Critiques de Takahiro (104)
Après un premier tome de mise en place, et les tomes deux et trois qui nous secouaient les tripes, ce quatrième tome se montre un peu plus calme et léger. On y retrouve beaucoup d’humour, mais également de nouvelles mises en places pour la suite des événements.
On découvre de nouveaux personnages avec la formation de l’unité Jager qui promet de belles choses pour la suite. Le personnage d’Esdeath se trouve mis en avant avec une relation amoureuse très marrante mais pas dénué d’intérêt. Elle va à présent avoir un intérêt tout particulier pour le Night Raid et tout laisse présager que ses agissements futurs ne seront pas aussi radicaux.
Après ce tome de transition nul doute que le cinquième volume sera plus vif et plus explosif ! Cette série qui n’est pas spécialement la plus populaire mérite vraiment d’être lue car elle est d’une grande qualité.
On découvre de nouveaux personnages avec la formation de l’unité Jager qui promet de belles choses pour la suite. Le personnage d’Esdeath se trouve mis en avant avec une relation amoureuse très marrante mais pas dénué d’intérêt. Elle va à présent avoir un intérêt tout particulier pour le Night Raid et tout laisse présager que ses agissements futurs ne seront pas aussi radicaux.
Après ce tome de transition nul doute que le cinquième volume sera plus vif et plus explosif ! Cette série qui n’est pas spécialement la plus populaire mérite vraiment d’être lue car elle est d’une grande qualité.
Challenge petits plaisirs 31/40
L’histoire nous présente le jeune Tatsumi qui vient de quitter son village pour monter à la capitale. Son but est simple, se faire engager dans l’Armée afin de remporter du prestige et de pouvoir subvenir aux besoins de son village.
Car nous nous trouvons dans un monde ou hormis la capitale, tout semble crouler sous les impôts et les taxes. La misère se trouve dans chaque village et Tatsumi fonde beaucoup d’espoir dans son avenir à la capitale.
Mais se faire admettre comme soldat n’a rien d’évident car la liste est longue. En attendant de pouvoir en être, il se fait héberger par une jeune noble qui semble bien sous tout rapport. Mais très vite, un soir, un groupe d’assassins les surprend en pleine nuit et attaque la maison.
A partir de là, les choses changent du tout au tout car on se end compte que les apparences sont parfois trompeuses. Tatsumi retrouve deux de ses amis qui étaient également partis à la conquête de la capitale, en très mauvaise posture.
Le scénariste met en scène un jeune aventurier plutôt candide qui va rejoindre un groupe d’assassins éliminant tous les rebuts de la société. Le manga mélange humour, horreur (assez forte parfois) et action en essayant de garder une certaine cohérence mais ça ne marche pas forcément tout de suite. On est assez surpris lorsque l’on passe d’un moment gore à un moment triste puis un moment drôle en seulement quelques pages. C’est un peu surprenant mais ça se laisse lire assez facilement tout de même.
Par ailleurs, si le dessin est nerveux et percutant, le chara design manque de relief et on mélange parfois les personnages surtout à cause de leur coupes de cheveux qui pour certains sont quasiment identiques.
Un bon tome, assez épais, un peu inégal mais qui ne demande qu’a s’affiner d’ici deux ou trois tomes. A surveiller pour voir comment cela va évoluer.
L’histoire nous présente le jeune Tatsumi qui vient de quitter son village pour monter à la capitale. Son but est simple, se faire engager dans l’Armée afin de remporter du prestige et de pouvoir subvenir aux besoins de son village.
Car nous nous trouvons dans un monde ou hormis la capitale, tout semble crouler sous les impôts et les taxes. La misère se trouve dans chaque village et Tatsumi fonde beaucoup d’espoir dans son avenir à la capitale.
Mais se faire admettre comme soldat n’a rien d’évident car la liste est longue. En attendant de pouvoir en être, il se fait héberger par une jeune noble qui semble bien sous tout rapport. Mais très vite, un soir, un groupe d’assassins les surprend en pleine nuit et attaque la maison.
A partir de là, les choses changent du tout au tout car on se end compte que les apparences sont parfois trompeuses. Tatsumi retrouve deux de ses amis qui étaient également partis à la conquête de la capitale, en très mauvaise posture.
Le scénariste met en scène un jeune aventurier plutôt candide qui va rejoindre un groupe d’assassins éliminant tous les rebuts de la société. Le manga mélange humour, horreur (assez forte parfois) et action en essayant de garder une certaine cohérence mais ça ne marche pas forcément tout de suite. On est assez surpris lorsque l’on passe d’un moment gore à un moment triste puis un moment drôle en seulement quelques pages. C’est un peu surprenant mais ça se laisse lire assez facilement tout de même.
Par ailleurs, si le dessin est nerveux et percutant, le chara design manque de relief et on mélange parfois les personnages surtout à cause de leur coupes de cheveux qui pour certains sont quasiment identiques.
Un bon tome, assez épais, un peu inégal mais qui ne demande qu’a s’affiner d’ici deux ou trois tomes. A surveiller pour voir comment cela va évoluer.
Demon Slave Tome 1 by Takahiro (Japon) & Yohei Takemura/ Kurokawa /Sorti le 11 Février 2021. 208 Pages.
Les hommes n’ont pas eu droit aux bienfaits de le « Pêche », c’est la misère dès la naissance pour eux.
Les sportifs sont restés les plus populaires.
Ca va même jusqu’aux « Wagons réservés aux Femmes » bien plus confortables que ceux des Hommes…
« Les hommes n’ont aucun pouvoir alors il faut qu’ils développent leurs talents »
Yûki souhaite qu’il existe une autre réalité pour échapper à son train train morbide.
« Mato » « ville démon » au sein du Japon des portails vers une ville de la taille de Tokyo.
Un endroit peuplé de « démons infernaux » (désolé le nom en VO est impossible !). Il y pousse « la pêche » un fruit qui enrichit les femmes en n’ayant aucun effet sur les hommes. « Les catastrophes de Mato » désigne un voyage intempestif entre ces mondes…
Le héros se souvient qu’il était justement arrivé une « Catastrophe de Mato » a sa sœur.
Kyôka de la section anti-démons vient à la rescousse du personnage principal. Elle rêve de devenir une commandante suprême. Un shonen, quoi.
Quand Yûki est soumis à Kyôka (pour une histoire de pouvoirs !) il lèche la main de celle-ci et se transforme en machine à tuer.
Après s’être sortis d’une situation délicate, nos deux héros se rapprochent…
Le comique de l’éternel jeune adolescent qui saigne du nez (en métaphore seulement, ci…) dès qu’une fille est un peu gentille avec lui. Surtout dans ce monde parallèle.
Yûki est clairement motivé par … Ce petit coquin !
Une histoire où le seul moyen pour l’homme d’acquérir la puissance et de se « Démoniser » …
Quelques scènes Olé Olé me font penser que ce n’est pas tant Shonen que ça.
Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
Les hommes n’ont pas eu droit aux bienfaits de le « Pêche », c’est la misère dès la naissance pour eux.
Les sportifs sont restés les plus populaires.
Ca va même jusqu’aux « Wagons réservés aux Femmes » bien plus confortables que ceux des Hommes…
« Les hommes n’ont aucun pouvoir alors il faut qu’ils développent leurs talents »
Yûki souhaite qu’il existe une autre réalité pour échapper à son train train morbide.
« Mato » « ville démon » au sein du Japon des portails vers une ville de la taille de Tokyo.
Un endroit peuplé de « démons infernaux » (désolé le nom en VO est impossible !). Il y pousse « la pêche » un fruit qui enrichit les femmes en n’ayant aucun effet sur les hommes. « Les catastrophes de Mato » désigne un voyage intempestif entre ces mondes…
Le héros se souvient qu’il était justement arrivé une « Catastrophe de Mato » a sa sœur.
Kyôka de la section anti-démons vient à la rescousse du personnage principal. Elle rêve de devenir une commandante suprême. Un shonen, quoi.
Quand Yûki est soumis à Kyôka (pour une histoire de pouvoirs !) il lèche la main de celle-ci et se transforme en machine à tuer.
Après s’être sortis d’une situation délicate, nos deux héros se rapprochent…
Le comique de l’éternel jeune adolescent qui saigne du nez (en métaphore seulement, ci…) dès qu’une fille est un peu gentille avec lui. Surtout dans ce monde parallèle.
Yûki est clairement motivé par … Ce petit coquin !
Une histoire où le seul moyen pour l’homme d’acquérir la puissance et de se « Démoniser » …
Quelques scènes Olé Olé me font penser que ce n’est pas tant Shonen que ça.
Phoenix
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Red Eyes Sword Zero, tome 1 par Toru Kei (Japon) & Takahiro (Japon, aussi !) Tome 1/10. 224 pages Kurokwa (12/05/2016) 3.94/5 (18 notes sur bab !).
Akame et Tsukushi (les sœurs) rejoignent une troupe d’acrobates en tant que couverture pour éliminer une cible. Seulement, les brigands les attaquent, en les menaçant des pires choses…, mais Akame sait bien se défendre.
Le Scénario est banal, cela dit, il compense de par son additivité.
Les deux sœurs valident leur période d’entrainement et se mettent à avoir de vrais contrats. C’est à la fois mignon et mortel.
Akame travaille pour le compte de l’Empire (oui c’est plus ou moins similaire à Star Wars !). On sait si on a Lu ne serait-ce que le début de la saison précédente, qu’elle va ensuite changer de camp. Mais on voit que c’est en en passant par là qu’elle acquiert toute sa puissance de combat.
« Vais-je mourir ?! Si… Si je meurs… Kurome se retrouvera toute seule ! »
Akame deviendra une véritable machine à Tuer toute puissante or ses missions seront de plus en plus difficiles…
Phoenix
++
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Akame et Tsukushi (les sœurs) rejoignent une troupe d’acrobates en tant que couverture pour éliminer une cible. Seulement, les brigands les attaquent, en les menaçant des pires choses…, mais Akame sait bien se défendre.
Le Scénario est banal, cela dit, il compense de par son additivité.
Les deux sœurs valident leur période d’entrainement et se mettent à avoir de vrais contrats. C’est à la fois mignon et mortel.
Akame travaille pour le compte de l’Empire (oui c’est plus ou moins similaire à Star Wars !). On sait si on a Lu ne serait-ce que le début de la saison précédente, qu’elle va ensuite changer de camp. Mais on voit que c’est en en passant par là qu’elle acquiert toute sa puissance de combat.
« Vais-je mourir ?! Si… Si je meurs… Kurome se retrouvera toute seule ! »
Akame deviendra une véritable machine à Tuer toute puissante or ses missions seront de plus en plus difficiles…
Phoenix
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Salut mes poussins Phoenix ! Vous allez bien j'espère ?! Aujourd'hui nous allons parler d'un (relativement) vieux manga, du 11 Juin 2015. Il s'agit de Red eyes sword, tome 5 de Takahiro (Japonais...) & Tetsuya Tashiro (Japonais, 1969), il a trouvé preneur aux éditions Kurokawa, comporte 208 pages, est noté 4.05/5 (Sur 21 notes de Babelio) et est côté « Kuro 20 »
Tatsumi a tapé dans l'oeil de Esdeath la vraiment méchante très très méchante qui aime beaucoup beaucoup torturer les gens (j'aime quand les choses sont claires ! Lol!). Leone (La Tank alcoolique) est jalouse, membre de son crou.
« Je ne laisserais pas cette sadique me le prendre » (page 4).
On revient donc (j'adore enfoncer des portes ouvertes) à l'ultra manichéisme « les méchants sont sadiques » « les gentils ne se battent que pour les nobles causes... » On peut avoir beaucoup de Kink et être quelqu'un de très bien. Je pourrais en parler des heures alors passons...
La sublime Akama (qui est une égérie dans le culture des personnages pop/geek/manga) … Fait son apparition en nous dévoilant ses jolies jambes. On sait qu'elle va envoyer.
Beaucoup de références (Hit-man, Dragon Ball, Narcisse).
L'ex générale Najenda fait son apparition pleine de classe.
A Susanoo d'entrer dans la bataille avec style. (Nom inspiré de Naruto ? Ou terme classique en Japonais?)
Un peu bizarre ! Akama ne peut plus marcher et sans raison apparente elle se jette de nouveau dans la mêlée trois pages plus tard.
Le Night Raid sera il victorieux ?
« Toi aussi, tu es trop gentille ! »
« Pas du tout. J'ai juste un problème de santé mentale. »
(p.158)
« Fal » et son ami qui ont étés torturées et l'une d'elle morte parce que bon c'est bien connu le monde regorge de gens qui ne pensent qu'à tuer et à torturer sur le plus long terme possible, et bien sûr, au bout d'un moment ils commettent une erreur et les rôles s'inversent.
« Je vous ai vengées... Toutes les deux... Et je ne vais pas tarder à vous rejoindre. Si je dois ressusciter... J'aimerais que ce soit... Dans un monde meilleur »
(+ ou – La fin!)
Ce que j'ai pensé de ce Livre ?! Il est bien, il s'enchaine bien, il est fluide, intéressant, bien écrit, il n'en fait pas des tonnes. En revanche il est incroyablement moyen voir un peu plat.;-)...
Je vous souhaite un bon début de semaine.
Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
Tatsumi a tapé dans l'oeil de Esdeath la vraiment méchante très très méchante qui aime beaucoup beaucoup torturer les gens (j'aime quand les choses sont claires ! Lol!). Leone (La Tank alcoolique) est jalouse, membre de son crou.
« Je ne laisserais pas cette sadique me le prendre » (page 4).
On revient donc (j'adore enfoncer des portes ouvertes) à l'ultra manichéisme « les méchants sont sadiques » « les gentils ne se battent que pour les nobles causes... » On peut avoir beaucoup de Kink et être quelqu'un de très bien. Je pourrais en parler des heures alors passons...
La sublime Akama (qui est une égérie dans le culture des personnages pop/geek/manga) … Fait son apparition en nous dévoilant ses jolies jambes. On sait qu'elle va envoyer.
Beaucoup de références (Hit-man, Dragon Ball, Narcisse).
L'ex générale Najenda fait son apparition pleine de classe.
A Susanoo d'entrer dans la bataille avec style. (Nom inspiré de Naruto ? Ou terme classique en Japonais?)
Un peu bizarre ! Akama ne peut plus marcher et sans raison apparente elle se jette de nouveau dans la mêlée trois pages plus tard.
Le Night Raid sera il victorieux ?
« Toi aussi, tu es trop gentille ! »
« Pas du tout. J'ai juste un problème de santé mentale. »
(p.158)
« Fal » et son ami qui ont étés torturées et l'une d'elle morte parce que bon c'est bien connu le monde regorge de gens qui ne pensent qu'à tuer et à torturer sur le plus long terme possible, et bien sûr, au bout d'un moment ils commettent une erreur et les rôles s'inversent.
« Je vous ai vengées... Toutes les deux... Et je ne vais pas tarder à vous rejoindre. Si je dois ressusciter... J'aimerais que ce soit... Dans un monde meilleur »
(+ ou – La fin!)
Ce que j'ai pensé de ce Livre ?! Il est bien, il s'enchaine bien, il est fluide, intéressant, bien écrit, il n'en fait pas des tonnes. En revanche il est incroyablement moyen voir un peu plat.;-)...
Je vous souhaite un bon début de semaine.
Phoenix
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Ce troisième tome narre une seule et unique bataille assez intense et qui ne prends pas de détours. Lors du combat, il est difficile d’être déçu tant nous retrouvons les qualités des précédents combats avec un soupçon de développement de personnage, du côté des alliés comme dans celui des ennemis.
On pensais qu’après les événements tragique du tome 2 (La mort de Sheele, membre du Night Raid ) les choses allaient se calmer un peu, mais non, ce manga nous surprend une fois de plus et n’hésite pas à trancher dans le vif.
Je pense que notre héros va prendre de plus en plus de profondeur et avoir non plus un rôle de spectateur, mais plutôt un rôle de leader d’ici peu.
Toujours aussi surprenant, loin des standards classique, c’est frais, dynamique, émouvant, et tragique. La roue de la mort peut tomber sur n’importe qui, ne vous attachez pas trop aux personnages, c’est un conseil.
On pensais qu’après les événements tragique du tome 2 (La mort de Sheele, membre du Night Raid ) les choses allaient se calmer un peu, mais non, ce manga nous surprend une fois de plus et n’hésite pas à trancher dans le vif.
Je pense que notre héros va prendre de plus en plus de profondeur et avoir non plus un rôle de spectateur, mais plutôt un rôle de leader d’ici peu.
Toujours aussi surprenant, loin des standards classique, c’est frais, dynamique, émouvant, et tragique. La roue de la mort peut tomber sur n’importe qui, ne vous attachez pas trop aux personnages, c’est un conseil.
Takahiro | Tetsuya Tashiro |Red eyes sword tome 3 sur 15|192 pages|Kurokawa |3.98 /5 (22 notes !!)
C’est vraiment l’allégorie de la lutte des classes !! Et pas du point de vue des plus riches !! On les aperçoit en train de torturer à mort le « bétail » que représente les pauvres gens…
« J’ai perdu une camarade chère à mes yeux !! Comment veux-tu que je m’habitue à une douleur pareille ? »
« Esdeath (…) est de retour à la capitale (…) il paraît qu’elle est en train d’apprendre aux tortionnaires l ‘art de la « vrai » torture »
La scène du bateau est culte !! ; )
Je continue, me voilà addict. C’est ma série du moment genre Shonen mais hyper mature et qui casse tout les codes.
Un seul utilisateur d’arme impérial s’en sortira vivant sur 4. Le personnage principal, sans doute ?;)…
« Pour cette fois… J’ai bien le droit de pleurer, hein ? Mec… Non…Beau gosse OAAAAAAH !! »
Takahiro n’hésite pas à sacrifier certains de ses personnages !
J’aime beaucoup.
Cela dit on perd « l’effet de surprise » de la nouveauté. Même si d’autres choses compensant…
Bonnes Lectures ! ++
Lien : https://www.instagram.com/ch..
C’est vraiment l’allégorie de la lutte des classes !! Et pas du point de vue des plus riches !! On les aperçoit en train de torturer à mort le « bétail » que représente les pauvres gens…
« J’ai perdu une camarade chère à mes yeux !! Comment veux-tu que je m’habitue à une douleur pareille ? »
« Esdeath (…) est de retour à la capitale (…) il paraît qu’elle est en train d’apprendre aux tortionnaires l ‘art de la « vrai » torture »
La scène du bateau est culte !! ; )
Je continue, me voilà addict. C’est ma série du moment genre Shonen mais hyper mature et qui casse tout les codes.
Un seul utilisateur d’arme impérial s’en sortira vivant sur 4. Le personnage principal, sans doute ?;)…
« Pour cette fois… J’ai bien le droit de pleurer, hein ? Mec… Non…Beau gosse OAAAAAAH !! »
Takahiro n’hésite pas à sacrifier certains de ses personnages !
J’aime beaucoup.
Cela dit on perd « l’effet de surprise » de la nouveauté. Même si d’autres choses compensant…
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Demon Slave (Tome 3) de Takahiro (Japon) et Yohei Takemura – Traduit par Pierre Ginet – 192 pages – éditions Kurokawa – Sorti le 8 Juillet 2021
Désolé les poussins Phoenix ! J'ai plein de taff en ce moment notamment en ce qui concerne mes propres écrits. J'ai même du me résoudre à arrêter Instagram… Voilà donc au moins une petite critique pour me faire pardonner.
J'avais moyen + aimé le manga « Demon Slave » notamment parce qu'il colportait le message de la bestialité masculine pour seule mise en valeur (masculine).
Comme il m'est tombé sous la main voilà je l'ai lu…
En gros… Y'a des combats « amicaux » un clan « anti-démon » en affronte un autre, et Yûki est récompensé, comme d'habitude, avec du cul, et il tout gêné. du côté de la fille ça fait un peu « je paie avec mon corps » et de celui de Yûki ça fait « Je suis obligé de faire le bon toutou obéissant pour avoir ma « dose » …
Une attaque de démons semblant menée par un leader énigmatique et intelligent met fin à leurs petits tournois entre amies.
Je trouve un peu dommage le côté très manichéen. Les méchants pas beaux vraiment très méchants slash cruel. Et les jeunes filles candides et délicieuses à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Tout est vraiment très noir et blanc…
Allez soyons gentils… Ça reste rafraichissant et Fun.
Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
Désolé les poussins Phoenix ! J'ai plein de taff en ce moment notamment en ce qui concerne mes propres écrits. J'ai même du me résoudre à arrêter Instagram… Voilà donc au moins une petite critique pour me faire pardonner.
J'avais moyen + aimé le manga « Demon Slave » notamment parce qu'il colportait le message de la bestialité masculine pour seule mise en valeur (masculine).
Comme il m'est tombé sous la main voilà je l'ai lu…
En gros… Y'a des combats « amicaux » un clan « anti-démon » en affronte un autre, et Yûki est récompensé, comme d'habitude, avec du cul, et il tout gêné. du côté de la fille ça fait un peu « je paie avec mon corps » et de celui de Yûki ça fait « Je suis obligé de faire le bon toutou obéissant pour avoir ma « dose » …
Une attaque de démons semblant menée par un leader énigmatique et intelligent met fin à leurs petits tournois entre amies.
Je trouve un peu dommage le côté très manichéen. Les méchants pas beaux vraiment très méchants slash cruel. Et les jeunes filles candides et délicieuses à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Tout est vraiment très noir et blanc…
Allez soyons gentils… Ça reste rafraichissant et Fun.
Phoenix
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La série poursuit un développement pertinent du rôle et du personnage de Tatsumi. Lui qui a été présenté comme le protagoniste du titre et dont le point de vue narratif va de pair avec celui de ce jeune novice du Night Raid, il est pourtant relégué au second plan durant la quasi-totalité du volume, tout comme le précédent. Il ne fait nul doute que les capacités du jeune homme sont extraordinaires, mais au-delà de ça, il y a les compétences en matière de combat de ses propres camarades, experts de l’affrontement et de l’assassinat. Le héros est mis justement à sa place, et on apprécie de voir ses différents compagnons briller de leur puissance lors des quelques joutes de ce volume.
L’une des grandes surprises de ce volume provient de sa conclusion. Petit à petit, sur les derniers chapitres du pavé, la tension monte et l’adversaire présenté est loin d’être aussi désuet que ceux qui l’ont précédé. Et une fois encore, les auteurs nous montrent qu’ils sont prêts à ne pas suivre les ficelles standards du shônen d’action pour développer leur récit, et développent celui-ci de la manière la plus crédible possible, et ce même s’il fallait ne pas épargner quelques personnages.
Les dernières pages sont violentes, crues et choquantes à souhait, et c’est avec stupéfaction qu’on assiste à un évènement qui ne serait pas arrivé aussitôt dans n’importe quelle série.
Et si Red Eyes Sword faisait partie de ces nouveaux manga impitoyables, dans lesquels un personnage peut perdre la vie à la moindre inattention ?
C’est sur cette réflexion qu’on referme ce second volet en attendant avec une grande impatience les répercussions qu’aura cet évènement sur la suite de l’intrigue.
L’une des grandes surprises de ce volume provient de sa conclusion. Petit à petit, sur les derniers chapitres du pavé, la tension monte et l’adversaire présenté est loin d’être aussi désuet que ceux qui l’ont précédé. Et une fois encore, les auteurs nous montrent qu’ils sont prêts à ne pas suivre les ficelles standards du shônen d’action pour développer leur récit, et développent celui-ci de la manière la plus crédible possible, et ce même s’il fallait ne pas épargner quelques personnages.
Les dernières pages sont violentes, crues et choquantes à souhait, et c’est avec stupéfaction qu’on assiste à un évènement qui ne serait pas arrivé aussitôt dans n’importe quelle série.
Et si Red Eyes Sword faisait partie de ces nouveaux manga impitoyables, dans lesquels un personnage peut perdre la vie à la moindre inattention ?
C’est sur cette réflexion qu’on referme ce second volet en attendant avec une grande impatience les répercussions qu’aura cet évènement sur la suite de l’intrigue.
Demon Slave, tome 4 /12 by Takahiro (Japonais) Yohei & Takemura - Pierre Giner (Traducteur) - 208 pages - Kurowawa (14 Octobre 2021)
Cette histoire me rappelle un film où le masculin et le féminin étaient intervertis. En effet, pour rappel, les femmes se sont vu dotées de pouvoir surpuissants...
Et on prit la pas sur les hommes.
Yûki est en pleine séance de viol ( ?) auprès de Tenka quand on vient lui dire que les ennemis approchent « et si je faisais ne sorte que tu ne puisses pas t'éloigner de moi »…
Des mangeurs d'hommes appelés « Shuuki », sévissent dans la région.
« Ils vont arriver dans le monde des humains. Tu dois absolument es arrêter. »
Un fois chose faite Nei-chan et Yûki revisitent le monde réel en toute complicité.
Rien de spécial, charme, combat contre les démons, rapprochement, ah et puis un peu Flash-Back sur la sœur quand même …
La seule chose qui change c'est vers la page 140...
Donc faudra prendre votre mal en patiente.
Un autre univers où les démons sont davantage admis.
La sixième unité anti démon et l'organisme démoniaque de la soeur de Yûki se disputent chacun le jeune homme.
Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
Cette histoire me rappelle un film où le masculin et le féminin étaient intervertis. En effet, pour rappel, les femmes se sont vu dotées de pouvoir surpuissants...
Et on prit la pas sur les hommes.
Yûki est en pleine séance de viol ( ?) auprès de Tenka quand on vient lui dire que les ennemis approchent « et si je faisais ne sorte que tu ne puisses pas t'éloigner de moi »…
Des mangeurs d'hommes appelés « Shuuki », sévissent dans la région.
« Ils vont arriver dans le monde des humains. Tu dois absolument es arrêter. »
Un fois chose faite Nei-chan et Yûki revisitent le monde réel en toute complicité.
Rien de spécial, charme, combat contre les démons, rapprochement, ah et puis un peu Flash-Back sur la sœur quand même …
La seule chose qui change c'est vers la page 140...
Donc faudra prendre votre mal en patiente.
Un autre univers où les démons sont davantage admis.
La sixième unité anti démon et l'organisme démoniaque de la soeur de Yûki se disputent chacun le jeune homme.
Phoenix
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Demon Slave Tome 2 by Yohei Takemura/ Kurokawa /Sorti le 8 Avril 2021. 192 Pages. Pierre Giner (Traducteur).
Même si j’ai moyennement aimé le T1 je décide de laisser une chance au T2 pour éclaircir les mystères des démons, de la sœur disparue et profiter des fameuses « récompenses » …
L’escadron anti-démons numéro 7 affronte un paquet de mauvaises créatures dont une en particulier qui se révèle être une bonne connaissance à Yûki.
Malgré un tableau des enjeux basiques, une vague intrigue familiale, tout tourne autour des petites culottes, poitrines généreuses et récompenses « pervers » j’ai quand même été emporté par la candeur du truc, voir les filles motivées au combat, comme des vrais mecs ; -) …
Les « démons » de base font davantage penser à des zombies, voir des titans…
Les escadrons 6 & 7 s’affrontent entre eux pour savoir qui a la plus grosse, et qui convoite Yûki … C’est l’occasion d’introduire de nouveaux personnages qui se révèlent plus forts que prévu.
Phoenix
++
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Même si j’ai moyennement aimé le T1 je décide de laisser une chance au T2 pour éclaircir les mystères des démons, de la sœur disparue et profiter des fameuses « récompenses » …
L’escadron anti-démons numéro 7 affronte un paquet de mauvaises créatures dont une en particulier qui se révèle être une bonne connaissance à Yûki.
Malgré un tableau des enjeux basiques, une vague intrigue familiale, tout tourne autour des petites culottes, poitrines généreuses et récompenses « pervers » j’ai quand même été emporté par la candeur du truc, voir les filles motivées au combat, comme des vrais mecs ; -) …
Les « démons » de base font davantage penser à des zombies, voir des titans…
Les escadrons 6 & 7 s’affrontent entre eux pour savoir qui a la plus grosse, et qui convoite Yûki … C’est l’occasion d’introduire de nouveaux personnages qui se révèlent plus forts que prévu.
Phoenix
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Bonsoir ; aujourd’hui on va parler d’un manga…
Red Eyes Sword (Tome 1/15) | de Tetsuya Tashiro|2014 (FR)|Editons Kurokawa |Noté 3.87/5 (42 notes !).
Je ne saurais dire exactement à quelle époque ou dans quel univers se situe Red Eyes Sword.
Tatsumi, le héros, a quitté son village qui crève la dalle pour faire fortune dans la capitale. En chemin, il gagne un peu d’argent en tuant des monstres. Mais les vrais monstres se trouvent à la capitale et ce sont des horreurs humaines !! … Une jeune fille, dont le nom n’est pas précisé, (genre grande bourgeoise) a capturés les amis de Tatsumi et à vrai dire beaucoup beaucoup d’autres gens de la banlieue, trop gentils pour se méfier suffisamment de ces … bourreaux…
« Bouh hou hou… Et alors ? Où est le mal ? Vous êtes des paysans ! Des rustres qui ne servent à rien du tout !! Vous n’êtes que du bétail !! Et j’ai le droit de vous traiter comme je veux !! Cette petite insolente avec des cheveux lisses et soyeux !! Alors que moi je suis sans arrêt en train de batailler avec mes boucles rebelles !! Elle n’a eu que ce qu’elle méritait et elle devrait m’en être reconnaissante !! »
« Une famille de sadiques qui se prennent pour des gens bien… Désolé de t’avoir interrompu dans ton élan, Akame… »
« Extermination »
« Non ! Attendez ! »
« Quoi ? Ne me dis pas que tu comptes encore la protéger ? »
« Non … Je vais la tuer moi-même ! »
Pour donner suite à la vengeance de ses co-équipier, Tatsumi intègre le « Night Raid » une bande de mercenaires qui ne se prennent pas pour des sauveurs, motivés par l’argent, mais essayant aussi de renverser le ministre et le gouvernement.
Le nouveau venu va rapidement se retrouver comme un poisson dans l’eau au sein de cette équipe de tueurs. Aux grands cœurs…
Ce que j’en penses ? C’est pas mal pour un manga de 2014 (en France) !! J’ai éprouvé beaucoup de plaisir à le lire, les personnages sont attachants, l’univers est quelque part entre le Shonen et le Seinen.
Lien : https://vella.blog/
Red Eyes Sword (Tome 1/15) | de Tetsuya Tashiro|2014 (FR)|Editons Kurokawa |Noté 3.87/5 (42 notes !).
Je ne saurais dire exactement à quelle époque ou dans quel univers se situe Red Eyes Sword.
Tatsumi, le héros, a quitté son village qui crève la dalle pour faire fortune dans la capitale. En chemin, il gagne un peu d’argent en tuant des monstres. Mais les vrais monstres se trouvent à la capitale et ce sont des horreurs humaines !! … Une jeune fille, dont le nom n’est pas précisé, (genre grande bourgeoise) a capturés les amis de Tatsumi et à vrai dire beaucoup beaucoup d’autres gens de la banlieue, trop gentils pour se méfier suffisamment de ces … bourreaux…
« Bouh hou hou… Et alors ? Où est le mal ? Vous êtes des paysans ! Des rustres qui ne servent à rien du tout !! Vous n’êtes que du bétail !! Et j’ai le droit de vous traiter comme je veux !! Cette petite insolente avec des cheveux lisses et soyeux !! Alors que moi je suis sans arrêt en train de batailler avec mes boucles rebelles !! Elle n’a eu que ce qu’elle méritait et elle devrait m’en être reconnaissante !! »
« Une famille de sadiques qui se prennent pour des gens bien… Désolé de t’avoir interrompu dans ton élan, Akame… »
« Extermination »
« Non ! Attendez ! »
« Quoi ? Ne me dis pas que tu comptes encore la protéger ? »
« Non … Je vais la tuer moi-même ! »
Pour donner suite à la vengeance de ses co-équipier, Tatsumi intègre le « Night Raid » une bande de mercenaires qui ne se prennent pas pour des sauveurs, motivés par l’argent, mais essayant aussi de renverser le ministre et le gouvernement.
Le nouveau venu va rapidement se retrouver comme un poisson dans l’eau au sein de cette équipe de tueurs. Aux grands cœurs…
Ce que j’en penses ? C’est pas mal pour un manga de 2014 (en France) !! J’ai éprouvé beaucoup de plaisir à le lire, les personnages sont attachants, l’univers est quelque part entre le Shonen et le Seinen.
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Voici un tome de transition qui fait du bien et nous permet de souffler un peu après l’épique tome 5. Il comporte un arc qui s’ouvre et se conclut dans ce tome, un arc un peu décalé, moins rythmé, mais toujours de qualité.
Tatsumi et Esdeath son donc réunis malgré eux, et c’est l’occasion d’en apprendre un peu plus, sur Esdeath et la faire apparaitre moins caricaturale qu’auparavant. Le personnage gagne clairement en profondeur. Clairement, ce tome se veut alors un discours assez amer sur la relation entre les deux guerriers appartenant à des camps opposés, loin des discours optimistes que peuvent développer d’autres récits traitant d’amour impossible. Reste à voir ce qu’il en sera sur la suite de la série, mais la manière de traiter le sujet est une très bonne chose.
Les choses sérieuses reprendront donc dans le tome suivant, mais clairement ce tome est indispensable pour bien comprendre la complexité du personnage d’Esdeath ainsi que la relation compliqué entre elle et Tatsumi.
Tatsumi et Esdeath son donc réunis malgré eux, et c’est l’occasion d’en apprendre un peu plus, sur Esdeath et la faire apparaitre moins caricaturale qu’auparavant. Le personnage gagne clairement en profondeur. Clairement, ce tome se veut alors un discours assez amer sur la relation entre les deux guerriers appartenant à des camps opposés, loin des discours optimistes que peuvent développer d’autres récits traitant d’amour impossible. Reste à voir ce qu’il en sera sur la suite de la série, mais la manière de traiter le sujet est une très bonne chose.
Les choses sérieuses reprendront donc dans le tome suivant, mais clairement ce tome est indispensable pour bien comprendre la complexité du personnage d’Esdeath ainsi que la relation compliqué entre elle et Tatsumi.
Red Eyes Sword, (tome 2/15)| Takahiro Tetsuya & Tashiro| 192 pages |Kurokawa | 13/11/2014 (FR) | 4.12/5 (26 notes ! ) …
On commence par introduire un nouveau méchant dans la série « Zank » le coupeur de têtes. Pour lui, c’est une réelle addiction, il enchaine les décapitations. Avant de tuer ses victimes, il aime leur parler. On apprend ensuite qu’il apprécie le dialogue car il est rongé de remords au point d’entendre les cris de ses victimes. Akame va le tuer quand Tatsumi va échouer… Zank la remerciera, il a enfin le silence. Le combat Zank /Akame est épique ! Mais ce n’est rien comparé au combat Seryu contre le Night Raid.
Akamae ouvre un peu son cœur, pour elle, il n’y a rien de plus important que le Night Raid et tous ses membres, y compris le nouveau, Tatsumi.
On fait la connaissance des armes impériales. Ce sont des lames uniques qui ont des capacités extraordinaire. Mais si deux possesseurs se livrent bataille, l’un d’eux doit mourir. Malgré tout, Tatsumi en désire une !
Il existe aussi un arme Hécatonchires qui porte donc le même nom que Final Fantasy.
Sheele était une bonne personnage qui venait d’être développée, il va lui arriver un malheur… Alors qu’elle aimait câliner Tatsumi pour le réconforter…
« A ce moment-là, j'ai compris une chose. C'était justement parce que ça ne tournait pas rond dans ma tête; Que j'avais un don pour l'assassinat. » Dixit Sheele.
La générale suprême de l’empire, Esdeath, est de retour en ville, et cherche combattant digne d’elle !
Enfin dernière partie et pas des moindres, Seryu Ubiquitus et son familier « Koro » contre plusieurs membres du Night Riad…. Seryu est un genre d’invocatrice, qui n’a que faire de son prognostique vitale, persuadée d’être dans le bon camp.
C’était bourré de bonne citations/ punchlines j’ai dû choisir !!
Je renouvelle mes recommandations ! C’est un peu la même histoire mais il y a aussi beaucoup de nouveautés.
Bonne Lecture ; ) ++
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On commence par introduire un nouveau méchant dans la série « Zank » le coupeur de têtes. Pour lui, c’est une réelle addiction, il enchaine les décapitations. Avant de tuer ses victimes, il aime leur parler. On apprend ensuite qu’il apprécie le dialogue car il est rongé de remords au point d’entendre les cris de ses victimes. Akame va le tuer quand Tatsumi va échouer… Zank la remerciera, il a enfin le silence. Le combat Zank /Akame est épique ! Mais ce n’est rien comparé au combat Seryu contre le Night Raid.
Akamae ouvre un peu son cœur, pour elle, il n’y a rien de plus important que le Night Raid et tous ses membres, y compris le nouveau, Tatsumi.
On fait la connaissance des armes impériales. Ce sont des lames uniques qui ont des capacités extraordinaire. Mais si deux possesseurs se livrent bataille, l’un d’eux doit mourir. Malgré tout, Tatsumi en désire une !
Il existe aussi un arme Hécatonchires qui porte donc le même nom que Final Fantasy.
Sheele était une bonne personnage qui venait d’être développée, il va lui arriver un malheur… Alors qu’elle aimait câliner Tatsumi pour le réconforter…
« A ce moment-là, j'ai compris une chose. C'était justement parce que ça ne tournait pas rond dans ma tête; Que j'avais un don pour l'assassinat. » Dixit Sheele.
La générale suprême de l’empire, Esdeath, est de retour en ville, et cherche combattant digne d’elle !
Enfin dernière partie et pas des moindres, Seryu Ubiquitus et son familier « Koro » contre plusieurs membres du Night Riad…. Seryu est un genre d’invocatrice, qui n’a que faire de son prognostique vitale, persuadée d’être dans le bon camp.
C’était bourré de bonne citations/ punchlines j’ai dû choisir !!
Je renouvelle mes recommandations ! C’est un peu la même histoire mais il y a aussi beaucoup de nouveautés.
Bonne Lecture ; ) ++
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Les auteurs n’y vont pas par quatre chemin et ce cinquième tome s’ouvre par un combat épique entre nos héros et le groupe de Stylish. Et cette fois, c’est chaque guerrier encore en vie qui est à l’honneur puisqu’il n’y a pas vraiment de vedette au cours de l’affrontement, ce qui laisse aussi à Tatsumi la place se faire ses preuves et de montrer qu’il est digne de l’arme impériale qu’il a héritée de Bullat.
La bataille n’a peut-être pas l’intensité des précédentes, mais ne manque pas d’intérêt grâce aux rebondissements qu’elle propose, en particulier l’entrée en scène de deux personnages qui apportent un souffle nouveau au Night Raid.
La bataille n’a peut-être pas l’intensité des précédentes, mais ne manque pas d’intérêt grâce aux rebondissements qu’elle propose, en particulier l’entrée en scène de deux personnages qui apportent un souffle nouveau au Night Raid.
Lecteurs, vous suivez peut-être les aventures sanguinaires d’Akame dans Red Eyes Sword – Akame Ga Kill, licence déjà disponible chez Kurokawa. Toutefois, cela vous intéresserait sans doute de savoir comment elle en est arrivée là, à devenir celle qu’elle est aujourd’hui. C’est ce qui nous est donc proposé dans ce préquel intitulé Red Eyes Sword! Zero, qui nous conte la jeunesse d’Akame et de sa sœur Kurome. Découvrons ensemble comment elles ont été embarquées par l’Empire sur un scénario de Takahiro et dont les dessins sont signés Kei Toru. Je vais donc vous exposer mon ressenti personnel après la lecture de ce premier tome de Red Eyes Sword! Zero, disponible aux éditions Kurokawa.
Akame et Tsukushi sont deux nouvelles recrues qui ont rejoints la troupe Sabatini, devenant ainsi des artistes ambulants, voyageant de ville en ville. Alors qu’elles ont terminé leur représentation, elles sont contactées car leur cible risque de se montrer. Alors que la troupe se dirige vers la ville suivante, ils sont attaqués par les brigands du Mont Shiranami. Après les avoir tous exterminer, le chef de la troupe confie à Akame et Tsukushi qu’ils sont en réalité des justiciers qui luttent pour apporter du changement dans le pays car l’Empire serait corrompu. Mais ces derniers ne savent pas à qui ils sont en train de se frotter. Akame et Tsukushi sont des espionnes de l’Empire qui avait justement pour cible la troupe Sabatini.
Une fois leur mission accomplie, leur « Père » les félicite pour leurs prouesses et les incite à continuer dans cette voie afin de continuer à rendre le peuple heureux. Mais voilà Akame a été achetée par l’Empire afin d’être formée à devenir une tueuse et ce depuis son plus jeune âge. Baignée dans le sang, la mort est son quotidien. Akame a été, comme les autres, endoctrinée et éduquée afin de devenir une véritable machine à tuer. Pensant donc qu’elle agissait pour le bien, de fil en aiguille elle va se rendre compte qu’il n’en est rien et que la vérité est toute autre et qu’un destin cruel l’attend au tournant…
Ce premier tome de Red Eyes Sword! Zero nous plonge, disons-le sans mâcher nos mots, dans un petit bain de sang agréablement mis en scène par des traits efficaces de Kei Toru. D’ailleurs, ce dessinateur n’est pas le même que dans la série Red Eyes Sword - Akame Ga Kill. Kei Toru propose ici son propre chara-design et me concernant je le trouve assez réussi. La violence est bien retranscrite et ne tombe pas dans l’abusif. D’un point de vue artistique, je peux vous dire que cela me plaît assez. Bien que nous soyons ici en compagnie d’assassins, l’histoire ne se résume pas qu’à cela. Takahiro évoque ici la jeunesse d’Akame et passant par son entraînement et ses diverses premières missions mais pas que. Il démontre aussi le détachement fraternel car sa sœur Kurome suit elle aussi un entraînement tout autre afin qu’elles s’endurcissent mais chacune de leur côté, ne laissant pas les sentiments entraver leur éducation. Takahiro amène la joie et la bonne humeur sur ses assassins car on leur dit qu’ils rendent les gens heureux une fois qu’ils ont exécuté leurs cibles. Une façon plutôt originale, je trouve, que de rendre les gens heureux par la mort.
Comme évoqué, Red Eyes Sword! Zero est assez violent et non pas que par la présence de sang ou de carnage mais aussi sur les actions menées sur ces jeunes enfants qui vont subir une série de tests plutôt durs en soi. On se retrouve donc en présence d’enfants qui obéissent au doigt et à l’œil à des adultes afin de tuer tout individu sur commande. À la limite du lavage de cerveau, ces enfants deviennent alors des monstres sans pitié. Il faut d’ailleurs savoir que ce préquel ne met pas en scène que le passé d’Akame. Même si on s’y attarde, elle n’est pas à elle seule le centre d’intérêt dans Red Eyes Sword! Zero, les autres enfants et sa sœur sont eux aussi mis en avant. On découvre donc de nouveaux personnages avec plaisir dont leurs caractères tendent à se développer par la suite. J’ai trouvé par moment certaines situations assez fortes, dures à encaisser même mais il ne pouvait en être autrement quand on est plongé dans l’univers du dark fantasy traitant des assassinats.
Le scénario proposé ici pose les bases avec plaisance et les dessins sont assez réussis. Les vignettes sont bien disposées, les bulles et encadrés aussi. Kei Toru joue également avec des effets plus sombres lors de certaines actions ou situations et nous invite à prendre part à des combats bien orchestrés, au coup de crayon vif et soigné. J’aime le travail accompli ici surtout sur les dessins de pleines pages. Les scènes de combat sont bien dynamiques et j’apprécie de voir que cela ne s’éternise pas. On avance pas à pas vers une intrigue dramatique, force de tourner les pages de bonne qualité, comme l’éditeur a pour habitude de nous fournir.
Ce préquel de Red Eyes Sword – Akame Ga Kill saura satisfaire les fans de la série d’origine de par son côté dark fantasy, sa violence bien menée, son scénario bien posé et son design bien maîtrisé. Comme cela se passe bien avant les événements du manga Red Eyes Sword – Akame Ga Kill, cette série peut être appréciée sans pour autant avoir lu ce dernier titre. Ce qui est d’ailleurs mon cas. Si vous aimez ce genre d’univers, je ne peux que vous conseiller ce premier tome, histoire de découvrir de quoi il en retourne et au vue du final, il y a de fortes chances que la suite vous intéresse.
« Un brin bourrin, Kei Toru n’y va pas de main morte proposant en plus un chara-design soigné. Toujours aux commandes du scénario, Takahiro le diversifie mettant ainsi l’accent sur une ribambelle d’assassins en plus d’Akame. »
Lien : http://www.jegeekjeplay.fr/2..
Akame et Tsukushi sont deux nouvelles recrues qui ont rejoints la troupe Sabatini, devenant ainsi des artistes ambulants, voyageant de ville en ville. Alors qu’elles ont terminé leur représentation, elles sont contactées car leur cible risque de se montrer. Alors que la troupe se dirige vers la ville suivante, ils sont attaqués par les brigands du Mont Shiranami. Après les avoir tous exterminer, le chef de la troupe confie à Akame et Tsukushi qu’ils sont en réalité des justiciers qui luttent pour apporter du changement dans le pays car l’Empire serait corrompu. Mais ces derniers ne savent pas à qui ils sont en train de se frotter. Akame et Tsukushi sont des espionnes de l’Empire qui avait justement pour cible la troupe Sabatini.
Une fois leur mission accomplie, leur « Père » les félicite pour leurs prouesses et les incite à continuer dans cette voie afin de continuer à rendre le peuple heureux. Mais voilà Akame a été achetée par l’Empire afin d’être formée à devenir une tueuse et ce depuis son plus jeune âge. Baignée dans le sang, la mort est son quotidien. Akame a été, comme les autres, endoctrinée et éduquée afin de devenir une véritable machine à tuer. Pensant donc qu’elle agissait pour le bien, de fil en aiguille elle va se rendre compte qu’il n’en est rien et que la vérité est toute autre et qu’un destin cruel l’attend au tournant…
Ce premier tome de Red Eyes Sword! Zero nous plonge, disons-le sans mâcher nos mots, dans un petit bain de sang agréablement mis en scène par des traits efficaces de Kei Toru. D’ailleurs, ce dessinateur n’est pas le même que dans la série Red Eyes Sword - Akame Ga Kill. Kei Toru propose ici son propre chara-design et me concernant je le trouve assez réussi. La violence est bien retranscrite et ne tombe pas dans l’abusif. D’un point de vue artistique, je peux vous dire que cela me plaît assez. Bien que nous soyons ici en compagnie d’assassins, l’histoire ne se résume pas qu’à cela. Takahiro évoque ici la jeunesse d’Akame et passant par son entraînement et ses diverses premières missions mais pas que. Il démontre aussi le détachement fraternel car sa sœur Kurome suit elle aussi un entraînement tout autre afin qu’elles s’endurcissent mais chacune de leur côté, ne laissant pas les sentiments entraver leur éducation. Takahiro amène la joie et la bonne humeur sur ses assassins car on leur dit qu’ils rendent les gens heureux une fois qu’ils ont exécuté leurs cibles. Une façon plutôt originale, je trouve, que de rendre les gens heureux par la mort.
Comme évoqué, Red Eyes Sword! Zero est assez violent et non pas que par la présence de sang ou de carnage mais aussi sur les actions menées sur ces jeunes enfants qui vont subir une série de tests plutôt durs en soi. On se retrouve donc en présence d’enfants qui obéissent au doigt et à l’œil à des adultes afin de tuer tout individu sur commande. À la limite du lavage de cerveau, ces enfants deviennent alors des monstres sans pitié. Il faut d’ailleurs savoir que ce préquel ne met pas en scène que le passé d’Akame. Même si on s’y attarde, elle n’est pas à elle seule le centre d’intérêt dans Red Eyes Sword! Zero, les autres enfants et sa sœur sont eux aussi mis en avant. On découvre donc de nouveaux personnages avec plaisir dont leurs caractères tendent à se développer par la suite. J’ai trouvé par moment certaines situations assez fortes, dures à encaisser même mais il ne pouvait en être autrement quand on est plongé dans l’univers du dark fantasy traitant des assassinats.
Le scénario proposé ici pose les bases avec plaisance et les dessins sont assez réussis. Les vignettes sont bien disposées, les bulles et encadrés aussi. Kei Toru joue également avec des effets plus sombres lors de certaines actions ou situations et nous invite à prendre part à des combats bien orchestrés, au coup de crayon vif et soigné. J’aime le travail accompli ici surtout sur les dessins de pleines pages. Les scènes de combat sont bien dynamiques et j’apprécie de voir que cela ne s’éternise pas. On avance pas à pas vers une intrigue dramatique, force de tourner les pages de bonne qualité, comme l’éditeur a pour habitude de nous fournir.
Ce préquel de Red Eyes Sword – Akame Ga Kill saura satisfaire les fans de la série d’origine de par son côté dark fantasy, sa violence bien menée, son scénario bien posé et son design bien maîtrisé. Comme cela se passe bien avant les événements du manga Red Eyes Sword – Akame Ga Kill, cette série peut être appréciée sans pour autant avoir lu ce dernier titre. Ce qui est d’ailleurs mon cas. Si vous aimez ce genre d’univers, je ne peux que vous conseiller ce premier tome, histoire de découvrir de quoi il en retourne et au vue du final, il y a de fortes chances que la suite vous intéresse.
« Un brin bourrin, Kei Toru n’y va pas de main morte proposant en plus un chara-design soigné. Toujours aux commandes du scénario, Takahiro le diversifie mettant ainsi l’accent sur une ribambelle d’assassins en plus d’Akame. »
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Tout d'abord je tiens à remercier Babelio et les éditions Kurokawa pour cette sélection Masse critique spécialisée BD Manga, c'est vraiment chouette de faire de belles découvertes comme celle-ci :)
Ayant vu la série tirée du manga, j'étais curieuse de le découvrir. Je n'ai pas été déçue loin de là.
Un manga original (je n'avais jamais vu de "journal" du personnage imprimé sur les première et quatrième de couverture c'est chose faite et ça marche bien), drôle (chaque personnage a un caractère bien trempé avec ses défauts exacerbés : vantardise, maladresse, taquinerie, gourmandise) où les apparences sont trompeuses.
On rentre dans un monde corrompu où ceux qui de prime abord apparaissent comme des tueurs jouent un rôle salvateur pour l'instauration d'une société meilleure.
Approche intéressante qui rappelle les schémas classiques de la dystopie, genre que je connais peu en manga. On y prend goût même si l'histoire est très sombre et les graphismes assez gores il faut bien l'avouer, les personnages sont attachants, caricaturaux (mais c'est ça qui est bon) et l'intrigue avance bien sans à-coups.
S'il fallait trouver un seul bémol, je dirai que les scènes d'action sont un peu brouillonnes au niveau du rendu graphique mais le mouvement omniprésent y est sans doute pour quelque chose :)
On sait qu'un manga est bon quand on a envie de se jeter sur le tome 2 à peine le premier terminé. Conclusion : c'est un très bon manga !!
Ayant vu la série tirée du manga, j'étais curieuse de le découvrir. Je n'ai pas été déçue loin de là.
Un manga original (je n'avais jamais vu de "journal" du personnage imprimé sur les première et quatrième de couverture c'est chose faite et ça marche bien), drôle (chaque personnage a un caractère bien trempé avec ses défauts exacerbés : vantardise, maladresse, taquinerie, gourmandise) où les apparences sont trompeuses.
On rentre dans un monde corrompu où ceux qui de prime abord apparaissent comme des tueurs jouent un rôle salvateur pour l'instauration d'une société meilleure.
Approche intéressante qui rappelle les schémas classiques de la dystopie, genre que je connais peu en manga. On y prend goût même si l'histoire est très sombre et les graphismes assez gores il faut bien l'avouer, les personnages sont attachants, caricaturaux (mais c'est ça qui est bon) et l'intrigue avance bien sans à-coups.
S'il fallait trouver un seul bémol, je dirai que les scènes d'action sont un peu brouillonnes au niveau du rendu graphique mais le mouvement omniprésent y est sans doute pour quelque chose :)
On sait qu'un manga est bon quand on a envie de se jeter sur le tome 2 à peine le premier terminé. Conclusion : c'est un très bon manga !!
Plaisant à lire, mais très classique. ça ne m'a pas marqué
Superbe découverte que ce Manga, que j'ai adoré d'un bout à l'autre. Un soupçon d'humour et de noirceur, le tout agrémenté de scènes d'action à couper le souffle.
Alors Tatsumi me fait penser à D'Artagnan montant à la capitale pour devenir mousquetaires. Bien entendu la trame de l'histoire est complètement différente. Mais le clin d'oeil à nos classiques est tout de même plaisant.
Notre jeune héros rejoint ensuite un groupe d'assassins qui font penser à une bande à la Robin des Bois. Comme je l'ai dit l'humour est hyper présent.
Tout comme Akame j'ai adoré le personnage de Mine et son côté susceptible. La scène où elle fait une coupe de primptemps à Tatsumi est vraiment hilarante.
Voici une collection que je vais m'empresser de continuer.
Alors Tatsumi me fait penser à D'Artagnan montant à la capitale pour devenir mousquetaires. Bien entendu la trame de l'histoire est complètement différente. Mais le clin d'oeil à nos classiques est tout de même plaisant.
Notre jeune héros rejoint ensuite un groupe d'assassins qui font penser à une bande à la Robin des Bois. Comme je l'ai dit l'humour est hyper présent.
Tout comme Akame j'ai adoré le personnage de Mine et son côté susceptible. La scène où elle fait une coupe de primptemps à Tatsumi est vraiment hilarante.
Voici une collection que je vais m'empresser de continuer.
La genèse de Red Eyes Sword. D'où viennent ces combattants d'élite, comment sont ils formés et lobotomisés, persuadés qu'ils sont de faire le bien de l'Empire.
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