’entend et il sert autant de guide à Naomi que de jalon dans ce roman.



Le rythme est soutenu, l’énigme bien construite, presque aussi ardue que celle du manga et le style aisé à lire, le vocabulaire courant, ce qui aide beaucoup, étant donné la complexité de certaines extrapolations. Le personnage de Naomi ne démérite pas et surprend même par sa finesse et son intuition, face aux « monstres de logique » que sont L et le mystérieux Ryûzaki.



En bref, il s’agit d’un bon petit roman que les amateurs du manga auront plaisir à lire pour replonger dans cet univers particulier.

C’était la deuxième fois que je participais à Masse Critique et j’ai donc été sélectionné pour ce titre. Merci à Babelio pour ce concept : recevoir des livres gratuitement contre une critique, en voilà une idée qu’elle est bonne !! J’ai donc finalement reçu mon livre ce matin et je l’ai lu dans la foulée. Voilà le résultat de mes cogitations.

Je ne suis pas une afficionado de ce genre littéraire mais il m’arrive assez régulièrement de lire des mangas. Que dire, c’était plaisant et c’est tout. Il s’agit d’un manga dit shonen c’est-à-dire à destination d’un public essentiellement adolescent et masculin. Ce genre véhicule surtout des valeurs telles que le dépassement de soi, l'amitié, la justice, la bravoure.

L’histoire est assez simpliste et peut se résumer à cette simple idée : Medaka Kurokami vient d’être élue haut la main à la présidence du conseil d’étudiant de son lycée. Avec son ami d’enfance, Zenkichi Hitoyoshi, à qui elle force d’ailleurs la main, elle met en place une boîte à suggestions afin de venir en aide à ses camarades. Bref rien de transcendant en soi.

L’exagération est le propre de ce type de manga : une première année qui prend la tête du conseil d’étudiant, des attributs mammaires très développés au regard de ceux de ses condisciples, des visages et des aventures lisses…. Seule Medaka semble avoir été doté d’un caractère intéressant, assez agressif. Son implication dans la vie de son établissement et dans celles des autres étudiants peut sembler exagérée même s’il on sait que ce type d’engagement est davantage recherché qu’en occident. Bref tout cela relève de la caricature mais d’une caricature poussive.

Cependant quelques bons points se détachent du manga et suffisent à le rendre sympathique. Citons par exemple les solutions mises en place pour résoudre les problèmes des étudiants ou bien encore l’humour utilisé qui contrebalance efficacement les caricatures. Certaines personnalités qui se dégagent de la galerie de personnage secondaire se révèlent particulièrement attachantes. Personnellement j’ai beaucoup aimé le caractère de Kôki, le judoka amoureux de Medaka. Il a une très haute opinion de sa personne….

En conclusion ce volume est amusant mais guère plus, il reste assez plat au niveau intrigue. Cela peut sans doute s’expliquer par le fait qu’il s’agit d’une saga. Ce premier tome doit donc surtout servir à poser l’histoire et le contexte, à présenter le décor et les personnages. Les choses doivent logiquement devenir plus engageantes dans le second tome.

J'avais une drôle d'impression en lisant le premier tome, un côté "too much", du "t'as vu comment on est trop des stars" de la part des auteurs...



Et bien ça se confirme pour moi.



Je vais prendre le début du manga : 1/3 du tome sur une discussion entre Koyomi et Hitagi qui n'a aucun sens logique. On explique ce qui s'est passé dans le tome d'avant, on ajoute une justification et zou on enchaîne sur une conversation reposant sur des sous entendus en lien avec la plastique d'Hitagi...



Ah, pour rendre ce passage pénible à souhait, Hitagi a un caractère de sociopathe. Je ne comprends même pas pourquoi Koyomi reste dans un rayon de 10km d'une folle pareille.



Bon, bref, après ce long moment sans intérêt... Bah on découvre un nouveau personnage, une enfant perdu psychotique qui attaque sans raison les gens qui veulent l'aider... Ah et le héros qui réponds à ces agressions avec violence... Sur une gamine de primaire...



Bref, j'ai trouvé ce tome pédant, lourdingue, en mode "dessin trop artistique t'as vu"...



Je passe mon tour !

Laissez-vous séduire par le manga Bakemonogatari. Avec son scénario et son univers riche, je pense qu'il saura ravir les amateurs du genre. Il s'agit d'un manga très intéressant qui, je pense, mérite d'être lu. J'ai aimé découvrir son folklore, les croyances et l'univers paranormal qui enveloppe la série. le fanservice, bien qu'il soit présent, n'est pas pour autant agressant. Il semble bien dosé même si je l'ai parfois trouvé un peu inutile. Cela apporte de l'humour à une situation qui aurait dû être sérieuse et j'apprécie un peu moins l'idée, dans ces cas-là. Les dessins sont absolument magnifiques et l'histoire est vraiment prometteuse. Je me suis attaché à Hitagi dès le premier tome alors j'ai bien hâte de voir ce que la suite nous réserve !



N'hésitez pas à lire ma critique complète ici.

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Je remercie les Éditions Pika pour l’envoi de cette lecture. Non mais sérieusement ? C’est quoi la fin de ce tome ! Je veux la suite ! C’est de la torture ! Après avoir enchaîné du tome 4 à 8, j’ai l’impression qu’il me manque ma dose de Bakemonogatari malgré tout !



Dans le dernier tome, Nadeko était en train de faire un exorcisme pour s’enlever le serpent chimère qu’elle avait sur le corps. Le problème, c’est qu’au dernier moment, Koyomi réalise qu’il n’y avait pas un serpent, mais deux et que l’exorcisme est donc en train de mal se passer.



Qu’est-ce que j’ai aimé ce tome ! Autant vous dire, c’est clairement mon préféré pour l’instant de la saga. On a énormément d’information et surtout, après l’histoire sur Nadeko, on va enfin commencer à en apprendre plus sur ce qui s’est passé pendant les vacances de printemps. Comment Koyomi est devenu immortel !



En bref, c’est un tome vraiment très intéressant et c’est une vraie torture d’attendre la suite, car la fin est vraiment drôle et étrange. Autant vous dire, je serais joie dès que j’aurais la suite entre les mains. Une saga qui me plaît vraiment de plus en plus !
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C'était un peu un challenge pour moi que de me lancer dans cette saga. Allez savoir, en lisant le résumé j'ai été tenté. Le moins que l'on puisse dire c'est que mon avis est un peu flou...

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J'ai mis à peu près la moitié du manga pour rentrer dans l'histoire, pour comprendre clairement les tenants et les aboutissants de l'historie. Il faut dire que l'univers est complexe et à des années lumières de ce que je peux lire habituellement.

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Qu'à cela ne tienne, j'ai persévéré et j'avoue que je ne regrette pas. La seconde partie de l'histoire m'a captivée et j'ai été bluffée par le côté psychologique et plus abstrait de l'intrigue.

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Koyomi était un lycéen banal, jusqu'à ce qu'il devienne un vampire. Dommage, car le côté vampire de Koyomi n'est pas exploité dans ce premier tome, j'espère que cela sera le cas par la suite. Bref, il réalise qu'il y a un souci avec sa camarade Hitagi, il décide donc de l'aider.

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Se familiariser avec l'univers a été difficile, on est lâché sans filet de sécurité dans le quotidien de Koyomi & Hitagi. Ils sont tous les deux différents, et le moins que l'on puisse dire c'est que l'on manque un peu de détails sur nos héros mais heureusement cela arrive au fil des pages.

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Hitagi est possédée par une entité chimérique, plus précisément par un crabe ! Cette entité est un véritable dieu dont il est difficile de se débarrasser. Au fil du récit, on prend conscience que l'histoire est dotée d'une intelligence hors norme. Les mangaka ont vraiment su mettre en relief des thèmes difficiles et il vaut vraiment voir au-delà des apparences.

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Je suis passé au-dessus de mes difficultés du début pour vraiment apprécier l'histoire. J'ai été surprise par les dessins qui sont agressifs et captivants. Je trouve la succession de planche assez hypnotique, on se retrouve dans un univers fantastique galvanisant et épique.

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En bref, j'ai refermé ce premier tome avec une réelle envie de poursuivre la série malgré mes appréhensions du début. Koyomi et Hitagi ont su attiser ma curiosité quant à la suite de leur histoire.

J-R C'est vraiment un super manga ,j'adore ce type de manga et surtout d'apporter des chimères . Je suis désolée pour tout les fans de manga car je ne sais pas si c'est un shonen ou un shojo ,mais ça reste un super manga .

Ce manga développe son propre bestiaire et ses codes pour l’interaction avec les dieux. Malgré les noms très difficiles à retenir, la perversité ambiante [...] et les concepts un peu étranges, il est plein de qualités.
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Je suis une grande fan de Death Note, j’ai d’abord découvert l’anime puis les films japonais avant de me mettre aux mangas et de découvrir le film américain (je ne suis pas encore suffisamment remise du choc pour en parler). Bien que j’ai d’abord apprécié Light, il a fini par chuter dans mon estime et je lui ai préféré L pour qui j’ai eu un coup de cœur à cause de son intelligence mais surtout sa bizarrerie. Aussi, quand j’ai appris qu’il existait deux romans basés sur lui, je les avais achetés.



« Another Note » traite de l’affaire Beyond Birthday sur laquelle L rencontre Naomi Misora, la brillante femme flic que l’on trouve dans Death Note. J’ai bien aimé cette histoire où B.B. s’avérait un ennemi redoutable de L, il aurait également posé problème à Kira, dommage qu’il ne soit pas apparu. Autre petit détail sympa : on comprend d’où vient le nom Ryuzaki que L utilise. Ce roman se raccorde donc bien avec Death Note, j’ai aimé ma lecture.



Je trouve que c’est un très bon prequel ainsi qu’un très bon passage au format roman, une œuvre qui fait honneur à l’excellent manga qu’est Death Note même si, à mes yeux, ce dernier reste le meilleur et indétrônable. Cependant, vu le niveau, « Another Note » est une prouesse pour être aussi bien écrit et agréable à lire !

L'histoire de Naomi Misora et de Beyond Birthday. Une enquête plus que prenante et passionnante. Un livre absolument génial.

Un mot : Surprenant.



J'ai découvert la sage Death Note il y a à peine un an, un peu par hasard en tombant sur une critique faite sur YouTube ! Je suis tout de suite tombée sous le charme de ce manga et à présent je crois qu'on peu dire que je suis totalement mordue !



J'ai ouvert ce roman avec quelques appréhension, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre. Durant les premiers chapitres j'ai eu un peu de mal à m'immiscer dans cet univers, à accrocher avec l'intrigue et surtout à m'immerger dans les mystères et déductions dont regorge le roman.



Mais finalement après un tiers de lecture je me suis prise à mon propre jeu. ce livre est addictif, prenant et finalement déroutant. La résolution de cette affaire est tellement inattendue qu'elle m'a prise de court. Je me suis sentie frustrée de ne pas avoir compris plus tôt! L'auteur a brouillé les pistes et je me suis fait avoir !



Je trouve que ce livre est bien écris et facile à lire. Pour les fans de la série c'est une pépite, pour les autres un thrillers accessible je pense mais dont les subtilités vous échapperons.



Je le recommande évidemment et plutôt deux fois qu'une !



Bonne lecture à tous.

Médaka Box, que l'on peut retrouver sous forme vidéographique, est un manga retraçant les différents aléas de la vie lycéenne, principalement autour du sujet du Conseil des Etudiants.

D'après le Tome 1, Médaka Box allient plutôt bien, de mon point de vue, l'aspect de la réalité du quotidien lycéen et l'univers fantastique du Manga.

Parmi les différents personnages sont présentés plusieurs profils lycéens ; au travers les dialogues et les graphismes qui mettent bien en avant le schéma littéraire des protagonistes et des personnages secondaires de l'histoire. Par exemple Médaka qui est le personnage principal de ce Manga : on peut remarquer sa forte personnalité et son charisme au travers les dialogues, mais également au travers les graphismes qui lui dessinent des formes féminines généreuses et dévoilées, et qui lui consacrent généralement des pages entières ou presque de ce tome.

Cet accent graphique sur certains traits des personnages est selon moi une caractéristique du genre du Manga que l'on retrouve très bien ici.

D'autre part, l'alliance entre la réalité et le fantastique se remarque également au travers des problèmes soulevés via la Médaka Box ; qui sont des problèmes qui peuvent être rencontrés dans la vie lycéenne. Ces derniers restent pour autant dans l'univers du manga, quelque "extrapolés" dans certaines situations, notamment dans la résolution qui est "fabulée" comme le veut, selon moi, le genre du Manga et comme le recherche, je suppose, les lecteurs habituels de Manga.



Je ne suis pas en réelle mesure de juger et critiquer un manga. Ceci ne rentre pas dans mes lectures favorites et j'ai vraiment très peu de lectures de Manga à mon actif. Je me suis laissée tentée afin de me permettre de découvrir de nouvelles attirances littéraires, afin de varier de temps à autre mes lectures.

Cependant, cette lecture ne m'a pas été désagréable. Au contraire, celle ci a plutôt été une parenthèse de détente dans mes lectures, et une découverte. Je ne sais pas si je serais attirée à poursuivre les autres tomes, en tout cas pas dans l'immédiat.

Pour finir, je dirais qu'il s'agit d'un Manga bien construit, avec un récit agréable et intéressant, et divertissant à la lecture.

Amateurs ou non de Manga, on peut se laisser tenter !!

L et Naomi misora font équipe pour arrêté un tueur en série à Los Angeles.

L'histoire de ce roman ce situe avant la série incroyable de DEATH NOTE. A l'instar de la série, ce roman mêle, suspense, manipulation et fantastique.



J'ai acheté ce roman pour deux raison.

1- J'ai adoré la série DEATH NOTE de Oba et Obata.

2- Je voulais me lancé dans les romans "thriller".



- Bon points : l'intrigue, presque aussi bonne que celle du manga originel. La fin, inattendue pour ma part. la complexité des énigmes et des raisonnement. Et aussi, les quelques dessin de OBATA qui embellissent le tout.



- Mauvais points : Un peut rapide, que deux personnage dominateur, le reste on sen fou (pas terrible). Encore une fois, les raisonnements, même si ils sont bon, il faut s'accrocher pour les suivre.



- Donc : Un superbe roman, pour tout les fan de Death note. Je ne connaissait pas cette auteur mais j'accroche : NISOISIN.



PS : Ne lisez pas ce roman si vous n'avez pas lue le manga avant. Même si l'historie ce passe avant, il est indispensable je pense de déjà connaitre les personnages !

Je dois dire aussi que l'édition que Kana propose est pas mal du tout (marque page, couverture, qualité du papier,...)