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Citations de Sara Agnès L. (166)


D’habitude, à chaque fois que j’entrais dans un restaurant le regard des gens se posait aussitôt sur moi. Les hommes vérifiaient que leur portefeuille était bien en place, et les femmes serraient leur sac à main contre elles. Comme si le fait de vivre dehors faisait de moi un voleur ! Alors pourquoi cette jeune femme me faisait-elle si aisément confiance ?
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Cette fille me traitait comme un être humain. Pourtant, elle était passée devant moi sans même me jeter un regard, un peu plus tôt, ce soir. Ce n’était pas la seule, évidemment, mais là, soudain, j’avais la sensation d’exister. Et c’était un sentiment que je n’avais pas ressenti depuis longtemps…
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Elle était même vraiment décontractée. Ses blagues me faisaient rire, et au lit, elle était d’une sensualité incroyable : gourmande, coquine, entreprenante. Je ne pouvais pas demander mieux ! Cela devait faire des mois qu’une femme ne m’avait fait autant bander. Il suffisait que cette fille me suggère quelque chose d’érotique pour activer ma queue dans un temps record. Et comme elle savait y faire de ce côtélà, je n’allais certainement pas m’en plaindre.
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À la seconde où je lâchai un cri langoureux, il grogna en accélérant, visiblement avide de me rejoindre dans l’extase.
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J’étais éblouie, pas seulement par son corps ou par son regard, mais par le charme fou qu’il avait. Dire qu’il venait de m’expédier au paradis de la plus divine des façons !
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Elle parut hésiter avant de venir déposer un baiser sur mes lèvres. À vrai dire, j’étais soulagé qu’elle fasse les premiers pas, et je profitai de sa proximité pour la retenir plus longuement contre moi. D’une main, elle caressa mon torse et descendit vers mon érection, qu’elle trouva plus éveillée que mon cerveau.
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En effet, il était beau. Ses yeux pétillaient de malice, et il avait un sourire à faire fondre un glacier tout entier. Et encore, j’essayais de retenir les pensées qui me passaient par la tête. Loin de moi l’idée de ressembler à une jeune fille en face de son idole !
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Le cœur, c’est un muscle : ça se travaille !
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Quelle question ! Avec toi, je dirais oui à tout !
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Elle hocha la tête en me jetant ce regard rempli de tendresse. Je détestais ce regard. À croire que j’avais encore quinze ans dans la tête de ma sœur ! Quand elle quitta le Banditos, je m’accoudai devant un client et entrepris de lui faire la conversation. Discuter, c’était le seul moyen pour que la soirée passe vite, et pour que les types reviennent se bourrer chez nous.
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Ma mère afficha un air contrit. Peut-être que mon père refusait que je choisisse l’enseignement et qu’elle était sa messagère. Je ne savais jamais quand j’avais mon mot à dire dans les choix qu’avait faits mon père pour notre famille.
— Tu pourrais au moins essayer pendant un semestre ? suggéra ma mère. Si ça ne te plaît pas ou… si tu as de mauvaises notes, peut-être qu’il acceptera plus facilement que tu ailles en enseignement…
— Je n’ai pas envie de perdre un semestre !
— Mais ton père, lui, a besoin de temps pour se faire à la situation. Il espère tellement que tu deviennes avocate, Katerina ! Il m’en parle depuis que tu es toute petite !
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S’accoudant face à moi, de l’autre côté du comptoir, Claudie m’engueula à voix basse :
— Jay, arrête ces bêtises ! Depuis quand tu t’intéresses aux gamines ? Il n’y a pas assez de filles dans cette ville ? Tu n’es quand même pas en manque !
Au lieu de lui répondre, je grimaçai et reportai ma bière à mes lèvres. Non, je n’étais pas en manque. J’avais même une bonne liste de régulières à qui je pouvais téléphoner si cela m’arrivait, mais Kate était mignonne. Peut-être pas suffisamment pour jouer à touche-pipi pendant un mois, mais son petit côté inaccessible avait quelque chose d’intriguant. Et le fait qu’elle vienne de High Valley n’était pas inintéressant. Même sa virginité commençait sérieusement à me plaire. C’était un défi fort stimulant. Et si je pouvais la rafler avant cette stupide fête de fin d’année, ce serait encore mieux. J’aurais eu le meilleur de tous les mondes.
— Jay, s’énerva ma sœur. Arrête avant que cette histoire t’explose à la figure ! N’oublie pas que cette fille ne vient pas d’ici, et qu’elle a certainement les moyens de te faire chier.
— C’est elle qui a besoin de moi, me défendis-je mollement.
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Ma bouche s’ouvrit de surprise.
— Le charme de ma personnalité ? répétai-je, estomaquée. Au cas où tu ne le saurais pas, Jay a un bar, une moto, des tatouages… À côté de lui, je n’ai rien d’intéressant !
— Mais il vient te chercher demain, me rappela Annie. Montre-lui qui tu es, ce que tu aimes… ce genre de choses.
Elle fit un geste entre Gisèle et elle avant d’ajouter :
— Nous, on t’aime bien, non ?
Je levai les yeux au ciel avant de me mettre à rire comme une idiote.
— Et puis, ces filles ne sont que des pimbêches stupides, tu ne peux pas faire pire qu’elles ! rigola Gisèle.
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Techniquement, elle était trop jeune pour entrer, mais à dix-huit ans, elle n’était plus vraiment une enfant. Et son corps était définitivement celui d’une femme. À bosser, autant avoir un joli cul à reluquer sur la piste de danse…
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Dix-huit ans, un corps de rêve et un petit caractère pétillant. Mon genre de femme, assurément ! Sauf que c’était une gamine… et à voir la marque de son sac à main, elle venait de la vallée. Autrement dit : de là où vivaient les petites filles riches…
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Je mets le turbo, pressé d’arriver au bout de la piste pour pouvoir m’arrêter. Une fois à destination, je frappe le sol du pied avant de cracher dans un coin, juste pour faire passer ma mauvaise humeur. Et comme si ça ne suffisait pas, je repère cet emmerdeur de Marcoux dans les gradins en train de faire son numéro à Claire. S’il ne tenait qu’à moi, je grimperais là-haut et je ficherais une raclée à cet imbécile. Je lui dirais que cette fille est à moi, et tant pis si William me cogne en échange. Je commence à croire que les choses seraient vraiment plus simples si nous disions la vérité à tout le monde. – Qu’est-ce que t’es à cran, toi ! me lâche mon ami en me rejoignant. Je ne réponds pas. Surtout que l’entraîneur nous fait signe de nous placer sur le terrain en nous donnant différents conseils. Je ne suis même pas sûr de les entendre tellement je zieute du côté de Claire en espérant qu’elle ne s’en rende pas compte.
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En voilà un drôle de boulot ! Ce n’est certainement pas ce à quoi je m’attendais en postulant pour cette petite annonce. Quoique… ça risque d’être intéressant. La baise était chouette, c’est vrai, mais tout est fini. Je n’ai pas la moindre envie d’entretenir une liaison avec mon patron. Surtout que celui-ci est un vrai coureur de jupons.
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Encore engourdie par mon dernier orgasme, j’ai la sensation que tout est plus intense, et je continue de gémir lorsqu’il plonge ainsi en moi. Mes bras se nouent autour de ses épaules et je ne résiste pas à dévorer sa bouche lorsqu’elle apparaît devant moi.
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Une seule baise à l’amiable, une relation de travail ensuite, et pas de belles promesses qui ne seraient jamais tenues.
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Je trouve que tu es une sacrée allumeuse, et que je mérite quelque chose en retour des caresses que je t’ai données.
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