Renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs.
Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions.
-Vous avez le même regard que les grands artistes. Une bonté qui embrasse toute chose et une solitude que personne ne peut comprendre.
- Les capitalistes exploitent les faiblesses des gens dans la précarité.
- Quant à vous ! Jamais une goutte de sueur sur vos fronts ! Mais tout l'argent vous revient !
- Un grand général ne devrait-il pas mettre de côté ses propres désirs au profit de la victoire ?
- Robin ! Sais-tu de quoi est fait l'argent ?
- ...
- De labeur ! L'argent est la matérialisation du travail humain et du temps passé à suer !
Le prince dont le pouvoir n'a pour appui que des troupes mercenaires, ne sera jamais ni assuré ni tranquille ; car de telles troupes sont désunies, ambitieuses, sans discipline, infidèles, hardies envers les amis, lâches contre les ennemis ; et elles n'ont ni crainte de Dieu, ni probité à l'égard des hommes
- Ne serait-ce pas sur nos faiblesses que repose le capitalisme ?
L'amour est un pouvoir... qui pousse à s'éprendre de l'autre...
Aussi, ne faut-il jamais maltraiter personne, à moins qu'on ne lui ôte entièrement le pouvoir de se venger.
- Les capitalistes exploitent les faiblesses des gens dans la précarité. [...] La force de travail est remplaçable à volonté ! Et tous ces gens tributaires de la charité ou d'une allocation chômage pour vivre... On appelle cela "l'armée de réserve de travailleurs".
Le domaine de la liberté commence là où cesse le travail.
La parole a été donné à l'homme pour cacher sa pensée.
Les passions sont toutes bonnes de leur nature et nous n'avons rien à éviter que leurs mauvais usages ou leurs excès.
La vie est parsemée d'épines plus que de fleurs.
Quant à nous, si nous étions forcés à l’option entre les barbares de la civilisation et les civilisés de la barbarie, nous choisirions les barbares.
Il y a deux manières de combattre, l'une avec les lois, l'autre avec la force.
Si l'homme se dit être un animal qui a évolué, il repose hélas son affirmation sur sa propre conception de l'évolution.
On doit concevoir par là, que ce qui généralise la volonté est moins le nombre des voix que l'intérêt commun qui les unit.