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Citations de Sara Agnès L. (166)


Mes yeux s’accrochent à son décolleté. Ma parole ! Qu’est-ce qui m’arrive ? Je sais bien que je n’ai pas vu une femme depuis des semaines, mais quand même !
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Quand des rires se firent entendre, Tyra baissa la tête et Gisla demanda aussitôt : — Quoi ? — Rien. Juste… des bêtises d’hommes. — Mais encore ? insista-t-elle. Tyra se pencha vers elle pour dire : — Ils déterminent qui pourra voir… dans la chambre. Incertaine de comprendre le sens de ses mots, Gisla fronça les sourcils. — Voir quoi ? — Toi et Rolf. Devant les rougeurs qui montaient aux joues de Tyra, Gisla eut la sensation de défaillir. Elle n’était pas sérieuse ! — Mais… pourquoi ? — C’est une tradition, expliqua Tyra. Pour vérifier que… vrai mariage. Gisla aurait aimé que cela ait un sens, mais elle s’entendit dire : — C’est que… nous avons déjà… À sa droite, Rolf se leva et il sortit un bout de tissu dans un sale état qui la fit blêmir. C’était celui qui contenait le sang de sa virginité. Les mots de son époux furent rudes et Gisla s’empressa de baisser les yeux, troublée à l’idée de croiser le regard de quiconque à ce moment précis. — Rolf leur dit que le mariage est vrai. Que bientôt, tu auras un bébé. Troublée, Gisla porta une main à son front. Voilà qui était très inconvenant. Est-ce qu’elle devait dire quelque chose ? Avait-elle seulement droit de parole dans toutes ces traditions étranges ? — Dire que mariage être béni des dieux. — Gisla. La voix de Rolf la fit pivoter vers son époux, mais comme il tendait la main vers elle, elle comprit qu’elle devait la prendre et se redresser à ses côtés. Une fois debout, il l’attira vers lui et s’empara de sa bouche avec fougue. Gisla resta raide entre ses bras, mais comme la langue de son époux se fit insistante, elle se détendit et répondit à ce baiser avant de s’accrocher à la nuque de Rolf. Là seulement, il recula la tête et elle remarqua son regard, doux, heureux… excité aussi.
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Demain, vie neuve pour toi. — Nouvelle vie, le reprit-elle. — Oui. Nouvelle vie. Pour toi et moi. Elle lui sourit dans la pénombre et attendit. En quoi demain serait-il différent d’aujourd’hui ? Toute sa vie était nouvelle. Ce mari, ce pays. Tout ! Comme Rolf lui demandait de comprendre, elle hocha la tête pour lui faire ce plaisir. Elle n’était surtout pas en état de le contredire. Du revers de la main, Rolf caressa sa joue et elle resta immobile, pressentant déjà qu’il risquait de s’inviter dans son lit. — Inn mátki munr, souffla-t-il. — Je… ne comprends pas. — Tu être… important pour moi. Gisla resta surprise de son aveu. Pourquoi lui disait-il de si jolies choses ? N’était-elle pas sous son pouvoir, après tout ? — Quand je vois… toi, le premier fois… je sais que… tu es… à moi. Elle avala difficilement sa salive avant de bredouiller : — Ah… oui ? — Já. Si pas union, je… voler toi à ton père. Pendant plusieurs secondes, Gisla décoda ces paroles avant de les comprendre. Rolf avait songé à l’emmener de force ? Choquée, elle se redressa partiellement avant de jeter : — Mon père… il ne vous l’aurait jamais permis ! La main de Rolf contourna son visage et ses doigts s’enfoncèrent dans ses cheveux dans un geste ferme, presque possessif. — Je voulais toi, répéta-t-il. De sa main libre, il pointa sa poitrine. — Tu es… ma femme. Troublée par son insistance, elle opina timidement. Qu’essayait-il de lui dire ? N’avait-il pas déjà pris tout ce qu’elle était ? Sa vie autant que son corps ? Qu’espérait-il de plus ? — Tu être bien ici. Avec moi.
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— Mais si… vous me considérez comme une ennemie… pourquoi voudriez-vous m’apprendre à combattre ? Un nouveau sourire illumina le visage de Rolf et sa réponse ne fut pas rassurante : — Village être attaqué, parfois. Sur son siège, Gisla se raidit et le questionna sans attendre : — Attaqué ? Par qui ? — Autre clan, dit-il simplement. Devant son expression, il poursuivit : — Femme viking apprendre combat. Devoir… protéger clan. Parce qu’il lui faudrait protéger tous ces gens qu’elle détestait ? Mais elle n’avait rien d’une guerrière ! Et pourquoi ne craignait-il pas qu’elle le tue, lui ? S’il lui permettait de toucher à une arme, cela serait certainement sa première idée. Et si un autre clan surgissait et l’éliminait avant qu’elle n’ait pu mettre son plan à exécution ? Quel dilemme ! — Femme Jarl avoir… courage, dit-il encore.
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Elle pivota vers lui et remarqua qu’il ne s’était pas totalement allongé sur la couche, mais s’était assis, prêt à se relever dans la seconde. — Et vous ? Vous n’essayez pas de dormir ? osa-t-elle demander. — Dormir sur bateau. Ici… pas en sécurité. Elle fronça les sourcils. — Mais puisque je vous dis qu’il n’y a aucun piège ! Sceptique, il secoua la tête. — Trop de gens ici. Beaucoup ennemis. À Östra Aros, plus facile. Seulement… toi. Gisla prit quelques secondes pour comprendre ses propos, puis se redressa sur un coude. — Parce que vous me considérez toujours comme votre ennemie ? le questionna-t-elle avec une pointe de colère au fond de la voix. Rolf ne répondit pas, mais elle devina, à son expression, qu’il émettait de sérieux doutes à son sujet. — Si c’est le cas, pourquoi m’avoir épousée ? lâcha-t-elle bêtement. Il la scruta avec attention et Gisla regretta sa question, surtout lorsqu’elle sentit son regard descendre vers sa poitrine. — Frère mort à Oscelle, lui rappela-t-il. Elle feignit de ne pas comprendre le lien entre les deux lorsqu’elle jeta : — Et alors ? — Je être à Oscelle, avoua-t-il sans sourciller. Même si elle connaissait cette information, Gisla eut un geste de recul à l’idée que celui qu’elle venait d’épouser soit responsable de la mort de Louis, et elle s’empressa de pivoter sur sa couche pour retrouver sa position initiale, là où Rolf ne pourrait plus l’observer de la sorte. Elle détestait cette façon qu’il avait de la regarder. Comme s’il essayait de deviner ses pensées ! — Si piège, dire à moi, insista-t-il d’une voix grave. Elle se tourna de nouveau avant de pester : — Il n’y a pas de piège ! Combien de fois vais-je devoir vous le répéter ? Le doute qu’elle lisait dans le regard de son époux l’inquiéta. Comment pouvait-elle réellement songer à partir avec cet homme sur une terre inconnue alors qu’il la considérait comme son ennemie ? Elle n’allait jamais tenir jusqu’au printemps ! — Mon frère est mort, c’est vrai, concéda-t-elle, mais… c’était la guerre. Devant le silence qui passa, elle se sentit forcée d’ajouter : — Mon père voulait réellement trouver une solution pour protéger tout le monde. — Avec alliance, résuma-t-il. — Eh bien… oui. Certes, il aurait pu me faire épouser Robert le Fort, mais vous n’êtes pas sans savoir que son armée a subi de lourds dommages, ces derniers mois. C’est la raison pour laquelle il a cru préférable que je choisisse… quelqu’un qui pourrait assurer ma sécurité et celle de son royaume. — Hum, dit-il, sceptique. Gisla se redressa, déterminée à le convaincre du bien-fondé de cette union qu’elle était pourtant la première à détester. — Grâce à vous, mon père a une armée redoutable. — Já, confirma Rolf.
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Je donne réponse demain. — Voilà qui serait très apprécié, rétorqua le roi sur un ton poli. Vous savez comme moi que le temps est précieux dans ce genre d’alliance. Rolf leva la main pour le faire taire de façon très cavalière avant de le questionner : — Fille… être pure ? Le roi sursauta sur son siège. — Quelle question ! Bien sûr ! Quand elle comprit ce qu’il venait de demander à son père, Gisla se sentit à la fois choquée et gênée, et elle se permit de dévisager l’homme avec une pointe de colère au fond des yeux, même s’il était toujours aussi terrifiant. Dans des gestes lents, Rolf se leva avant de répéter : — Répondre demain. Il contourna la table et passa derrière le roi, puis Gisla retint son souffle lorsqu’il se posa face à elle. Il se pencha avant de la pointer d’une main à moitié gantée. — Jolie lumière dans yeux. Elle le scruta avant de comprendre qu’il lui faisait un compliment. Venait-il de lui dire qu’il aimait son regard ? Était-ce son attitude qui lui plaisait, comme l’avait prédit Edda ? Lorsqu’il lui offrit un sourire, elle eut du mal à en faire autant, troublée par sa proximité et par la façon dont il la dévisageait, mais fit un effort afin de ne pas le froisser. Edda lui avait répété qu’il fallait parfois ployer le genou pour mieux rebondir, mais devant un homme d’une telle carrure, voilà qu’elle doutait que cela suffise.
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Rolf se pencha avant de s’adresser à la jeune femme : — Roi dire vrai ? Elle opina en silence et il fronça les sourcils. — Parle, femme. Agacée par son ton, elle riposta : — Je vous épouserai si vous promettez de laisser mon peuple tranquille. Si tant est que vous soyez capable de respecter vos promesses. Le roi se raidit à ses côtés et tourna un regard sombre dans sa direction. — Vous pourriez montrer un peu de respect pour notre invité, la rabroua-t-il. Si elle n’avait été aussi effrayée de possibles représailles, elle aurait été suffisamment désagréable pour que Rolf se lève et refuse cette offre, mais elle se contenta de baisser la tête en silence. Du coin de l’œil, elle remarqua le sourire qui étira les lèvres de Rolf pendant qu’il prenait ses aises sur la petite chaise sur laquelle il était installé. — J’aime femme avec… comment dire ? Attitude ? — Elle n’en manque pas, il est vrai, confirma le roi avec une pointe d’agacement au fond de la voix. — Gis… la ? répéta Rolf. Elle releva la tête en tentant de rester fière quand son père reprit : — Princesse Gisla. Nullement impressionné, il se mit à rire. — Que vouloir princesse ? exigea-t-il sur un ton amusé. — Que vous laissiez la Francie occidentale tranquille, se risqua-t-elle à répondre. Devant le regard insistant de son père, elle reprit : — Et que vous nous débarrassiez de ces Bretons qui tentent de nous envahir. Rolf caressa sa barbe claire et fit semblant de réfléchir avant de reprendre : — Contre mariage ? — Ma fille est une princesse, lui rappela le roi, et il est de son devoir de protéger son peuple. Vous pourrez conserver tous les trésors des Bretons, ainsi que leurs terres, si vous le souhaitez. L’un des gardes se pencha près de Rolf et ils échangèrent des paroles chuchotées, mais rien qui ne leur était compréhensible. Gisla remarqua que sa respiration se faisait difficile. Elle priait pour que cet homme refuse cette proposition ridicule et quitte le palais sans plus attendre, quand il termina son second verre avant d’annoncer : — Offre intéressante, mais devoir parler avec hommes. — Bien sûr, concéda le roi, mais il vaudrait mieux ne pas trop tarder avant de nous donner votre réponse puisque… Il hésita avant d’avouer : — Vous n’êtes pas le seul prétendant de ma fille, vous vous en doutez. Rolf sembla douter des propos du roi quand l’information tomba : — Robert le Fort souhaite également une alliance avec notre royaume afin de vous combattre.
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Rolf releva la tête, puis Gisla comprit qu’il la scrutait, alors elle se décida à porter son verre à ses lèvres. — Nous pourrions créer une alliance, si vous le désiriez. — Alli… ance ? répéta le Viking. Elle aurait aimé rester de glace devant ce mot, mais Gisla ferma les yeux pendant quelques minutes. Son père n’allait quand même pas supplier cet homme de l’épouser ? S’il ne voulait pas de son plan, tant pis ! — Je peux vous payer, bien sûr, et, en échange, vous pourriez protéger nos terres contre nos ennemis, déjà. À moins que vous ne préfériez un titre de noblesse. Du coin de l’œil, elle remarqua que Rolf s’était reculé sur son siège. Avait-il compris ce dont son père parlait ? — Imaginez qu’il y ait un mariage entre nos peuples, reprit le roi comme si cette idée était purement hypothétique, vous pourriez devenir… comte ou… exigez une terre, même si celles des Bretons sont parfaites pour créer un commerce maritime. Gisla attendit, mais elle sentait le regard de Rolf sur elle, c’est pourquoi elle se risqua à relever les yeux. Sa bouche était sèche et elle eut du mal à ramener son verre à ses lèvres tellement sa main tremblait. Néanmoins, elle poursuivit son geste en espérant que personne ne remarque la peur qui la tenaillait de toutes parts. — Vouloir donner fille ? demanda simplement Rolf. — Si c’est le moyen de sauver mon peuple, je le ferai, confirma le roi d’une voix ferme.
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— Je ne veux pas épouser un Viking, finit-elle par admettre. — Désirez-vous venger la mort de votre frère ? Elle se raidit devant cette question. — N’est-ce pas plus simple d’épouser Robert le Fort afin de créer l’alliance qu’espère mon père ? — À quoi bon, puisqu’il n’a pas été apte à sauver votre frère ? D’un regard entendu, Edda insista : — Son armée, aussi puissante soit-elle, est incapable d’arrêter celle de Rolf, autrement, elle l’aurait déjà fait. Gisla fut incapable de répondre, mais cela lui parut plausible. Après tout, Robert combattait les Vikings depuis si longtemps… — En créant une alliance avec les Vikings, vous ramènerez la paix en Francie occidentale, soutint Edda. Grâce à cette union, vous pourrez venger votre frère en tuant le véritable responsable de sa mort.
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— Avant ton arrivée, j'étais comme un bateau, Amy..je dérivais n'importe comment. Et puis... soudain... tu étais là. Comme une île perdue au milieu de nulle part. Et quand j'ai compris que c'est là que je voulais être, eh bien..je me suis mis à jeter l'ancre tu vois ?
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Elle grimaça, ce qui chassa une partie du malaise que je ressentais.

— Je suis très fière de toi, dit-elle encore. Et maman l’est tout autant. Papa aussi, et sûrement Nico, mais bon… tu sais comment il est !

Ému par ses paroles, j’affichai un sourire discret. Avec Lilou, je n’avais jamais eu à parler beaucoup. Elle comprenait. Même quand je faisais des cauchemars, elle attendait plusieurs jours avant de venir aborder le sujet avec moi. Comment pouvais-je avoir autant de chance ? J’hésitai avant de me pencher vers elle. J’étais intimidé de l’embrasser alors qu’elle venait de ramener l’Église entre nous, alors je me contentai de poser un baiser furtif sur son front, non sans espérer qu’elle tende ses lèvres dans ma direction, mais elle s’esquiva de mes bras.
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— Allez ! File en haut ! On fera une super équipe, tu vas voir.

Je souris, mais en réalité, l’humeur n’y était plus. J’étais complètement sous le charme de cette fille et je n’arrivais plus à imaginer que mon corps puisse s’éloigner du sien.
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Je me sentis ridicule de lui répéter mes plans d’avenir, surtout après le moment que nous venions de partager. Où étaient planquées mes convictions, pendant que Lilou éveillait mon corps au plaisir ? Pendant que je fixais sa bouche qui émettait le plus beau des gémissements ? Détournant la tête, je chassai mes vilaines pensées. Il fallait que ce petit jeu cesse avant que j’y perde mon âme !

— Hé ! Je n’ai pas l’intention de te voler à Dieu, hein ! me jeta-t-elle soudain.
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Revoir Lizzy avait été troublant. Dans les quelques souvenirs que j’avais encore de ma mère, je n’avais jamais senti qu’elle m’aimait d’un amour très maternel. Alors que Lizzy, elle, avait toujours eu ça dans le sang. À Sainte-Feyre, c’était la première à aller voir ceux qui étaient malades, à leur apporter de la soupe ou des biscuits. C’était une maman dans l’âme. Elle m’avait toujours ouvert son cœur, même quand le mien restait obstinément fermé. Et visiblement, elle n’avait pas changé…
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Peut-être que la véritable Victoria se cachait-elle encore, sous ce masque, mais elle retrouva très vite son air froid. Lukas comprit qu’il n’avait pas choisi les bons mots et qu’il l’avait, encore une fois, insultée. À quoi bon ? Elle ne voulait rien entendre. Comment aurait-il pu lui dire qu’il voulait chasser jusqu’au dernier souvenir d’elle de chez lui ? Et que cet argent, c’était la seule méthode qu’il connaissait pour demander pardon ?
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Elle était si belle et si désirable. Et elle semblait complètement détachée de la situation, les yeux rivés sur lui, sans l’ombre d’une douleur apparente. Rien à voir avec la jeune femme qui était venue rompre, vendredi dernier, tremblante sur son palier. À croire qu’elle était déjà à des kilomètres de ce qu’ils avaient vécu. Comment était-ce possible ?
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Pire encore : il savait dans quel état elle était, et il ne pouvait plus rien y faire. Tel qu’il l’avait prédit, le noir avait définitivement absorbé le jaune, et la nuit avait repris son règne. Leur relation était condamnée depuis le début.

L’argent simplifiait définitivement tout. S’il pouvait recouvrir Victoria de billets verts, il le ferait sur le champ. Chaque fois qu’il avait quitté une femme avant que son contrat ne vienne à terme, il lui avait offert un bonus. Cela l’empêchait de se sentir coupable. Coupable de quoi, il n’en savait rien.
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Ne s’était-il pas promis de ne jamais remettre son cœur entre les mains d’une femme ? Comment pouvait-il être dans un tel état ?

Partout où il posait les yeux, il revoyait Victoria. Sur ce canapé, dans ce cadre qu’elle avait choisi, et même dans ces murs colorés qui ne lui ressemblaient pas. Désormais, il savait pourquoi il avait toujours tenu à conserver un appartement au décor sobre.
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Ce n’est pas moi que tu aimes, mais uniquement le fait que je sois ta propriété. En réalité, les femmes sont comme des objets, pour toi. Un peu comme une montre ou une voiture…
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Pardonner à Lukas serait si simple, mais comment oublier ce fichu mot qu’il avait jeté sans réfléchir ? Avec du temps, elle finirait peut-être par se persuader qu’il l’aimait, bien qu’il ait attendu qu’elle le quitte pour le lui dire.
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